| 1 | Traduction par David Martin Édition de 1744, libre de droits. | 1 Mais cela déplut à Jonas, il lui déplut extrêmement, et il en fut en colère. (4:1) 2 C’est pourquoi il fit [cette] requête à l’Éternel, et dit : ô Éternel ! je te prie, n’est-ce pas ici ce que je disais, quand j’étais encore en mon pays ? C’est pourquoi j’avais voulu m’enfuir en Tarsis ; car je connaissais que tu es un [Dieu] Fort, miséricordieux, pitoyable, tardif à colère, abondant en gratuité, et qui te repens du mal [dont tu as menacé]. (4:2) 3 Maintenant donc, ô Éternel ! ôte-moi, je te prie, la vie ; car la mort m’est meilleure que la vie. (4:3) 4 Et l’Éternel dit : Est-ce bien fait à toi de t’être [ainsi] mis en colère ? (4:4) 5 Et Jonas sortit de la ville, et s’assit du côté de l’Orient de la ville, et se fit là une cabane, et se tint à l’ombre sous elle, jusqu’à ce qu’il vît ce qui arriverait à la ville. (4:5) 6 Et l’Éternel Dieu prépara un kikajon, et le fit croître audessus de Jonas, afin qu’il lui fît ombre sur sa tête, et qu’il le délivrât de son mal ; et Jonas se réjouit extrêmement du kikajon. (4:6) 7 Puis Dieu prépara pour le lendemain, lorsque l’aube du jour monterait, un ver qui frappa le kikajon, et il sécha. (4:7) 8 Et il arriva que quand le soleil fut levé Dieu prépara un vent Oriental qu’on n’apercevait point, et le soleil frappa sur la tête de Jonas, en sorte que s’évanouissant il demanda de mourir, et il dit : La mort m’est meilleure que la vie. (4:8) 9 Et Dieu dit à Jonas : Est-ce bien fait à toi de t’être ainsi dépité au sujet de ce kikajon ? Et il répondit : C’est bien fait à moi que je me sois ainsi dépité, [même] jusqu’à la mort. (4:9) 10 Et l’Éternel dit : [Tu voudrais] qu’on eût épargné le kikajon, pour lequel tu n’as point travaillé, et que tu n’as point fait croître ; car il est venu en une nuit, et en une nuit il est péri ; (4:10) 11 Et moi, n’épargnerais-je point Ninive, cette grande ville, dans laquelle il y a plus de six vingt mille créatures humaines qui ne savent point [discerner] entre leur main droite et leur main gauche, et où il y a aussi une grande quantité de bêtes. (4:11) | Jonas 4:1-11 |
| 2 | Traduction King James revue par B. Blayney Édition de 1769, libre de droits (hors GB). | 1 But it displeased Jonah exceedingly, and he was very angry. (4:1) 2 And he prayed unto the LORD, and said, I pray thee, O LORD, was not this my saying, when I was yet in my country ? Therefore I fled before unto Tarshish : for I knew that thou art a gracious God, and merciful, slow to anger, and of great kindness, and repentest thee of the evil. (4:2) 3 Therefore now, O LORD, take, I beseech thee, my life from me ; for it is better for me to die than to live. (4:3) 4 Then said the LORD, Doest thou well to be angry ? (4:4) 5 So Jonah went out of the city, and sat on the east side of the city, and there made him a booth, and sat under it in the shadow, till he might see what would become of the city. (4:5) 6 And the LORD God prepared a gourd, and made it to come up over Jonah, that it might be a shadow over his head, to deliver him from his grief. So Jonah was exceeding glad of the gourd. (4:6) 7 But God prepared a worm when the morning rose the next day, and it smote the gourd that it withered. (4:7) 8 And it came to pass, when the sun did arise, that God prepared a vehement east wind ; and the sun beat upon the head of Jonah, that he fainted, and wished in himself to die, and said, It is better for me to die than to live. (4:8) 9 And God said to Jonah, Doest thou well to be angry for the gourd ? And he said, I do well to be angry, even unto death. (4:9) 10 Then said the LORD, Thou hast had pity on the gourd, for the which thou hast not laboured, neither madest it grow ; which came up in a night, and perished in a night : (4:10) 11 And should not I spare Nineveh, that great city, wherein are more then sixscore thousand persons that cannot discern between their right hand and their left hand ; and also much cattle ? (4:11) | Jonah 4:1-11 |
| 3 | Traduction revue par J. F. Ostervald Édition de 1823, libre de droits. | 1 Mais cela déplut extrêmement à Jonas, et il en fut fort affligé. (4:1) 2 Et il fit sa requête à l’Eternel, et dit : Eternel ! je te prie, n’est-ce pas ici ce que je disais, quand j’étais encore en mon pays ? C’est pourquoi aussi je voulais m’enfuir à Tarscis ; car je connaissais que tu es un Dieu miséricordieux, pitoyable, lent à la colère, abondant en grâce, et qui te repens du mal dont tu as menacé. (4:2) 3 Maintenant donc, Eternel ! retire, je te prie, mon âme ; car la mort m’est meilleure que la vie. (4:3) 4 Et l’Eternel lui dit : Fais-tu bien de t’affliger ainsi ? (4:4) 5 Et Jonas était sorti de la ville, et s’était assis du côté du levant de la ville, et il s’était fait là une cabane, sous laquelle il se tint à l’ombre, jusqu’à ce qu’il vît ce qui arriverait à la ville. (4:5) 6 Et l’Eternel Dieu prépara un kikajon, et le fit monter au-dessus de Jonas, afin qu’il lui fît ombre sur la tête, et qu’il le délivrât de son mal ; et Jonas se réjouit d’une grande joie, à cause de ce kikajon. (4:6) 7 Mais Dieu prépara pour le lendemain, quand l’aube du jour monterait, un ver qui frappa le kikajon, et il sécha. (4:7) 8 Et quand le soleil fut levé, Dieu prépara un vent oriental et brûlant, et le soleil donna sur la tête de Jonas, de sorte qu’il tomba en défaillance, et qu’il pria pour son âme, demandant qu’il pût mourir, et qu’il dit : La mort m’est meilleure que la vie. (4:8) 9 Et Dieu dit à Jonas : Fais-tu bien de t’affliger ainsi pour ce kikajon ? Et il répondit : J’ai raison de m’affliger ainsi, même jusqu’à la mort. (4:9) 10 Et l’Eternel dit : Tu voudrais qu’on eut épargné le kikajon, pour lequel tu n’as point travaillé, et que tu n’as point fait croître ; car il est venu en une nuit, et en une nuit il est péri. (4:10) 11 Et moi, n’épargnerais-je pas Ninive, cette grande ville, dans laquelle il y a plus de cent vingt mille créatures humaines, qui ne savent pas discerner leur main droite de leur main gauche, et outre cela plusieurs bêtes ? (4:11) | Jonas 4:1-11 |
| 4 | Traduction par H.-A. Perret-Gentil Édition de 1847-1861, libre de droits. | 1 Et cela fut pour Jonas un très-grand déplaisir, et il se dépita. (4:1) 2 Et il pria l’Eternel et dit : Ah ! Eternel, n’est-ce pas ce que je disais, quand j’étais encore dans mon pays ? Aussi me suis-je hâté de fuir à Tarsis ; car je savais que tu es un Dieu clément et miséricordieux, plein de longanimité et d’amour et regrettant de punir. (4:2) 3 Et maintenant, Eternel, ôte-moi donc ma vie, car mieux vaut pour moi mourir que de vivre. (4:3) 4 Mais l’Eternel dit : Fais-tu bien de te dépiter ? (4:4) 5 Alors Jonas sortit de la ville, et s’assit à l’orient de la ville et il se fit là une cabane, et s’y assit à l’ombre, jusqu’à ce qu’il vît ce qui arriverait dans la ville. (4:5) 6 Alors l’Eternel Dieu fit croître un ricin qui s’éleva au-dessus de Jonas pour qu’il y eût de l’ombre sur sa fête et pour le délivrer de son mal. Et Jonas se réjouit à cause du ricin, et sa joie fut grande. (4:6) 7 Et Dieu fit venir à l’arrivée de l’aurore le lendemain un ver qui piqua le ricin, de sorte qu’il sécha. (4:7) 8 Et il arriva au lever du soleil que Dieu fit venir un vent d’orient sourd, et le soleil frappa la tête de Jonas, de sorte qu’il défaillait. Alors il demanda sa mort et il dit : Mieux vaut pour moi mourir que de vivre. (4:8) 9 Mais Dieu dit à Jonas : Fais-tu bien de te dépiter à cause du ricin ? Et il dit : Je fais bien de me dépiter jusqu’à la mort. (4:9) 10 Et l’Eternel dit : Tu as pitié d’un ricin pour lequel tu n’as pris aucune peine et que tu n’as pas élevé, qui enfant d’une nuit a crû et enfant d’une nuit a péri : (4:10) 11 et moi je n’aurais point pitié de Ninive la grande ville, dans laquelle il y a plus de cent vingt mille hommes qui ne savent pas distinguer leur droite de leur gauche, et des animaux en grand nombre ! (4:11) | Jonas 4:1-11 |
| 5 | Traduction par L. I. Lemaistre de Saci Édition de 1855, libre de droits. | 1 ALORS Jonas fut saisi d’une grande affliction, et il se fâcha ; (4:1) 2 et s’adressant au Seigneur, il lui dit : Seigneur ! n’est-ce pas là ce que je disais lorsque j’étais encore en mon pays ? C’est pour cela que j’ai pris d’abord la résolution de fuir vers Tharsis. Car je savais que vous êtes un Dieu clément, bon, patient, plein de miséricorde, et qui pardonnez les péchés des hommes. (4:2) 3 Je vous conjure donc, Seigneur ! de retirer maintenant mon âme de mon corps ; parce que la mort m’est meilleure que la vie. (4:3) 4 Le Seigneur lui dit : Croyez-vous que votre colère soit bien raisonnable ? (4:4) 5 Jonas sortit ensuite de Ninive, et s’assit du côté de l’orient : il se fit là un petit couvert de feuillages où il se reposa à l’ombre, jusqu’à ce qu’il eût vu ce qui arriverait à la ville. (4:5) 6 Le Seigneur Dieu fit naître alors un lierre qui s’éleva au-dessus de la tête de Jonas, pour lui faire ombre, et pour le mettre à couvert, parce qu’il était fort incommodé de la chaleur : ce qu’il reçut avec une extrême joie. (4:6) 7 Le lendemain dès le point du jour le Seigneur envoya un ver qui, ayant piqué la racine de ce lierre, le rendit tout sec. (4:7) 8 Le soleil ayant paru ensuite, le Seigneur fit lever un vent chaud et brûlant ; et les rayons du soleil donnant sur la tête de Jonas, il se trouva dans un étouffement et dans un abattement extrême ; et il souhaita de mourir en disant : La mort m’est meilleure que la vie. (4:8) 9 Alors le Seigneur dit à Jonas : Pensez-vous avoir raison de vous fâcher pour ce lierre ? Jonas lui répondit : J’ai raison de me fâcher jusqu’à souhaiter la mort. (4:9) 10 Le Seigneur lui dit ; Vous vous fâchez pour un lierre qui ne vous avait point coûté de peine, qui est crû sans vous, qui est né en une nuit, et qui est mort la nuit suivante : (4:10) 11 et moi je ne pardonnerais pas à la grande ville de Ninive, où il y a plus de cent vingt mille personnes qui ne savent pas discerner leur main droite d’avec leur main gauche, et un grand nombre d’animaux ? (4:11) | Jonas 4:1-11 |
| 6 | Traduction par Albert Rilliet Édition de 1858, libre de droits. | — Cette traduction ne possède que le Nouveau Testament. | |
| 7 | Traduction dite Bible de Lausanne Édition de 1861-1872, libre de droits. | 1 Et Jonas en ressentit un grand chagrin , et il fut irrité ; (4:1) 2 et il pria l’Eternel, et dit : Oh ! Eternel ! n’est-ce pas ce que je disais pendant que j’étais encore dans mon pays ? ? C’est pour cela que j’ai d’abord voulu m’enfuir à Tarscis. Car je savais que tu es un Dieu miséricordieux et compatissant, lent à la colère, et abondant en grâce, et qui te repens du mal. (4:2) 3 Et maintenant, Eternel ! je te prie, retire de moi mon âme, car mieux me vaut la mort que la vie ! (4:3) 4 Et l’Eternel [lui] dit : Fais-tu bien de t’irriter ? (4:4) 5 Puis Jonas sortit de la ville, et il s’assit à l’orient de la ville : il se fit là une feuillée, et s’y assit à l’ombre, attendant de voir ce qui arriverait à la ville. (4:5) 6 Et l’Eternel Dieu prépara un ricin , qui s’éleva au-dessus de Jonas, pour faire ombre sur sa tête, et le délivrer de sa souffrance ; et à cause du ricin, Jonas se réjouit d’une grande joie. (4:6) 7 Mais le lendemain, Dieu prépara un ver pour le lever de l’aurore, lequel attaqua le ricin, et il sécha. (4:7) 8 Et il arriva que, quand le soleil brilla, Dieu prépara un vent d’orient étouffant, et le soleil frappa sur la tête de Jonas ; et il défaillit, et demanda la mort pour son âme, et dit : Mieux me vaut la mort que la vie ! (4:8) 9 Et Dieu dit à Jonas : Fais-tu bien de t’irriter à cause de ce ricin ? Et il dit : Je fais bien de m’irriter jusqu’à la mort ! (4:9) 10 Et l’Eternel dit : Toi, tu as pitié d’un ricin, pour lequel tu n’as pris aucune peine et que tu n’as pas fait grandir, qui, né dans une nuit, dans une nuit a péri ; (4:10) 11 et moi, je n’aurais pas pitié de Ninive, cette grande ville, dans laquelle il y a plus de cent vingt mille êtres humains qui ne connaissent pas la différence de leur droite et de leur gauche, et du bétail en grand nombre ? (4:11) | Jonas 4:1-11 |
| 8 | Traduction selon la Vulgate dite Bible de Gustave Doré Édition de 1866, libre de droits. | 1 Alors Jonas fut rempli d’une profonde affliction, et s’irrita. (4:1) 2 Puis, adressant sa prière au Seigneur, il lui dit : N’est-ce pas là, ô mon Dieu, ce que je disais lorsque j’étais encore dans ma patrie ? C’est ce que je prévoyais, et c’est pour cela que j’ai fui à Tharsis. Car je sais que vous êtes un Dieu clément, bon, patient, plein de miséricorde, et qui pardonnez aux hommes leurs péchés. (4:2) 3 Je vous en conjure, Seigneur, retirez mon âme de mon corps, car la mort est meilleure pour moi que la vie. (4:3) 4 Le Seigneur lui dit : Penses-tu que ta colère soit raisonnable ? (4:4) 5 Jonas sortit ensuite de Ninive, et s’assit du côté de l’orient. Là il se fit une cabane de feuillage, où il se reposa à l’ombre, jusqu’à ce qu’il eût vu ce qui arriverait à la ville. (4:5) 6 Le Seigneur Dieu fit naître alors un lierre, qui s’éleva au-dessus de la tête de Jonas, pour l’ombrager et le mettre à l’abri des ardeurs du soleil, dont il était fort incommodé. Et Jonas en ressentit une très-grande joie. (4:6) 7 Le lendemain, au lever de l’aurore, le Seigneur envoya un ver qui piqua la racine du lierre et le fit sécher. (4:7) 8 Puis lorsque le soleil eut paru, le Seigneur fit souffler un vent chaud et brûlant, et, les rayons du soleil frappant sur la tête de Jonas, il était tourmenté par la chaleur, et il souhaita de mourir, en disant encore : La mort est meilleure pour moi que la vie. (4:8) 9 Le Seigneur dit à Jonas : Crois-tu avoir raison de t’irriter au sujet de ce lierre ? Jonas répondit : J’ai raison de m’irriter jusqu’à souhaiter la mort. (4:9) 10 Le Seigneur reprit : Tu t’affliges au sujet d’un lierre qui ne t’a point donné de peine et que tu n’as pas fait croître, qui est né dans une nuit, et qui est mort la nuit suivante ; (4:10) 11 Et moi je n’épargnerais pas la grande ville de Ninive, où il y a plus de cent vingt mille personnes qui ne savent pas discerner leur main droite de leur main gauche, et un grand nombre d’animaux ? (4:11) | Jonas 4:1-11 |
| 9 | Traduction par L. Segond & H. Oltramare Édition de 1874, libre de droits. | 1 Cela déplut fort à Jonas, et il fut irrité. (4:1) 2 Il implora l’Éternel, et il dit : Ah ! Éternel, n’est-ce pas ce que je disais quand j’étais encore dans mon pays ? C’est ce que je voulais prévenir en fuyant à Tarsis. Car je savais que tu es un Dieu compatissant et miséricordieux, lent à la colère et riche en bonté, et qui te repens du mal. (4:2) 3 Maintenant, Éternel, prends-moi donc la vie, car la mort m’est préférable à la vie. (4:3) 4 L’Éternel répondit : Fais-tu bien de t’irriter ? (4:4) 5 Et Jonas sortit de la ville, et s’assit à l’orient de la ville, Là il se fit une cabane, et s’y tint à l’ombre, jusqu’à ce qu’il vît ce qui arriverait dans la ville. (4:5) 6 L’Éternel Dieu fit croître un ricin, qui s’éleva au-dessus de Jonas, pour donner de l’ombre sur sa tête et pour lui ôter son irritation. Jonas éprouva une grande joie à cause de ce ricin. (4:6) 7 Mais le lendemain, à l’aurore, Dieu fit venir un ver qui piqua le ricin, et le ricin sécha. (4:7) 8 Au lever du soleil, Dieu fit souffler un vent chaud d’orient, et le soleil frappa la tête de Jonas, au point qu’il tomba en défaillance. Il demanda la mort, et dit : La mort m’est préférable à la vie. (4:8) 9 Dieu dit à Jonas : Fais-tu bien de t’irriter à cause du ricin ? Il répondit : Je fais bien de m’irriter jusqu’à la mort. (4:9) 10 Et l’Éternel dit : Tu as pitié du ricin qui ne t’a coûté aucune peine et que tu n’as pas fait croître, qui est né dans une nuit et qui a péri dans une nuit. (4:10) 11 Et moi, je n’aurais pas pitié de Ninive, la grande ville, dans laquelle se trouvent plus de cent vingt mille hommes qui ne savent pas distinguer leur droite de leur gauche, et des animaux en grand nombre ! (4:11) | Jonas 4:1-11 |
| 10 | Traduction par J. N. Darby Édition de 1885, libre de droits. | 1 — Mais Jonas trouva [cela] très-mauvais, et il fut irrité. (4:1) 2 Et il pria l’Éternel, et dit : Éternel, je te prie, n’était-ce pas là ma parole, quand j’étais encore dans mon pays ? C’est pourquoi j’ai d’abord voulu m’enfuir à Tarsis, car je savais que tu es un Dieu qui fais grâce et qui es miséricordieux, lent à la colère et grand en bonté et qui te repens du mal [dont tu as menacé] ; (4:2) 3 et maintenant, Éternel, je t’en prie, prends-moi ma vie, car mieux me vaut la mort que la vie. (4:3) 4 Et l’Éternel dit : Fais-tu bien de t’irriter ? (4:4) 5 Et Jonas sortit de la ville, et s’assit à l’orient de la ville ; et il se fit là une cabane, et s’assit dessous à l’ombre, jusqu’à ce qu’il vît ce qui arriverait à la ville. (4:5) 6 Et l’Éternel Dieu prépara un kikajon et le fit monter au-dessus de Jonas, pour faire ombre sur sa tête, pour le délivrer de sa misère, et Jonas se réjouit d’une grande joie à cause du kikajon. (4:6) 7 Et Dieu prépara un ver le lendemain, au lever de l’aurore, et il rongea le kikajon, et il sécha. (4:7) 8 Et il arriva que, quand le soleil se leva, Dieu prépara un doux vent d’orient, et le soleil frappa la tête de Jonas, et il défaillait, et il demanda la mort pour son âme, et dit : Mieux me vaut la mort que la vie. (4:8) 9 Et Dieu dit à Jonas : Fais-tu bien de t’irriter à cause du kikajon ? Et il dit : Je fais bien de m’irriter jusqu’à la mort. (4:9) 10 Et l’Éternel dit : Tu as pitié du kikajon pour lequel tu n’as pas travaillé, et que tu n’as pas fait croître ; qui, né en une nuit, a péri en une nuit ; (4:10) 11 et moi, je n’aurais pas pitié de Ninive, la grande ville, dans laquelle il y a plus de cent vingt mille êtres humains qui ne savent pas distinguer entre leur droite et leur gauche, et [aussi] beaucoup de bétail ! (4:11) | Jonas 4:1-11 |
| 11 | Traduction par L. Cl. Fillion Édition de 1889, libre de droits. | 1 Alors Jonas fut saisi d’une grande affliction, et il s’irrita. (4:1) 2 Et il implora le Seigneur, et il dit : De grâce, Seigneur, n’est-ce pas là ce que je disais lorsque j’étais encore dans mon pays ? C’est pour cela que j’avais résolu de fuir à Tharsis ; carje sais que vous êtes un Dieu clément et miséricordieux, patient et plein de compassion, et qui pardonne les péchés. (4:2) 3 Et maintenant, Seigneur, retirez-moi donc mon âme, car la mort est meilleure pour moi que la vie. (4:3) 4 Et le Seigneur dit : Penses-tu bien faire en t’irritant ? (4:4) 5 Alors Jonas sortit de Ninive, et s’assit à l’orient de la ville ; et il se fit là un abri, sous lequel il se tint à l’ombre, jusqu’à ce qu’il vît ce qui arriverait à la ville. (4:5) 6 Le Seigneur Dieu fit naître un lierre qui monta sur la tête de Jonas, pour donner de l’ombre sur sa tête et pour le mettre à couvert, parce qu’il souffrait ; et Jonas éprouva une grande joie au sujet du lierre. (4:6) 7 Le lendemain, à l’aurore, le Seigneur envoya un ver, qui piqua le lierre et le dessécha. (4:7) 8 Et quand le soleil fut levé, le Seigneur fit souffler un vent chaud et brûlant ; et le soleil frappa sur la tête de Jonas, qui étouffait, et il souhaita de mourir, en disant : La mort est meilleure pour moi que la vie. (4:8) 9 Alors le Seigneur dit à Jonas : Penses-tu bien faire en t’irritant au sujet de ce lierre ? Jonas répondit : Je fais bien de m’irriter jusqu’à la mort. (4:9) 10 Le Seigneur dit : Tu t’attristes au sujet d’un lierre qui ne t’a pas coûté de peine et que tu n’as pas fait croître, qui est né en une nuit et qui a péri en une nuit ; (4:10) 11 et moi je n’aurais pas pitié de Ninive, la grande ville, où il y a plus de cent vingt mille hommes qui ne savent pas discerner leur main droite d’avec leur main gauche, et un grand nombre d’animaux ? (4:11) | Jonas 4:1-11 |
| 12 | Traduction par Edmond Stapfer Édition de 1889, libre de droits. | — Cette traduction ne possède que le Nouveau Testament. | |
| 13 | Traduction du rabbinat par Zadoc Kahn Édition de 1899-1906, libre de droits. | 1 JONAS en conçut un grand déplaisir et se mit en colère. (4:1) 2 Et il adressa à l’Éternel cette prière : « Hélas ! Seigneur, n’est-ce pas là ce que je disais étant encore dans mon pays ? Aussi m’étais-je empressé de fuir à Tarsis. Car je savais que tu es un Dieu clément et miséricordieux, plein de longanimité et de bienveillance, prompt à revenir sur les menaces. (4:2) 3 Et maintenant, ô Éternel, de grâce, ôte-moi la vie ; car la mort pour moi est préférable à la vie. » (4:3) 4 L’Éternel répondit : « Est-ce à bon droit que tu t’affliges ? » (4:4) 5 Jonas, étant sorti de Ninive, s’était établi à l’orient de la ville ; là il s’était dressé une cabane sous laquelle il s’était assis à l’ombre, dans l’attente de ce qui se passerait dans la ville. (4:5) 6 Or, le Seigneur Dieu fit pousser un ricin qui s’éleva au-dessus de Jonas pour ombrager sa tête et le consoler de sa douleur. Jonas ressentit une grande joie au sujet du ricin. (4:6) 7 Mais dès l’aube du lendemain, ce même Dieu suscita un ver qui rongea le ricin, de sorte qu’il se dessécha. (4:7) 8 Puis, quand le soleil fut levé, Dieu fit souffler un vent d’Est étouffant, et le soleil darda ses feux sur la tête de Jonas, qui en fut accablé. Alors il se souhaita la mort à lui-même, et il dit : « La mort vaudrait mieux pour moi que la vie. » (4:8) 9 Et Dieu dit à Jonas : « Est-ce à bon droit que tu te chagrines à cause de ce ricin ? » Il répondit : « Je m’en chagrine à bon droit, au point de désirer la mort. » (4:9) 10 L’Éternel répliqua : « Quoi ! tu as souci de ce ricin qui ne t’a coûté aucune peine, que tu n’as point fait pousser, qu’une nuit a vu naître, qu’une nuit a vu périr : (4:10) 11 et moi je n’épargnerais pas Ninive, cette grande ville, qui renferme plus de douze myriades d’êtres humains, incapables de distinguer leur main droite de leur main gauche, et un bétail considérable ! » (4:11) | Jonas 4:1-11 |
| 14 | Traduction par Louis Segond Édition de 1910, libre de droits. | 1 Cela déplut fort à Jonas, et il fut irrité. (4:1) 2 Il implora l’Éternel, et il dit : Ah ! Éternel, n’est-ce pas ce que je disais quand j’étais encore dans mon pays ? C’est ce que je voulais prévenir en fuyant à Tarsis. Car je savais que tu es un Dieu compatissant et miséricordieux, lent à la colère et riche en bonté, et qui te repens du mal. (4:2) 3 Maintenant, Éternel, prends-moi donc la vie, car la mort m’est préférable à la vie. (4:3) 4 L’Éternel répondit : Fais-tu bien de t’irriter ? (4:4) 5 Et Jonas sortit de la ville, et s’assit à l’orient de la ville, Là il se fit une cabane, et s’y tint à l’ombre, jusqu’à ce qu’il vît ce qui arriverait dans la ville. (4:5) 6 L’Éternel Dieu fit croître un ricin, qui s’éleva au-dessus de Jonas, pour donner de l’ombre sur sa tête et pour lui ôter son irritation. Jonas éprouva une grande joie à cause de ce ricin. (4:6) 7 Mais le lendemain, à l’aurore, Dieu fit venir un ver qui piqua le ricin, et le ricin sécha. (4:7) 8 Au lever du soleil, Dieu fit souffler un vent chaud d’orient, et le soleil frappa la tête de Jonas, au point qu’il tomba en défaillance. Il demanda la mort, et dit : La mort m’est préférable à la vie. (4:8) 9 Dieu dit à Jonas : Fais-tu bien de t’irriter à cause du ricin ? Il répondit : Je fais bien de m’irriter jusqu’à la mort. (4:9) 10 Et l’Éternel dit : Tu as pitié du ricin qui ne t’a coûté aucune peine et que tu n’as pas fait croître, qui est né dans une nuit et qui a péri dans une nuit. (4:10) 11 Et moi, je n’aurais pas pitié de Ninive, la grande ville, dans laquelle se trouvent plus de cent vingt mille hommes qui ne savent pas distinguer leur droite de leur gauche, et des animaux en grand nombre ! (4:11) | Jonas 4:1-11 |
| 15 | Traduction par Augustin Crampon Édition de 1923, libre de droits. | 1 Jonas en éprouva un vif chagrin, et il fut irrité. (4:1) 2 Il fit une prière à Yahweh et dit : “ Ah ! Yahweh, n’est-ce pas là ce que je disais lorsque j’étais encore dans mon pays ? C’est pourquoi je me suis d’abord enfui à Tharsis ; car je savais que vous êtes un Dieu miséricordieux et clément, lent à la colère, riche en grâce et vous repentant du mal. (4:2) 3 Maintenant, Yahweh, retirez donc de moi mon âme, car la mort vaut mieux pour moi que la vie. ˮ (4:3) 4 Et Yahweh répondit : “ Fais-tu bien de t’irriter ? ˮ (4:4) 5 Et Jonas sortit de la ville et s’assit à l’orient de la ville ; là il se fit une hutte et s’assit dessous à l’ombre, jusqu’à ce qu’il vît ce qui arriverait dans la ville. (4:5) 6 Et Yahweh-Dieu fit pousser un ricin qui s’éleva au-dessus de Jonas pour qu’il y eût de l’ombre sur sa tête, afin de le délivrer de son mal ; et Jonas éprouva une grande joie à cause du ricin. (4:6) 7 Mais Yahweh fit venir, au lever de l’aurore, le lendemain, un ver qui piqua le ricin ; et il sécha. (4:7) 8 Et quand le soleil se leva, Yahweh fit venir un vent brûlant d’orient ; et le soleil donna sur la tête de Jonas, au point qu’il défaillit. Il demanda de mourir et dit : “ La mort vaut mieux pour moi que la vie. ˮ (4:8) 9 Alors Dieu dit à Jonas : “ Fais-tu bien de t’irriter à cause du ricin ? ˮ Il répondit : “ Je fais bien de m’irriter jusqu’à la mort. ˮ (4:9) 10 Et Yahweh dit : “ Tu t’affliges au sujet du ricin pour lequel tu n’as pas travaillé et que tu n’as pas fait croître, qui est venu en une nuit et qui a péri en une nuit ; (4:10) 11 et moi, je ne m’affligerais pas au sujet de Ninive, la grande ville, dans laquelle il y a plus de cent vingt mille hommes qui ne distinguent pas leur droite de leur gauche, et des animaux en grand nombre ! ˮ (4:11) | Jonas 4:1-11 |
| 16 | La Bible de Jérusalem Édition de 1973 © Copyright.[+] | 1 Jonas en eut un grand dépit, et il se fâcha. (4:1) 2 Il fit une prière à Yahvé : « Ah ! Yahvé, dit-il, n’est-ce point là ce que je disais lorsque j’étais encore dans mon pays ? C’est pourquoi je m’étais d’abord enfui à Tarsis ; je savais en effet que tu es un Dieu de pitié et de tendresse, lent à la colère, riche en grâce et te repentant du mal. (4:2) 3 Maintenant, Yahvé, prends donc ma vie, car mieux vaut pour moi mourir que vivre. » (4:3) 4 Yahvé répondit : « As-tu raison de te fâcher ? » (4:4) 5 Jonas sortit de la ville et s’assit à l’orient de la ville ; il se fit là une hutte et s’assit dessous, à l’ombre, pour voir ce qui arriverait dans la ville. (4:5) 6 Alors Yahvé Dieu fit qu’il y eut un ricin qui grandit au-dessus de Jonas, afin de donner de l’ombre à sa tête et de le délivrer ainsi de son mal. Jonas éprouva une grande joie à cause du ricin. (4:6) 7 Mais, à la pointe de l’aube, le lendemain, Dieu fit qu’il y eut un ver qui piqua le ricin, celui-ci sécha. (4:7) 8 Puis, quand le soleil se leva, Dieu fit qu’il y eut un vent d’est brûlant ; le soleil darda ses rayons sur la tête de Jonas qui fut accablé. Il demanda la mort et dit : « Mieux vaut pour moi mourir que vivre. » (4:8) 9 Dieu dit à Jonas : « As-tu raison de te fâcher pour ce ricin ? » Il répondit : « Oui, j’ai bien raison d’être fâché à mort. » (4:9) 10 Yahvé repartit : « Toi, tu as de la peine pour ce ricin, qui ne t’a coûté aucun travail et que tu n’as pas fait grandir, qui a poussé en une nuit et en une nuit à péri. (4:10) 11 Et moi, je ne serais pas en peine pour Ninive, la grande ville, où il y a plus de 120.000 êtres humains qui ne distinguent pas leur droite de leur gauche, ainsi qu’une foule d’animaux ! » (4:11) | Jonas 4:1-11 |
| 17 | Nouvelle édition de Genève Édition de 1979 © Copyright.[+] | 1 Cela déplut fort à Jonas, et il fut irrité. (4:1) 2 Il implora l’Eternel, et il dit : Ah ! Eternel, n’est-ce pas ce que je disais quand j’étais encore dans mon pays ? C’est ce que je voulais prévenir en fuyant à Tarsis. Car je savais que tu es un Dieu compatissant et miséricordieux, lent à la colère et riche en bonté, et qui te repens du mal. (4:2) 3 Maintenant, Eternel, prends-moi donc la vie, car la mort m’est préférable à la vie. (4:3) 4 L’Eternel répondit : Fais-tu bien de t’irriter ? (4:4) 5 Et Jonas sortit de la ville, et s’assit à l’orient de la ville. Là il se fit une cabane, et s’y tint à l’ombre, jusqu’à ce qu’il voie ce qui arriverait dans la ville. (4:5) 6 L’Eternel Dieu fit croître un ricin, qui s’éleva au-dessus de Jonas, pour donner de l’ombre à sa tête et pour lui ôter son irritation. Jonas éprouva une grande joie à cause de ce ricin. (4:6) 7 Mais le lendemain, à l’aurore, Dieu fit venir un ver qui rongea le ricin, et le ricin sécha. (4:7) 8 Au lever du soleil, Dieu fit souffler un vent chaud d’orient, et le soleil frappa la tête de Jonas, au point qu’il tomba en défaillance. Il demanda la mort, et dit : La mort m’est préférable à la vie. (4:8) 9 Dieu dit à Jonas : Fais-tu bien de t’irriter à cause du ricin ? Il répondit : Je fais bien de m’irriter jusqu’à la mort. (4:9) 10 Et l’Eternel dit : Tu as pitié du ricin qui ne t’a coûté aucune peine et que tu n’as pas fait croître, qui est né dans une nuit et qui a péri dans une nuit. (4:10) 11 Et moi, je n’aurais pas pitié de Ninive, la grande ville, dans laquelle se trouvent plus de cent vingt mille hommes qui ne savent pas distinguer leur droite de leur gauche, et des animaux en grand nombre ! (4:11) | Jonas 4:1-11 |
| 18 | Traduction du monde nouveau par WTBTS Édition de 1995 © Copyright.[+] | 1 Mais cela déplut fort à Yona, et il s’enflamma de colère. (4:1) 2 Il pria alors Jéhovah et dit : “ Ah ! Jéhovah, n’était-ce pas là mon affaire, alors que j’étais sur mon sol ? C’est pourquoi je suis allé de l’avant et me suis enfui à Tarsis ; car je savais que tu es un Dieu compatissant et miséricordieux, lent à la colère et abondant en bonté de cœur, et qui regrette le malheur. (4:2) 3 Et maintenant, ô Jéhovah, s’il te plaît, enlève-moi mon âme, car mieux vaut pour moi mourir que vivre. ” (4:3) 4 Mais Jéhovah dit : “ Est-ce avec raison que tu t’es enflammé de colère ? ” (4:4) 5 Alors Yona sortit de la ville et s’assit à l’est de la ville ; là il se mit à faire une hutte pour s’asseoir dessous, à l’ombre, jusqu’à ce qu’il ait vu ce que deviendrait la ville. (4:5) 6 Jéhovah Dieu préposa alors un lagenaria pour que [cette plante] monte au-dessus de Yona, de façon à devenir une ombre sur sa tête ; c’était afin de le délivrer de son malheur. Et Yona se réjouissait beaucoup au sujet du lagenaria. (4:6) 7 Mais le [vrai] Dieu préposa un ver, le lendemain, à la montée de l’aurore, pour que celui-ci frappe le lagenaria ; et [la plante] se desséchait. (4:7) 8 Et voici ce qui arriva : dès que le soleil se leva, alors Dieu préposa encore un vent d’est brûlant ; et le soleil frappait sur la tête de Yona, si bien qu’il était en train de s’évanouir ; et il demandait la mort pour son âme, et il ne cessait de dire : “ Mieux vaut pour moi mourir que vivre. ” (4:8) 9 Alors Dieu dit à Yona : “ Est-ce avec raison que tu t’es enflammé de colère au sujet du lagenaria ? ” À quoi il dit : “ C’est avec raison que je me suis enflammé de colère, jusqu’à la mort. ” (4:9) 10 Mais Jéhovah dit : “ Toi, tu t’es apitoyé sur le lagenaria pour lequel tu n’as pas peiné et que tu n’as pas fait grandir, qui a été la plante d’une nuit et a péri comme la plante d’une nuit. (4:10) 11 Et moi, ne devrais-je pas m’apitoyer sur Ninive la grande ville où existent plus de cent vingt mille hommes qui ne connaissent pas la différence entre leur droite et leur gauche, sans compter des animaux domestiques en grand nombre ? ” (4:11) | Yona 4:1-11 |
| 19 | Traduction Louis Segond 21 Édition de 2007 © Copyright.[+] | 1 Jonas le prit très mal et fut irrité. (4:1) 2 Il pria l’Eternel en disant : « Ah ! Eternel, n’est-ce pas ce que je disais quand j’étais encore dans mon pays ? C’est ce que je voulais éviter en fuyant à Tarsis. En effet, je savais que tu es un Dieu de grâce et de compassion, lent à la colère et riche en bonté, et qui regrettes le mal que tu envoies. (4:2) 3 Maintenant, Eternel, prends-moi donc la vie, car mourir vaut mieux pour moi que vivre. » (4:3) 4 L’Eternel répondit : « Fais-tu bien de t’irriter ? » (4:4) 5 Jonas sortit de la ville et s’assit à l’est de la ville. Là il se fit une cabane et s’y tint à l’ombre en attendant de voir ce qui arriverait dans la ville. (4:5) 6 L’Eternel Dieu fit pousser une plante qui s’éleva au-dessus de Jonas pour donner de l’ombre à sa tête et le délivrer de son mal. Jonas éprouva une grande joie à cause de cette plante, (4:6) 7 mais le lendemain à l’aurore, Dieu fit venir un ver qui la rongea, et la plante sécha. (4:7) 8 Au lever du soleil, Dieu fit souffler un vent chaud d’est, et le soleil frappa la tête de Jonas au point qu’il tomba en défaillance. Il demanda la mort en disant : « Il vaut mieux pour moi mourir que vivre. » (4:8) 9 Dieu dit à Jonas : « Fais-tu bien de t’irriter à cause de la plante ? » Il répondit : « Je fais bien de m’irriter jusqu’à la mort. » (4:9) 10 L’Eternel dit : « Tu as pitié de la plante qui ne t’a coûté aucune peine et que tu n’as pas fait pousser, qui est née une nuit et qui a disparu l’autre nuit, (4:10) 11 et moi, je n’aurais pas pitié de Ninive, la grande ville, dans laquelle se trouvent plus de 120’000 êtres humains incapables de distinguer leur droite de leur gauche et un grand nombre d’animaux ! » (4:11) | Jonas 4:1-11 |
| 20 | Traduction du monde nouveau par WTBTS Édition de 2018 © Copyright.[+] | 1 Mais cela ne plut pas du tout à Jonas, et il s’enflamma de colère. (4:1) 2 Il fit donc cette prière à Jéhovah : « Ah ! Jéhovah, c’est bien ce que je disais quand j’étais dans mon pays. Voilà pourquoi au début j’ai essayé de m’enfuir à Tarsis ; car je savais que tu es un Dieu compatissant et miséricordieux, lent à se mettre en colère et abondant en amour fidèle, un Dieu qui s’attriste du malheur. (4:2) 3 Et maintenant, ô Jéhovah, s’il te plaît, ôte-moi la vie, car il vaut mieux pour moi mourir que vivre. » (4:3) 4 Jéhovah lui demanda : « As-tu raison d’être autant en colère ? » (4:4) 5 Jonas sortit de Ninive et s’assit à l’est de la ville. Il se fit un abri et s’assit dessous, à l’ombre, pour voir ce qui arriverait à la ville. (4:5) 6 Jéhovah Dieu fit alors pousser une plante, une courge, pour qu’elle monte au-dessus de la tête de Jonas, lui fasse de l’ombre et le soulage. Jonas fut très heureux que cette plante soit là. (4:6) 7 Mais le lendemain, à l’aurore, le vrai Dieu envoya un ver attaquer la courge, et elle se dessécha. (4:7) 8 Quand le soleil se mit à briller, Dieu envoya aussi un vent d’est brûlant ; et le soleil tapait si fort sur la tête de Jonas qu’il se sentit mal. Il demandait à mourir et disait : « Il vaut mieux pour moi mourir que vivre. » (4:8) 9 Dieu demanda à Jonas : « As-tu raison d’être autant en colère à cause de la plante ? » « Oui, répondit-il, j’ai raison d’être en colère, en colère au point de vouloir mourir. » (4:9) 10 Mais Jéhovah lui dit : « Tu as pitié de cette plante, qui ne t’a demandé aucun travail et que tu n’as pas fait pousser, qui a poussé en une nuit et est morte en une nuit. (4:10) 11 Et moi, ne devrais-je pas avoir pitié de Ninive, la grande ville, où vivent plus de 120 000 humains qui ne font même pas la différence entre le bien et le mal, sans compter leurs nombreux animaux ? » (4:11) | Jonas 4:1-11 |
| 21 | Traduction française de la Bible King James par N. L. Stratford Édition de 2022 © Copyright.[+] | 1 Mais cela déplut extrêmement à Jonas, et il en était très en colère. (4:1) 2 Et il pria le SEIGNEUR, et dit : ô SEIGNEUR, je te prie, n’était-ce pas là ma parole, quand j’étais encore dans mon pays ? Par conséquent j’ai d’abord voulu m’enfuir à Tarshish : car je savais que tu es un Dieu qui fait grâce, miséricordieux, lent à la colère et de grande bonté, et qui te repens du mal. (4:2) 3 Par conséquent maintenant, ô SEIGNEUR, prends, je t’implore, ma vie : car c’est mieux pour moi de mourir plutôt que de vivre. (4:3) 4 ¶ Puis le SEIGNEUR dit : Fais-tu bien d’être en colère ? (4:4) 5 Alors Jonas sortit de la ville, et s’assit à l’est de la ville : et il s’y fit une cabane et s’assit dessous à l’ombre, jusqu’à ce qu’il puisse voir ce qui arriverait à la ville. (4:5) 6 Et le SEIGNEUR Dieu prépara une courge, et la fit monter au-dessus de Jonas, afin qu’elle puisse faire ombre sur sa tête, pour le délivrer de sa peine. Ainsi Jonas fut extrêmement content à cause de la courge. (4:6) 7 Mais Dieu prépara un ver, lorsque l’aube du jour se lèverait le lendemain, et il frappa la courge, en sorte qu’elle sécha. (4:7) 8 Et il arriva quand le soleil se leva, Dieu prépara un violent vent d’Est, et le soleil frappa sur la tête de Jonas, en sorte qu’il s’évanouit, et désira mourir, et dit : C’est mieux pour moi de mourir plutôt que de vivre. (4:8) 9 Et Dieu dit à Jonas : Fais-tu bien d’être en colère à cause de la courge ? Et il dit : Je fais bien d’être en colère, même jusqu’à la mort. (4:9) 10 Alors le SEIGNEUR dit : Tu as pitié d’une courge, pour laquelle tu n’as pas travaillé, tu ne l’as pas fait croître : qui est venue en une nuit, et a péri en une nuit : (4:10) 11 Et moi n’épargnerai-je pas Ninive, cette grande ville, dans laquelle il y a plus de cent vingt mille personnes qui ne savent pas discerner leur main droite de leur main gauche, et où il y a aussi beaucoup de bétail ? (4:11) | Jonas 4:1-11 |