« les festivités du Nouvel An tirent leurs racines de coutumes païennes. Le faux culte étant impur et détestable aux yeux de Jéhovah, les chrétiens rejettent les pratiques ayant de telles origines (Deutéronome 18:9-12 ; Ézékiel 22:3, 4). » — Revue : Réveillez-vous ! du 8 janvier 2002, pages 21 § 4.
« Encore aujourd’hui, les rites superstitieux jouent un rôle dans les fêtes du Nouvel An. Ainsi, dans certaines régions d’Amérique du Sud, beaucoup de personnes accueillent la nouvelle année en se tenant sur leur pied droit. D’autres klaxonnent et font exploser des pétards. Une coutume tchèque veut que l’on mange de la soupe de lentilles au réveillon, tandis que, selon une tradition slovaque, les gens mettent de l’argent ou des écailles de poisson sous leur nappe. Ces rites visant à conjurer le mauvais sort et à garantir la prospérité ne font que perpétuer la croyance antique selon laquelle le début de l’année détermine le destin de chacun. » — Revue : Réveillez-vous ! du 8 janvier 2002, page 21 § 2.
« La Bible exhorte les chrétiens à ‘ marcher avec décence : non pas dans les orgies ni dans les soûleriesa ’. (Romains 13:12-14 ; Galates 5:19-21 ; 1 Pierre 4:3.) Les festivités du Nouvel An étant souvent marquées par les excès que la Bible condamne, les chrétiens n’y participent pas. » — Revue : Réveillez-vous ! du 8 janvier 2002, page 21 § 3.
SAVEZ-VOUS comment reconnaître un témoin de Jéhovah au mois de janvier ?
Si la question ci-dessus peut sembler amusante ou faire un peu sourire, dans le cadre de leurs activités profanes, les témoins de Jéhovah sont régulièrement en contact avec « les gens du monde ». Ce vocabulaire d'isolement interne au groupe, est utilisé pour désigner l'ensemble des autres humains sur Terre, qui ne sont pas membres de l'organisation américaine Watchtower et fidèles à leurs dirigeants ou collège central.
Pour la plupart d'entre eux telle une épreuve de fidélité, chaque année, c'est la même appréhension qui se renouvelle. Lorsque vient le traditionnel « Bonne année ! », ils répondent généralement tous bêlement la même chose : « Merci », et rien d'autre ; ce qui malheureusement, donne bien souvent aussi l'impression d'une personne en retrait, repliée sur soi ou éventuellement égoïste et qui ne se soucie guère du bien-être des autres, etc.
Mais est-ce vraiment mal de répondre « Merci, à vous aussi ! », lorsqu'une personne vous souhaite gentiment une bonne année ?
Comme le montrent les citations en exergue et bien d'autres publications de la Watchtower, les fidèles du collège central(!) pensent que le fait de souhaiter également une bonne année, revient à participer à ces fêtes et donc à pécher contre Dieu, etc.
Mais en réalité, est-ce vraiment le cas ? Puisque les publications de l'organisation Watchtower ‘autorise la conscience des fidèles’ à adresser aux ‘gens du monde’ un « Bonjour », une « Bonne journée ! », une « Bonne semaine ! », ou encore une « Bonne soirée ! » ou un « Bon appétit ! », est-il vraiment mal de répondre « Bonne année ! » ou poliment « Merci, à vous aussi ! » ?
En réalité, la Bible ne parle pas de telles célébrations.
En conclusion
Ainsi, si tu es un témoin de Jéhovah et que tu prends posément le temps d'y réfléchir, tu t'apercevras qu'il n'y a finalement rien de mal ou aucune différence entre dire « Bonne année !», « Bonne journée !» ou « Bonne semaine ! » ; et que tu n'as pas à te culpabiliser pour ces choses.
Tu es simplement victime d'un endoctrinement.
Alors la prochaine fois que l'on te souhaitera une « Bonne année ! », pourquoi ne pas répondre également « Merci, à vous aussi ! » ; ça fera certainement plaisir à la personne, tout autant que si tu lui souhaitais une « Bonne journée ! » ou une « Bonne semaine ! ».
« Ce travail a pris rapidement des proportions monumentales. Pour mieux le diriger, on a fondé le 16 février 1881 la Zion’s Watch Tower Tract Society, dont le président était W. Conley, Charles Russell assurant la fonction de secrétaire-trésorier. [...]. En 1884, la Zion’s Watch Tower Tract Society a été enregistrée légalement, et Charles Russell en est devenu le président. » — Livre : Les témoins de Jéhovah, prédicateurs du royaume de Dieu, édition de 1993, page 576 § 1.
« En raison de l’expansion continue de son œuvre, il devint nécessaire de constituer légalement la Société établie en 1881. À la suite d’une demande régulière, faite le 13 décembre 1884, le Juge F. H. Collier de la Cour des Plaids Communs pour le Comté d’Allegheny, Pensylvanie, accorda une charte légale qui fut dûment enregistrée le 15 décembre 1884, donnant ainsi à la Société une existence légale. Le nom légal sous lequel elle fut enregistrée à l’origine, Zion’s Watch Tower Tract Society, fut changé, en 1896, par un amendement approuvé par la Cour, en celui qu’elle porte actuellement : Watch Tower Bible and Tract Society. » — Revue : La tour de garde du 15 juin 1955, page 186 § 1.
« En 1880, Charles Russell, le premier rédacteur en chef du périodique La Tour de Garde, a fait un voyage dans plusieurs villes du nord-est des États-Unis pour encourager la formation de groupes d’étude de la Bible. » — Revue : La tour de garde du 1er mai 1994, page 14 § 3.
« Zion’s Watch Tower Tract Society (Société de Tracts Tour de Garde de Sion). Formée en 1881, puis enregistrée légalement le 15 décembre 1884 dans l’État de Pennsylvanie. En 1896, son nom a été changé en celui de Watch Tower Bible and Tract Society (Tour de Garde, Société de Bibles et de Traités). Depuis 1955, elle porte le nom Watch Tower Bible and Tract Society of Pennsylvania. » — Livre : Les témoins de Jéhovah, prédicateurs du royaume de Dieu, édition de 1993, Encadré, page 229 § 1.
« Durant les années 1890, des individus sans scrupules associés à l’organisation de Dieu ont tenté de s’emparer de la direction de la Société Watch Tower. Ils ont conspiré contre Charles Russell dans le but de mettre un terme à son mandat de premier président de la Société. Après avoir couvé pendant environ deux ans, la conspiration a éclaté en 1894. Les fausses accusations lancées contre Russell portaient principalement sur sa prétendue malhonnêteté dans les affaires. [...] il s’est avéré que cette épreuve venait de Satan, et les conspirateurs ont été jugés indignes de continuer à jouir de la compagnie des chrétiens. » — Revue : La tour de garde du 15 octobre 1989, page 19 § 19.
« En 1881, il (Russell) s’associa à d’autres chrétiens voués à Dieu et fonda une association biblique à but non lucratif. C’était la Zion’s Watch Tower Tract Society, aujourd’hui la Watch Tower Bible and Tract Society of Pennsylvania, qui est l’instrument juridique dont se servent les Témoins de Jéhovah. » — Livre : L’humanité à la recherche de Dieu, édition de 1990, page 352 § 18.
« C’est pourquoi, au début de 1881, la ZION’S WATCH TOWER SOCIETY fut établie comme un appareil administratif non constituée en corporation légale, avec Russell comme directeur. » — Revue : La tour de garde du 1er juin 1955, page 172 § 1.
« En 1884, cette association acquit la capacité juridique, et Russell en devint le président. » — Livre : Annuaire des témoins de Jéhovah de 1975, page 40 § 3.
« En 1884, cette Société s’est constituée en corporation. » — Livre : Les témoins de Jéhovah dans les desseins divins, édition de 1971, page 27 § 1.
« In 1884 WATCH TOWER BIBLE AND TRACT SOCIETY was organized, and was incorporated under the laws of the State of Pennsylvania. » — Livre : A Great Battle in the Ecclesiastical Heavens, by J. F. Rutherford, edition of 1915, page 14 § 2.
| Traduction |
« En 1884, la WATCH TOWER BIBLE AND TRACT SOCIETY fut organisée et incorporée en vertu des lois de l’État de Pennsylvanie. » — Livre (traduction) : Une grande bataille dans les cieux ecclésiastiques, par J. F. Rutherford, édition de 1915, page 14 § 2.
« John Conley was a princely merchant of Pittsburgh. He carried the spirit of business enterprise into the Lord’s work. He was indeed a modern Barnabas. Mr. Conley founded our Palestine mission, and supported Miss Dunn’s work there till the close of his life. At the same time his heart was in home missions. To him the coming of the Lord was a blessed and living hope. He was a membre of the Board of Managers. He went to his reward July 25, 1897. » — Livre : Twenty-five wonderful years, 1889-1914, A popular sketch of the Christian and missionary alliance, edition of 1914, pages 208-209 § 1.
| Traduction |
« John Conley était un marchand princier de Pittsburgh. Il a porté l’esprit d’entreprise dans l’œuvre du Seigneur. Il était en effet un Barnabé moderne. M. Conley a fondé notre mission en Palestine et y a soutenu le travail de Mlle Dunn jusqu’à la fin de sa vie. En même temps, son cœur était dans les missions à domicile. Pour lui, la venue du Seigneur était une espérance bénie et vivante. Il était membre du Conseil d’administration. Il alla à sa récompense le 25 juillet 1897. » — Livre (traduction) : Vingt-cinq années merveilleuses, 1889-1914, Esquisse populaire de l’Alliance chrétienne et missionnaire, édition de 1914, pages 208-209 § 1.
« BOARDS OF MANAGERS [...] Mr. William H. Conley [...]. » — Brochure : Manual of rules and officers of the Christian and missionary alliance, page 5.
| Traduction |
« CONSEILS D’ADMINISTRATION [...] M. William H. Conley [...]. » — Brochure (traduction) : Manuel des règles et des officiers de l’Alliance chrétienne et missionnaire , page 5.
« PRESIDENT-Mr. C. M. Kinney. VICE-PRESIDENTS-Mr. [...] Mr. Conley, [...]. » — Magazine : The christian alliance and missionary weekly, March 21-28 1890, page 195 § 3.
| Traduction |
« PRÉSIDENT Monsieur C. M. Kinney. VICE-PRÉSIDENTS M. [...] M. Conley, [...]. » — Magazine (traduction) : L’hebdomadaire de l’Alliance chrétienne et missionnaire, 21-28 mars 1890, page 195 § 3.
« L’organisation visible de Jéhovah est vraiment digne de confiance. Elle ne m’a jamais induit en erreur dans quelque domaine que ce soit. » — Revue : La tour de garde du 1er septembre 1984, page 12 § 21.
(!) Sur ce blog, l'expression « les fidèles du collège central » désigne les membres de l'organisation Watchtower, qui au lieu de rechercher uniquement la direction divine du Père par l'intermédiaire de Jésus-Christ, font passer les instructions humaines du collège central avant leurs propres existences, le bon sens et parfois l'amour du prochain, etc.