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1Traduction par David Martin
Édition de 1744, libre de droits.
1 A la mienne volonté que tu fendisses les cieux, et que tu descendisses, [et] que les montagnes s’écoulassent de devant toi ! (64:1)
2 Comme un feu de fonte est ardent, et [comme] le feu fait bouillir l’eau ; tellement que ton Nom fût manifesté à tes ennemis, et que les nations tremblassent à cause de ta présence. (64:2)
3 Quand tu fis les choses terribles que nous n’attendions point, tu descendis, et les montagnes s’écoulèrent de devant toi. (64:3)
4 Et on n’a jamais ouï ni entendu des oreilles, ni l’œil n’a jamais vu de Dieu hormis toi, qui fît de telles choses pour ceux qui s’attendent à lui. (64:4)
5 Tu es venu rencontrer celui qui se réjouissait, et qui se portait justement ; ils se souviendront de toi dans tes voies ; voici, tu as été ému à indignation parce que nous avons péché ; [tes compassions] sont éternelles, c’est pourquoi nous serons sauvés. (64:5)
6 Or nous sommes tous devenus comme une chose souillée, et toutes nos justices sont comme le linge le plus souillé ; nous sommes tous tombés comme la feuille, et nos iniquités nous ont transportés comme le vent. (64:6)
7 Et il n’y a personne qui réclame ton Nom, qui se réveille pour te demeurer fortement attaché ; c’est pourquoi tu as caché ta face de nous, et tu nous as fait fondre par la force de nos iniquités. (64:7)
8 Mais maintenant, ô Éternel ! Tu [es] notre Père ; nous sommes l’argile, et tu [es] celui qui nous as formés, et nous sommes tous l’ouvrage de ta main. (64:8)
9 Éternel, ne sois point excessivement indigné contre nous, et ne te souviens point à toujours de notre iniquité. Voici, regarde, nous te prions, nous sommes tous ton peuple. (64:9)
10 Les villes de ta sainteté sont devenues un désert ; Sion est devenue un désert, [et] Jérusalem une désolation. (64:10)
11 La maison de notre sanctification et de notre magnificence, où nos pères t’ont loué, a été brûlée par le feu, et il n’y a rien eu de toutes les choses qui nous étaient chères qui n’ait été désolé. (64:11)
12 Éternel, ne te retiendras-tu pas après ces choses ? Et ne cesseras-tu pas ? Car tu nous as extrêmement affligés. (64:12)
Ésaïe
64:1-12
2Traduction King James revue par B. Blayney
Édition de 1769, libre de droits (hors GB).
1 Oh that thou wouldest rend the heavens, that thou wouldest come down, that the mountains might flow down at thy presence, (64:1)
2 As when the melting fire burneth, the fire causeth the waters to boil, to make thy name known to thine adversaries, that the nations may tremble at thy presence ! (64:2)
3 When thou didst terrible things which we looked not for, thou camest down, the mountains flowed down at thy presence. (64:3)
4 For since the beginning of the world men have not heard, nor perceived by the ear, neither hath the eye seen, O God, beside thee, what he hath prepared for him that waiteth for him. (64:4)
5 Thou meetest him that rejoiceth and worketh righteousness, those that remember thee in thy ways : behold, thou art wroth ; for we have sinned : in those is continuance, and we shall be saved. (64:5)
6 But we are all as an unclean thing, and all our righteousnesses are as filthy rags ; and we all do fade as a leaf ; and our iniquities, like the wind, have taken us away. (64:6)
7 And there is none that calleth upon thy name, that stirreth up himself to take hold of thee : for thou hast hid thy face from us, and hast consumed us, because of our iniquities. (64:7)
8 But now, O LORD, thou art our father ; we are the clay, and thou our potter ; and we all are the work of thy hand. (64:8)
9 Be not wroth very sore, O LORD, neither remember iniquity for ever : behold, see, we beseech thee, we are all thy people. (64:9)
10 Thy holy cities are a wilderness, Zion is a wilderness, Jerusalem a desolation. (64:10)
11 Our holy and our beautiful house, where our fathers praised thee, is burned up with fire : and all our pleasant things are laid waste. (64:11)
12 Wilt thou refrain thyself for these things, O LORD ? wilt thou hold thy peace, and afflict us very sore ? (64:12)
Isaiah
64:1-12
3Traduction revue par J. F. Ostervald
Édition de 1823, libre de droits.
1 Oh ! si tu ouvrais les cieux, et si tu descendais ! les montagnes s’écouleraient de devant toi, (64:1)
2 Comme si elles se fondaient au feu, et comme le feu fait bouillir l’eau ; tellement que ton nom fût manifesté à tes ennemis, et les nations trembleraient à cause de ta présence. (64:2)
3 Quand tu fis des choses terribles que nous n’attendions point, tu descendis, et les montagnes s’écoulèrent de devant toi. (64:3)
4 Car on n’a jamais ouï ni entendu des oreilles, et l’œil n’a jamais vu d’autre Dieu que toi, qui fît de telles choses à ceux qui s’attendent à lui. (64:4)
5 Tu es venu au-devant de celui qui était dans la joie, et qui faisait ce qui est juste ; ils se souviendront de toi dans tes voies. Voici, tu t’étais irrité, parce que nous avions péché contre elles pendant long-temps ; cependant nous serons délivrés. (64:5)
6 Or, nous sommes tous devenus comme une chose souillée, et toutes nos justices sont comme le linge le plus souillé ; nous sommes tous déchus comme la feuille, et nos iniquités nous ont transportés comme le vent. (64:6)
7 Et il n’y a personne qui réclame ton nom, qui se réveille pour se tenir ferme à toi ; c’est pourquoi tu as caché ta face de nous, et tu nous as fait fondre par la force de nos iniquités. (64:7)
8 Mais maintenant, ô Eternel, tu es notre père, nous sommes l’argile, et tu es celui qui nous as formés, et nous sommes tous l’ouvrage de tes mains. (64:8)
9 Eternel ! ne sois pas excessivement ému à indignation, et ne te souviens pas toujours de notre iniquité ; voici, regarde, nous te prions, nous sommes tous ton peuple. (64:9)
10 Les villes de ta sainteté sont devenues un désert ; Sion est devenue un désert, et Jérusalem une désolation. (64:10)
11 La maison de notre sanctification et de notre gloire, où nos pères t’ont loué, a été consumée par le feu, et il n’y a rien eu de toutes les choses qui nous étaient chères qui n’ait été désolé. (64:11)
12 Eternel ! ne te retiendras-tu pas après cela ? Ne cesseras-tu pas ? Et nous affligeras-tu jusqu’à l’extrémité ? (64:12)
Esaïe
64:1-12
4Traduction par H.-A. Perret-Gentil
Édition de 1847-1861, libre de droits.
1 O ! si tu entr’ouvrais les Cieux et descendais, par ta présence ébranlant les montagnes, (64:1a)
2 pareil au feu qui brûle la ramée, au feu qui fait bouillir l’eau, pour faire connaître ton nom à tes adversaires, par ta présence ébranlant les nations, (64:1b)
3 comme lorsque tu fis des prodiges que nous n’osions attendre, et descendis, par ta présence ébranlant les montagnes ! (64:2)
4 Jamais ni l’ouïe, ni l’oreille, ni l’œil ne découvrit un Dieu sinon toi, qui en agît ainsi envers ceux qui s’attendent à lui. (64:3)
5 Tu viens au-devant de qui se plaît à faire le bien, et de qui suivant tes voies garde ta mémoire. Voici, tu t’irritas, car nous avions péché ; [nous suivîmes] longtemps cette voie ; et nous aurions été sauvés !… (64:4)
6 Et nous fûmes tous comme un impur et toute notre justice comme une robe immonde, et comme une feuille nous nous flétrîmes tous, et comme un ouragan nos crimes nous emportèrent : (64:5)
7 et personne qui invoque ton nom ! qui se réveille pour te saisir ! car tu nous as caché ta face et nous laisses périr par l’effet de nos crimes. (64:6)
8 Mais maintenant, Eternel, tu es notre père, nous l’argile et toi notre formateur, et tous nous sommes l’œuvre de tes mains. (64:7)
9 Ne t’irrite pas, ô Eternel, à l’extrême, et ne garde pas à jamais la mémoire du crime ! Voici, ah ! regarde, nous sommes tous ton peuple ! (64:8)
10 Tes villes saintes sont un désert, Sion est un désert, Jérusalem une solitude. (64:9)
11 Notre maison sainte et glorieuse où nos pères t’ont loué, est incendiée, et tout ce que nous aimions est dévasté. (64:10)
12 A ces faits peux-tu te contenir, ô Eternel, garder le silence, et nous humilier à l’excès ? (64:11)
Ésaïe
64:1-11
5Traduction par L. I. Lemaistre de Saci
Édition de 1855, libre de droits.
1 OH ! si vous vouliez ouvrir les cieux, et en descendre ! les montagnes s’écouleraient devant vous : (64:1)
2 elles fondraient comme si elles étaient consumées par le feu ; les eaux deviendraient toutes embrasées : afin que votre nom se signalât parmi vos ennemis, et que les nations tremblassent devant votre face. (64:2)
3 Lorsque vous ferez éclater vos merveilles, nous ne pourrons les supporter. Vous êtes descendu, et les montagnes se sont écoulées devant vous. (64:3)
4 Depuis le commencement du monde les hommes n’ont point entendu, l’oreille n’a point ouï, et l’oeil n’a point vu, hors vous seul, ô Dieu ! ce que vous avez préparé à ceux qui vous attendent. (64:4)
5 Vous êtes allé au-devant de ceux qui étaient dans la joie, et qui vivaient dans la justice : ils se souviendront de vous dans vos voies. Vous vous êtes mis en colère contre nous, parce que nous vous avons offensé. Nous avons toujours été dans le péché ; mais nous en serons sauvés. (64:5)
6 Nous sommes tous devenus comme un homme impur, et toutes les oeuvres de notre justice sont comme le linge le plus souillé. Nous sommes tous tombés comme la feuille des arbres, et nos iniquités nous ont emportés comme un vent impétueux. (64:6)
7 Il n’y a personne qui invoque votre nom ; il n’y a personne qui s’élève vers vous, et qui se tienne attaché à vous. Vous avez détourné votre visage de nous, et vous nous avez brisés sous le poids de notre iniquité. (64:7)
8 Cependant, Seigneur ! vous êtes notre Père ; et nous ne sommes que de l’argile. C’est vous qui nous avez formés, et nous sommes tous les ouvrages de vos mains. (64:8)
9 N’allumez point toute votre colère, Seigneur ! et effacez de votre esprit la mémoire de nos crimes : jetez les yeux sur nous, et considérez que nous sommes tous votre peuple. (64:9)
10 La ville de votre Saint a été changée en un désert ; Sion est déserte, Jérusalem est désolée. (64:10)
11 Le temple de notre sanctification et de notre gloire, où nos pères avaient chanté vos louanges, a été réduit en cendres, et tous nos bâtiments les plus somptueux ne sont plus que des ruines. (64:11)
12 Après cela, Seigneur ! vous retiendrez-vous encore ? demeurerez-vous dans le silence ? et nous affligerez-vous jusqu’à l’extrémité ? (64:12)
Isaïe
64:1-12
6Traduction par Albert Rilliet
Édition de 1858, libre de droits.
— Cette traduction ne possède que le Nouveau Testament.
7Traduction dite Bible de Lausanne
Édition de 1861-1872, libre de droits.
1 Oh ! si tu déchirais les cieux, si tu descendais ! devant toi les montagnes s’écouleraient. (64:1)
2 Comme le feu embrase les branches sèches, comme le feu fait bouillir l’eau, [tu] ferais connaître ton nom à tes adversaires ; les nations trembleraient devant toi. (64:2)
3 Quand tu fis des choses terribles que nous n’attendions point, tu descendis ! devant toi les montagnes s’écoulèrent. (64:3)
4 Et jamais on n’avait entendu, jamais oreille n’avait perçu, jamais œil n’avait vu, hormis toi, un Dieu agissant pour celui qui s’attend à lui. (64:4)
5 Tu viens au-devant de celui qui se réjouit en pratiquant la justice, de ceux qui, [marchant] dans tes voies, se souviennent de toi ; voici, tu t’es mis en courroux parce que nous avons péché ; [mais] en [tes voies] est l’éternité, et nous serons sauvés. (64:5)
6 Tous nous sommes devenus comme un homme souillé ; et toutes nos justices, comme un linge immonde ; nous nous flétrissons tous comme le feuillage, et nos iniquités nous emportent comme le vent. (64:6)
7 Et il n’y a personne qui invoque ton nom, qui se réveille pour te saisir ! car tu as caché ta face de nous, et tu nous as fait fondre par l’effet de nos iniquités. (64:7)
8 Mais, maintenant, ô Eternel, tu es notre père ; nous sommes l’argile et tu es celui qui nous formes, et nous sommes tous l’ouvrage de ta main. (64:8)
9 Ne te courrouce pas, ô Eternel, jusqu’à l’extrême, et ne te souviens pas à toujours de l’iniquité ! Voici, oh ! regarde ; nous sommes tous ton peuple ! (64:9)
10 Les villes de ta sainteté sont un désert, Sion est un désert, Jérusalem est une désolation. (64:10)
11 La maison de notre sainteté et de notre magnificence, où nos pères t’ont célébré, a été brûlée par le feu, et tous les objets de nos affections ont été ravagés. (64:11)
12 Malgré cela te contiendras-tu, ô Eternel, te tairas-tu, et nous affligeras-tu jusqu’à l’extrême ? (64:12)
Ésaïe
64:1-12
8Traduction selon la Vulgate dite Bible de Gustave Doré
Édition de 1866, libre de droits.
1 Ouvrez les cieux et descendez. Les montagnes se fondront en votre présence. (64:1)
2 Elles se fondront comme si elles, étaient dévorées par le feu ; les eaux bouillonneront, afin que votre nom soit manifesté à vos ennemis, et que les nations tremblent devant vous. (64:2)
3 Lorsque vous ferez éclater vos merveilles, nous ne pourrons les supporter. Vous êtes descendu, et les montagnes se sont écoulées devant vous. (64:3)
4 Depuis le commencement du monde, les hommes n’ont point compris, l’oreille n’a point entendu, et l’oeil n’a point vu, excepté vous, ô mon Dieu, ce que vous avez préparé à ceux qui vous attendent. (64:4)
5 Vous êtes allé au-devant de ceux qui étaient dans la joie et qui observaient la justice ; ils se souviendront de vous dans vos voies. Vous vous êtes irrité, parce que nous vous avons offensé. Nous avons péché fréquemment, mais nous serons sauvés. (64:5)
6 Nous sommes tous devenus comme un homme impur, et toutes les œuvres de notre justice sont comme un linge souillé. Nous sommes tous tombés comme la feuille, et nos iniquités, comme le vent, nous ont emporté. (64:6)
7 Il n’y a personne qui invoque votre nom, qui se lève vers vous, et qui se tienne attaché à vous. Vous avez détourné votre visage de nous, et vous nous avez brisés sous le poids de notre iniquité. (64:7)
8 Cependant, Seigneur, vous êtes notre père, et nous ne sommes que de l’argile. C’est vous qui nous avez formés, et nous sommes tous l’ouvrage de vos mains. (64:8)
9 Ne vous irritez pas davantage, Seigneur, et effacez de votre esprit la mémoire de nos crimes ; jetez les yeux sur nous, nous sommes tous votre peuple. (64:9)
10 La ville de votre Saint est devenue déserte ; Sion est déserte ; Jérusalem est désolée. (64:10)
11 Le temple de notre sanctification et de notre gloire, où nos pères ont chanté vos louanges, a été réduit en cendres, et tout ce que nous avions de plus précieux a été livré au pillage. (64:11)
12 Après cela, Seigneur, vous retiendrez-vous encore ? Resterez-vous en silence, et nous affligerez-vous sans fin ? (64:12)
Isaïe
64:1-12
9Traduction par L. Segond & H. Oltramare
Édition de 1874, libre de droits.
1 Oh ! si tu déchirais les cieux, et si tu descendais, les montagnes s’ébranleraient devant toi, (63:19b)
2 Comme s’allume un feu de bois sec, comme s’évapore l’eau qui bouillonne ; tes ennemis connaîtraient ton nom, et les nations trembleraient devant toi. (64:1)
3 Lorsque tu fis des prodiges que nous n’attendions pas, tu descendis, et les montagnes s’ébranlèrent devant toi. (64:2)
4 Jamais on n’a appris ni entendu dire, et jamais l’œil n’a vu qu’un autre dieu que toi fît de telles choses pour ceux qui se confient en lui. (64:3)
5 Tu vas au-devant de celui qui pratique avec joie la justice, de ceux qui marchent dans tes voies et se souviennent de toi. Mais tu as été irrité, parce que nous avons péché ; et nous en souffrons longtemps jusqu’à ce que nous soyons sauvés. (64:4)
6 Nous sommes tous comme des impurs, et toute notre justice est comme un vêtement souillé ; nous sommes tous flétris comme une feuille, et nos crimes nous emportent comme le vent. (64:5)
7 Il n’y a personne qui invoque ton nom, qui se réveille pour s’attacher à toi : aussi nous as-tu caché ta face, et nous laisses-tu périr par l’effet de nos crimes. (64:6)
8 Cependant, ô Éternel, tu es notre père ; nous sommes l’argile, et c’est toi qui nous as formés, nous sommes tous l’ouvrage de tes mains. (64:7)
9 Ne t’irrite pas à l’extrême, ô Éternel, et ne te souviens pas à toujours du crime ; regarde donc, nous sommes tous ton peuple. (64:8)
10 Tes villes saintes sont un désert ; Sion est un désert, Jérusalem une solitude. (64:9)
11 Notre maison sainte et glorieuse, où nos pères célébraient tes louanges, est devenue la proie des flammes ; tout ce que nous avions de précieux a été dévasté. (64:10)
12 Après cela, ô Éternel, te contiendras-tu ? Est-ce que tu te tairas, et nous affligeras à l’excès ? (64:11)
Isaïe
64:19-11
10Traduction par J. N. Darby
Édition de 1885, libre de droits.
1 — Oh ! si tu fendais les cieux ! Si tu voulais descendre, [et] que devant toi les montagnes se fondissent, — (64:1)
2 [descendre] comme le feu brûle les broussailles, comme le feu fait bouillonner l’eau, pour faire connaître ton nom à tes ennemis, en sorte que les nations tremblassent devant toi ! (64:2)
3 Quand tu fis des choses terribles que nous n’attendions pas, tu descendis : devant toi les montagnes se fondirent. (64:3)
4 Et jamais on n’a entendu, [jamais] on n’a ouï de l’oreille, [jamais] l’œil n’a vu, hors toi, ô Dieu, ce que [Dieu] a préparé pour celui qui s’attend à lui. (64:4)
5 Tu viens à la rencontre de celui qui se réjouit à pratiquer la justice, [de ceux] qui se souviennent de toi dans tes voies ! Voici, tu as été courroucé, et nous avons péché ; … en tes voies est la perpétuité, et nous serons sauvés. (64:5)
6 Et tous, nous sommes devenus comme une chose impure, et toutes nos justices, comme un vêtement souillé ; et nous sommes tous fanés comme une feuille, et nos iniquités, comme le vent, nous emportent ; (64:6)
7 et il n’y a personne qui invoque ton nom, qui se réveille pour te saisir ! Car tu as caché ta face de nous, et tu nous as fait fondre par nos iniquités. (64:7)
8 Or maintenant, Éternel, tu es notre père : nous sommes l’argile, tu es celui qui nous as formés, et nous sommes tous l’ouvrage de tes mains. (64:8)
9 Ne sois pas extrêmement courroucé, ô Éternel, et ne te souviens pas à toujours de l’iniquité. Voici, regarde : nous sommes tous ton peuple. (64:9)
10 Tes villes saintes sont devenues un désert ; Sion est un désert, Jérusalem, une désolation ; (64:10)
11 notre maison sainte et magnifique, où nos pères te louaient, est brûlée par le feu, et toutes nos choses désirables sont dévastées. (64:11)
12 Te retiendras-tu, Éternel, à la vue de ces choses ? Te tairas-tu, et nous affligeras-tu extrêmement ? (64:12)
Ésaïe
64:1-12
11Traduction par L. Cl. Fillion
Édition de 1889, libre de droits.
1 Oh ! si vous déchiriez les cieux, et si vous descendiez, devant vous les montagnes s’écouleraient. (64:1)
2 Elles fondraient comme brûlées par le feu, les eaux deviendraient embrasées, afin que votre nom fût connu à vos ennemis, et que les nations tremblassent devant votre face. (64:2)
3 Lorsque vous ferez éclater vos merveilles, nous ne pourrons les supporter. Vous êtes descendu, et les montagnes se sont écoulées devant vous. (64:3)
4 Jamais on n’a entendu, l’oreille n’a pas ouï, et l’œil n’a pas vu, hors vous seul, ô Dieu, ce que vous avez préparé pour ceux qui vous attendent. (64:4)
5 Vous êtes allé au-devant de celui qui se réjouit et qui pratique la justice ; ils se souviendront de vous dans vos voies. Vous vous êtes irrité, parce que nous avons péché. Nous avons toujours été dans le péché, mais nous serons sauvés. (64:5)
6 Nous sommes tous devenus comme un homme impur, et toutes les œuvres de notre justice sont comme un linge souillé ; nous sommes tous tombés comme une feuille, et nos iniquités nous ont emportés comme le vent. (64:6)
7 Il n’y a personne qui invoque votre nom, qui se lève et qui s’attache à vous. Vous avez détourné de nous votre visage, et vous nous avez brisés sous le poids de notre iniquité. (64:7)
8 Cependant, Seigneur, vous êtes notre père, et nous sommes de l’argile ; c’est vous qui nous avez formés, et nous sommes tous l’œuvre de vos mains. (64:8)
9 Ne vous irritez pas sans mesure, Seigneur, et ne vous souvenez plus de notre iniquité ; regardez, nous sommes tous votre peuple. (64:9)
10 La ville de votre Saint a été changée en désert, Sion est devenue déserte, Jérusalem est désolée. (64:10)
11 Le temple de notre sanctification et de notre gloire, où nos pères vous ont loué, a été entièrement consumé, et toutes nos splendeurs ne sont plus que des ruines. (64:11)
12 Après cela, Seigneur, vous contiendrez-vous encore ? Vous tairez-vous, et nous affligerez-vous à l’excès ? (64:12)
Isaïe
64:1-12
12Traduction par Edmond Stapfer
Édition de 1889, libre de droits.
— Cette traduction ne possède que le Nouveau Testament.
13Traduction du rabbinat par Zadoc Kahn
Édition de 1899-1906, libre de droits.
1 Ah ! Puisses-tu déchirer les cieux et descendre ! Puissent les montagnes s’effondrer devant toi ! (63:19b)
2 COMME des sarments secs font pétiller le feu, comme la flamme fait bouillonner l’eau, daigne révéler ton nom à tes adversaires, afin que les peuples tremblent devant toi. (64:1)
3 Lorsque tu accomplis de redoutables prodiges, que nous ne pouvions espérer, tu descendis, et les montagnes chancelèrent à ton approche. (64:2)
4 En aucun temps, on n’avait appris, ni ouï dire pareille chose ; jamais œil humain n’avait vu un autre dieu que toi agir de la sorte en faveur de ses fidèles. (64:3)
5 Tu es allé au devant de ceux qui se font une joie de pratiquer la justice, attachés à ton souvenir en suivant tes voies. Et puis, lorsque tu t’es irrité à cause de nos fautes, c’est grâce à eux que notre salut fut toujours assuré. (64:4)
6 Nous étions tous comme des êtres impurs, toute notre vertu ressemblait à un vêtement souillé ; tous nous étions tels qu’une feuille flétrie, et nos crimes nous entraînaient comme la tempête. (64:5)
7 Personne ne s’est plus réclamé de ton nom, ne s’est fait un devoir de te rester attaché. Aussi nous avais-tu dérobé ta face, nous avais-tu laissé succomber sous le poids de nos iniquités. (64:6)
8 Et pourtant, ô Seigneur, tu es notre père : nous sommes l’argile et toi, tu es le potier qui nous pétrit ; tous nous sommes l’œuvre de ta main. (64:7)
9 Ne va pas trop loin dans ta colère, ô Éternel, et ne garde pas à jamais le souvenir du crime. Ah ! Considère, de grâce, que nous sommes tous ton peuple. (64:8)
10 Tes villes saintes sont devenues une solitude, Sion un désert, Jérusalem une ruine abandonnée. (64:9)
11 Notre saint et glorieux temple, où te célébraient nos ancêtres, est devenu la proie des flammes ; nos biens les plus chers ont été livrés à la destruction. (64:10)
12 En face de ces calamités, peux-tu demeurer insensible ? Peux-tu garder le silence et nous infliger des humiliations sans fin ? (64:11)
Isaïe
64:19-11
14Traduction par Louis Segond
Édition de 1910, libre de droits.
1 Oh ! si tu déchirais les cieux, et si tu descendais, les montagnes s’ébranleraient devant toi, (63:19b)
2 Comme s’allume un feu de bois sec, comme s’évapore l’eau qui bouillonne ; tes ennemis connaîtraient ton nom, et les nations trembleraient devant toi. (64:1)
3 Lorsque tu fis des prodiges que nous n’attendions pas, tu descendis, et les montagnes s’ébranlèrent devant toi. (64:2)
4 Jamais on n’a appris ni entendu dire, et jamais l’œil n’a vu qu’un autre dieu que toi fît de telles choses pour ceux qui se confient en lui. (64:3)
5 Tu vas au-devant de celui qui pratique avec joie la justice, de ceux qui marchent dans tes voies et se souviennent de toi. Mais tu as été irrité, parce que nous avons péché ; et nous en souffrons longtemps jusqu’à ce que nous soyons sauvés. (64:4)
6 Nous sommes tous comme des impurs, et toute notre justice est comme un vêtement souillé ; nous sommes tous flétris comme une feuille, et nos crimes nous emportent comme le vent. (64:5)
7 Il n’y a personne qui invoque ton nom, qui se réveille pour s’attacher à toi : aussi nous as-tu caché ta face, et nous laisses-tu périr par l’effet de nos crimes. (64:6)
8 Cependant, ô Éternel, tu es notre père ; nous sommes l’argile, et c’est toi qui nous as formés, nous sommes tous l’ouvrage de tes mains. (64:7)
9 Ne t’irrite pas à l’extrême, ô Éternel, et ne te souviens pas à toujours du crime ; regarde donc, nous sommes tous ton peuple. (64:8)
10 Tes villes saintes sont un désert ; Sion est un désert, Jérusalem une solitude. (64:9)
11 Notre maison sainte et glorieuse, où nos pères célébraient tes louanges, est devenue la proie des flammes ; tout ce que nous avions de précieux a été dévasté. (64:10)
12 Après cela, ô Éternel, te contiendras-tu ? Est-ce que tu te tairas, et nous affligeras à l’excès ? (64:11)
Ésaïe
64:19-11
15Traduction par Augustin Crampon
Édition de 1923, libre de droits.
1 Ah ! si vous déchiriez les cieux, si vous descendiez, — les montagnes seraient ébranlées devant vous ! — (63:19b)
2 comme un feu qui embrase le bois sec, comme un feu qui fait bouillonner l’eau, pour manifester votre nom à vos adversaires, de sorte que les nations tremblent devant vous, (64:1)
3 en faisant des choses terribles, inattendues, — vous descendriez, les montagnes seraient ébranlées devant vous ! — (64:2)
4 dont jamais on n’eût entendu parler ! Jamais on n’a entendu, nul œil n’a vu un Dieu autre que vous agir ainsi pour qui espère en lui. (64:3)
5 Vous venez au-devant de qui pratique avec joie la justice, de qui, marchant dans vos voies, se souvient de vous. Voici que vous étiez courroucé, et nous étions coupables ; — il en est ainsi depuis longtemps : serions-nous sauvés ? — (64:4)
6 Nous étions tous semblables à un homme impur, et toutes nos justices étaient pareilles à un vêtement souillé. Nous étions tous flétris comme la feuille, et nos iniquités nous emportaient comme le vent. (64:5)
7 Il n’y avait personne qui invoquât votre nom, qui se réveillât pour s’attacher à vous. Car vous nous aviez caché votre visage, et vous nous laissiez périr dans nos iniquités. (64:6)
8 Et maintenant, ô Yahweh, vous êtes notre père ; nous sommes l’argile, et vous celui qui nous a formés ; nous sommes tous l’ouvrage de votre main. (64:7)
9 Ne vous irritez pas à l’extrême, ô Yahweh, et ne vous souvenez pas à jamais de l’iniquité. Regardez donc : nous sommes tous votre peuple ! (64:8)
10 Vos villes saintes sont devenues un désert ; Sion est devenue un désert, Jérusalem une solitude. (64:9)
11 Notre maison sainte et glorieuse, où nos pères célébraient vos louanges, est devenue la proie des flammes, et tout ce qui nous était cher a été dévasté. (64:10)
12 En face de ces maux, vous contiendrez-vous, ô Yahweh ? Vous tairez-vous et nous affligerez-vous à l’excès ? (64:11)
Isaïe
64:19-11
16La Bible de Jérusalem
Édition de 1973 © Copyright.[+]
1 Ah ! si tu déchirais les cieux et descendais - devant ta face les montagnes seraient ébranlées ; (63:19b)
2 comme le feu enflamme des bindilles, comme le feu fait bouillir l’eau - pour faire connaître ton nom à tes adversaires, devant ta face les nations trembleraient (64:1)
3 quand tu ferais des prodiges inattendus. (Tu es descendu : devant ta face les montagnes ont été ébranlées.) (64:2)
4 Jamais on n’avait ouï dire, on n’avait pas entendu, et l’œil n’avait pas vu un Dieu, toi excepté, agir ainsi en faveur de qui a confiance en lui. (64:3)
5 Tu as rencontré celui qui, plein d’allégresse, pratique la justice ; en suivant tes voies, ils se souviendront de toi. Voici que toi, tu t’es irrité, et nous avons péché. Nous sommes à jamais dans tes voies et nous serons sauvés. (64:4)
6 Tous, nous étions comme des êtres impurs, et nos bonnes actions comme du linge souillé. Tous, nous nous flétrissons comme des feuilles mortes, et nos fautes nous emportent comme le vent. (64:5)
7 Plus personne pour invoquer ton nom, pour se réveiller en s’attachant à toi, car tu nous as caché ta face et tu nous as livrés au pouvoir de nos fautes. (64:6)
8 Et pourtant, Yahvé, tu es notre père, nous sommes l’argile, tu es notre potier, nous sommes tous l’œuvre de tes mains. (64:7)
9 Yahvé, ne t’irrite pas à l’excès, ne garde pas à jamais le souvenir de la faute. Vois donc, nous sommes tous ton peuple. (64:8)
10 Tes villes saintes sont devenues un désert, Sion est devenue un désert, Jérusalem, un lieu désolé. (64:9)
11 Notre Temple saint et magnifique, où nos ancêtres te louaient, est devenu la proie du feu. Tout ce que nous aimions est devenu ruine. (64:10)
12 Peux-tu rester insensible à tout cela, Yahvé ? Te taire serait nous humilier à l’excès. (64:11)
Isaïe
64:19-11
17Nouvelle édition de Genève
Édition de 1979 © Copyright.[+]
1 Oh ! si tu déchirais les cieux, et si tu descendais, Les montagnes s’ébranleraient devant toi, (63:19b)
2 Comme s’allume un feu de bois sec, Comme s’évapore l’eau qui bouillonne ; Tes ennemis connaîtraient ton nom, Et les nations trembleraient devant toi. (64:1)
3 Lorsque tu fis des prodiges que nous n’attendions pas, Tu descendis, et les montagnes s’ébranlèrent devant toi. (64:2)
4 Jamais on n’a appris ni entendu dire, Et jamais l’œil n’a vu qu’un autre dieu que toi Fasse de telles choses pour ceux qui se confient en lui. (64:3)
5 Tu vas au-devant de celui qui pratique avec joie la justice, De ceux qui marchent dans tes voies et se souviennent de toi. Mais tu as été irrité, parce que nous avons péché ; Et nous en souffrons longtemps jusqu’à ce que nous soyons sauvés. (64:4)
6 Nous sommes tous comme des impurs, Et toute notre justice est comme un vêtement souillé ; Nous sommes tous flétris comme une feuille, Et nos crimes nous emportent comme le vent. (64:5)
7 Il n’y a personne qui invoque ton nom, Qui se réveille pour s’attacher à toi : Aussi nous as-tu caché ta face, Et nous laisses-tu périr par l’effet de nos crimes. (64:6)
8 Cependant, ô Eternel, tu es notre père ; Nous sommes l’argile, et c’est toi qui nous as formés, Nous sommes tous l’ouvrage de tes mains. (64:7)
9 Ne t’irrite pas à l’extrême, ô Eternel, Et ne te souviens pas à toujours du crime ; Regarde donc, nous sommes tous ton peuple. (64:8)
10 Tes villes saintes sont un désert ; Sion est un désert, Jérusalem une solitude. (64:9)
11 Notre maison sainte et glorieuse, Où nos pères célébraient tes louanges, Est devenue la proie des flammes ; Tout ce que nous avions de précieux a été dévasté. (64:10)
12 Après cela, ô Eternel, te contiendras-tu ? Est-ce que tu te tairas, et nous affligeras à l’excès ? (64:11)
Esaïe
64:19-11
18Traduction du monde nouveau par WTBTS
Édition de 1995 © Copyright.[+]
1 Ah ! si seulement tu avais déchiré les cieux, si tu étais descendu, si à cause de toi les montagnes avaient tremblé, (64:1)
2 comme lorsque le feu allume les broussailles, [et] que le feu fait bouillir l’eau, afin de faire connaître ton nom à tes adversaires, pour que les nations s’agitent à cause de toi ! (64:2)
3 Lorsque tu as fait des choses redoutables que nous ne pouvions espérer, tu es descendu. À cause de toi les montagnes ont tremblé. (64:3)
4 Et depuis les temps anciens nul n’a entendu, nul n’a prêté l’oreille, aucun œil n’a vu un Dieu, excepté toi, agir pour celui qui continue de l’attendre. (64:4)
5 Tu as rencontré celui qui exulte et qui pratique la justice, ceux qui continuent à se souvenir de toi dans tes voies. Vois ! Tu t’es indigné, tandis que nous ne cessions de pécher — en eux longtemps, et serions-​nous sauvés ? (64:5)
6 Tous, nous devenons comme l’impur, et tous nos actes de justice sont comme un vêtement pour les époques des règles ; tous, nous dépérirons comme le feuillage, et nos fautes nous emporteront comme le vent. (64:6)
7 Et il n’y a personne qui invoque ton nom, personne qui se réveille pour te saisir ; car tu nous as caché ta face, et tu nous fais fondre par le pouvoir de notre faute. (64:7)
8 Et maintenant, ô Jéhovah, tu es notre Père. Nous sommes l’argile, et tu es notre Potier ; nous sommes tous l’œuvre de ta main. (64:8)
9 Ne t’indigne pas, ô Jéhovah, jusqu’à l’extrême, et ne te souviens pas pour toujours de [notre] faute. Oh ! regarde, s’il te plaît : nous sommes tous ton peuple ! (64:9)
10 Tes villes saintes sont devenues un désert. Sion est devenue un désert, Jérusalem une solitude désolée. (64:10)
11 Notre maison de sainteté et de beauté, où nos ancêtres te louaient, est devenue une chose à brûler au feu ; et chacune de nos choses désirables est devenue dévastation. (64:11)
12 Devant ces choses, continueras-​tu à te contenir, ô Jéhovah ? Te tairas-​tu et permettras-​tu que nous soyons affligés jusqu’à l’extrême ? (64:12)
Isaïe
64:1-12
19Traduction Louis Segond 21
Édition de 2007 © Copyright.[+]
1 Si seulement tu déchirais le ciel et descendais, les montagnes s’effondreraient devant toi ! (63:19b)
2 » Tu serais pareil au feu qui allume des brindilles ou fait bouillir l’eau : tes adversaires connaîtraient ton nom et les nations trembleraient devant toi. (64:1)
3 Lorsque tu as fait des prodiges que nous n’attendions pas, tu es descendu et les montagnes se sont effondrées devant toi. (64:2)
4 Jamais on n’a appris ni entendu dire pareille chose, jamais aucun œil n’a vu un autre dieu que toi agir de cette manière pour ceux qui comptent sur lui. (64:3)
5 Tu vas à la rencontre de celui qui pratique avec joie la justice, de ceux qui se souviennent de toi en marchant dans tes voies. Cependant, tu as été irrité parce que nous avons péché. Pourtant, c’est en les suivant toujours que nous pouvons être sauvés. (64:4)
6 Nous sommes tous devenus comme des objets impurs et toute notre justice est pareille à un habit taché de sang, nous sommes tous aussi fanés qu’une feuille et nos fautes nous emportent comme le vent. (64:5)
7 Il n’y a personne qui fasse appel à ton nom, qui se réveille pour s’attacher à toi. C’est que tu t’es caché à nous et tu nous laisses nous liquéfier par l’intermédiaire de nos propres fautes. (64:6)
8 Cependant, Eternel, c’est toi qui es notre père. Nous sommes l’argile, tu es notre potier, nous sommes tous l’œuvre de tes mains. (64:7)
9 Ne t’irrite pas à l’excès, Eternel, et ne te souviens pas indéfiniment de notre faute ! Regarde donc : nous sommes tous ton peuple. (64:8)
10 Pourtant, tes villes saintes se sont transformées en désert : Sion est un désert, Jérusalem un endroit dévasté. (64:9)
11 Notre saint et splendide temple, où nos ancêtres célébraient tes louanges, est devenu la proie des flammes, tout ce que nous avions de précieux est en ruine. (64:10)
12 Devant tout cela, Eternel, te retiendras-tu d’intervenir ? Vas-tu garder le silence et nous humilier à l’excès ? » (64:11)
Esaïe
64:19-11
20Traduction du monde nouveau par WTBTS
Édition de 2018 © Copyright.[+]
1 Si seulement tu déchirais le ciel et descendais, faisant trembler les montagnes, (64:1)
2 comme lorsque le feu embrase les brindilleset fait bouillir l’eau, alors tes adversaires connaîtraient ton nom, et les nations frémiraient devant toi ! (64:2)
3 Lorsque tu faisais des choses impressionnantes que nous n’osions pas espérer, tu descendais, et les montagnes tremblaient devant toi. (64:3)
4 Jamais personne n’a entendu ni appris ceci, non, aucun œil n’a vu un autre Dieu que toiagir en faveur de ceux qui continuent de l’attendre. (64:4)
5 Tu as rencontré ceux qui font avec joie ce qui est droit, ceux qui se souviennent de toi et suivent tes chemins. Tu t’es indigné, tandis que nous ne cessions de pécher— et nous l’avons fait longtemps. Méritons-​nous donc d’être sauvés ? (64:5)
6 Nous sommes tous devenus comme quelqu’un d’impur, et tous nos actes justes sont comme un linge sali par les règles. Tous, nous nous flétrirons comme une feuille, et nos fautes nous emporteront comme le vent. (64:6)
7 Il n’y a personne qui fasse appel à ton nom, personne qui réagisse pour essayer de te retenir, car tu as détourné ton attention de nouset tu nous fais dépérir à cause de notre faute. (64:7)
8 Mais maintenant, ô Jéhovah, tu es notre Père. Nous sommes l’argile, et tu es notre Potier ; nous sommes tous l’œuvre de tes mains. (64:8)
9 Ne t’indigne pas trop, ô Jéhovah, et ne te souviens pas de notre faute indéfiniment. S’il te plaît, regarde-​nous, car nous sommes tous ton peuple. (64:9)
10 Tes villes saintes sont devenues un désert. Sion est devenue un désert, Jérusalem une terre à l’abandon. (64:10)
11 Notre maison de sainteté et de gloire, où nos ancêtres te louaient, a été incendiée, et toutes les choses que nous aimions tant ne sont plus que ruines. (64:11)
12 Devant tout cela, vas-​tu te retenir plus longtemps d’agir, ô Jéhovah ? Vas-​tu garder le silence et nous laisser dans une si grande détresse ? (64:12)
Isaïe
64:1-12
21Traduction française de la Bible King James par N. L. Stratford
Édition de 2022 © Copyright.[+]
1 Oh si tu voulais déchirer les cieux, si tu voulais descendre, afin que les montagnes puissent s’écouler à ta présence. (64:1)
2 Comme lorsque le feu de fonte brûle, le feu fait bouillir les eaux, afin de faire connaître ton nom à tes ennemis, et que les nations puissent trembler à ta présence. (64:2)
3 Quand tu avais fait des choses redoutables, que nous n’attendions pas, tu es descendu, et les montagnes s’écoulèrent à ta présence. (64:3)
4 Car depuis le commencement du monde, on n’a jamais entendu, ni perçu par l’oreille, et l’œil n’a pas vu de Dieu hormis toi, qui a préparé pour celui qui s’attend à lui. (64:4)
5 Tu viens à la rencontre de celui qui se réjouit et agit avec droiture, de ceux qui se souviennent de toi dans tes chemins : voici, tu es courroucé, parce que nous avons péché : en ces chemins est la continuité, et nous serons sauvés. (64:5)
6 Mais nous sommes tous pareils à une chose souillée, et toutes nos droitures sont pareilles à des haillons répugnants : et nous nous fanons tous pareils à une feuille, et nos iniquités, comme le vent, nous emportent. (64:6)
7 Et il n’y a personne qui appelle après ton nom, qui s’agite pour t’empoigner fermement : car tu nous as caché ta face, et tu nous as consumé à cause de nos iniquités. (64:7)
8 Mais maintenant, ô SEIGNEUR, tu es notre père : nous sommes l’argile, et tu es notre potier, et nous sommes tous l’ouvrage de tes mains. (64:8)
9 ¶ Ne sois pas très fortement courroucé, ô SEIGNEUR, ne te souviens pas non plus de l’iniquité pour toujours : voici, regarde, nous t’implorons, nous sommes tous ton peuple. (64:9)
10 Tes villes saintes sont devenues un désert : Sion est un désert, Jérusalem, une désolation. (64:10)
11 Notre sainte et notre belle maison, où nos pères t’ont loué, est brûlée par le feu : et toutes nos choses agréables sont gisantes en ruines. (64:11)
12 Te retiendras-tu, à l’état de ces choses, ô SEIGNEUR ? Te tairas-tu, et nous affligeras-tu fortement ? (64:12)
Esaïe
64:1-12