| 1 | Traduction par David Martin Édition de 1744, libre de droits. | 1 Où est allé ton bien-aimé, ô la plus belle des femmes ? De quel côté est allé ton bien-aimé, et nous le chercherons avec toi ? (6:1) 2 Mon bien-aimé est descendu dans son verger, aux carreaux des drogues aromatiques, pour paître [son troupeau] dans les vergers, et cueillir du muguet. (6:2) 3 Je suis à mon bien-aimé, et mon bien-aimé est à moi ; il paît [son troupeau] parmi le muguet. (6:3) 4 Ma grande amie, tu es belle comme Tirtsa, agréable comme Jérusalem, redoutable comme des armées qui marchent à enseignes déployées. (6:4) 5 Détourne tes yeux qu’ils ne me regardent ; car ils me forcent ; Tes cheveux sont comme un troupeau de chèvres qu’on tond [lorsqu’elles sont descendues] de Galaad. (6:5) 6 Tes dents sont comme un troupeau de brebis qui remontent du lavoir, et qui sont toutes deux à deux, et il n’y en a pas une qui manque. (6:6) 7 Ta tempe est comme une pièce de pomme de grenade au dedans de tes tresses. (6:7) 8 [Qu’il y ait] soixante Reines, et quatre-vingts concubines, et des vierges sans nombre ; (6:8) 9 Ma colombe, ma parfaite, est unique ; elle est unique à sa mère, à celle qui l’a enfantée ; les filles l’ont vue, et l’ont dite bienheureuse ; les Reines et les concubines l’ont louée, [en disant] : (6:9) 10 Qui est celle-ci qui paraît comme l’aube du jour, belle comme la lune, brillante comme le soleil, redoutable comme des armées qui marchent à enseignes déployées ? (6:10) 11 Je suis descendu au verger des noyers, pour voir les fruits de la vallée qui mûrissent, et pour voir si la vigne s’avance, et si les grenadiers ont poussé leur fleur. (6:11) 12 Je ne me suis point aperçu que mon affection m’a rendu semblable aux chariots d’Haminadab. (6:12) | Cantique 6:1-12 |
| 2 | Traduction King James revue par B. Blayney Édition de 1769, libre de droits (hors GB). | 1 Whither is thy beloved gone, O thou fairest among women ? whither is thy beloved turned aside ? that we may seek him with thee. (6:1) 2 My beloved is gone down into his garden, to the beds of spices, to feed in the gardens, and to gather lilies. (6:2) 3 I am my beloved’s, and my beloved is mine : he feedeth among the lilies. (6:3) 4 Thou art beautiful, O my love, as Tirzah, comely as Jerusalem, terrible as an army with banners. (6:4) 5 Turn away thine eyes from me, for they have overcome me : thy hair is as a flock of goats that appear from Gilead. (6:5) 6 Thy teeth are as a flock of sheep which go up from the washing, whereof every one beareth twins, and there is not one barren among them. (6:6) 7 As a piece of a pomegranate are thy temples within thy locks. (6:7) 8 There are threescore queens, and fourscore concubines, and virgins without number. (6:8) 9 My dove, my undefiled is but one ; she is the only one of her mother, she is the choice one of her that bare her. The daughters saw her, and blessed her ; yea, the queens and the concubines, and they praised her. (6:9) 10 Who is she that looketh forth as the morning, fair as the moon, clear as the sun, and terrible as an army with banners ? (6:10) 11 I went down into the garden of nuts to see the fruits of the valley, and to see whether the vine flourished and the pomegranates budded. (6:11) 12 Or ever I was aware, my soul made me like the chariots of Amminadib. (6:12) | Song 6:1-12 |
| 3 | Traduction revue par J. F. Ostervald Édition de 1823, libre de droits. | 1 Ou est allé ton bien-aimé, ô la plus belle des femmes ? De quel côté est allé ton bien-aimé ? et nous le chercherons avec toi. (6:1) 2 Mon bien-aimé est descendu dans son verger, au parterre des plantes aromatiques, pour paître son troupeau dans les vergers, et cueillir du muguet. (6:2) 3 Je suis à mon bien-aimé, et mon bien-aimé est à moi ; il paît son troupeau parmi le muguet. (6:3) 4 Ma grande amie, tu es belle comme Tirtsa, agréable comme Jérusalem, redoutable comme les armées qui marchent à enseignes déployées. (6:4) 5 Détourne tes yeux qu’ils ne me regardent, car ils me forcent ; tes cheveux sont comme un troupeau de chèvres de Galaad, qu’on a tondues. (6:5) 6 Tes dents sont comme un troupeau de brebis qui remontent du lavoir, et qui sont toutes deux à deux, et dont il n’y en a pas une qui soit stérile. (6:6) 7 Ta tempe est comme une pièce de pomme de grenade sous tes tresses. (6:7) 8 Il y a soixante reines, et quatre-vingts concubines, et des vierges sans nombre. (6:8) 9 Ma colombe, ma parfaite, est unique ; elle est unique à sa mère, elle est particulièrement aimée de celle qui l’a enfantée ; les filles l’ont vue, et l’ont dite bienheureuse ; les reines et les concubines l’ont louée, disant : (6:9) 10 Qui est celle-ci qui paraît comme l’aube du jour, belle comme la lune, d’élite comme le soleil, redoutable comme les armées qui marchent à enseignes déployées ? (6:10) 11 Je suis descendu au verger des noyers, pour voir les fruits qui mûrissent dans la vallée ; pour voir si là vigne s’avance, et si les grenadiers ont jeté leur fleur. (6:11) 12 Je ne me suis point aperçu que mon affection m’a rendu semblable aux chariots de Haminadab. (6:12) | Cantique 6:1-12 |
| 4 | Traduction par H.-A. Perret-Gentil Édition de 1847-1861, libre de droits. | 1 — Où est allé ton bien-aimé, ô la plus belle des femmes ? où ton ami s’est-il dirigé ? Nous voulons le chercher avec toi. — (6:1) 2 — Mon bien-aimé est descendu dans son jardin, près des parterres de baume, pour se repaître dans les jardins, et cueillir les lys. (6:2) 3 Je suis à mon bien-aimé, et mon bien-aimé est à moi ; il se repaît au milieu des lys. (6:3) 4 Ma bien-aimée, tu es belle comme Thirza, attrayante comme Jérusalem, mais redoutable comme des phalanges sous le drapeau. (6:4) 5 Détourne de moi tes yeux, car ils me donnent l’effroi. Ta chevelure est comme un troupeau des chèvres qui reposent sur les flancs de Galaad ; (6:5) 6 tes dents, comme un troupeau de brebis qui reviennent du bain, toutes mères de jumeaux. et dont aucune n’est sans agneaux ; (6:6) 7 telle une moitié de grenade. telles sont les joues derrière ton voile. (6:7) 8 Il y a soixante reines, quatre-vingts concubines, et des filles sans nombre ; (6:8) 9 mais une seule est ma colombe, ma pure ; elle est l’enfant unique de sa mère, la favorite de celle qui lui donna naissance. Les filles la voient, et la disent heureuse, les reines et les concubines, et la louent. (6:9) 10 Qui est celle qui surgit comme l’aurore, belle comme la lune, pure comme le soleil, mais redoutable comme les phalanges sous le drapeau ? — (6:10) 11 — Je suis descendue au jardin des noyers, pour voir la fraîche verdure de la vallée, pour voir si la vigne montre ses bourgeons, si la grenade fleurit. (6:11) 12 Je ne sais, mais mon désir m’a donné la vitesse des chars de mon noble peuple. — (6:12) | Cantique 6:1-12 |
| 5 | Traduction par L. I. Lemaistre de Saci Édition de 1855, libre de droits. | 1 Où est allée votre bien-aimé, ô la plus belle d’entre les femmes ? Où s’est retiré votre bien-aimé ? et nous irons le chercher avec vous. (5:17) 2 MON bien-aimé est descendu dans son jardin, dans le parterre des plantes aromatiques, pour se nourrir dans ses jardins, et pour y cueillir des lis. (6:1) 3 Je suis à mon bien-aimé, et mon bien-aimé est à moi, lui qui se nourrit parmi les lis. (6:2) 4 Vous êtes belle, ô ma bien-aimée ! et pleine de douceur ; vous êtes belle comme Jérusalem, et terrible comme une armée rangée en bataille. (6:3) 5 Détournez vos yeux de moi : car ce sont eux qui m’ont obligé de me retirer promptement. Vos cheveux sont comme un troupeau de chèvres, qui se sont fait voir venant de la montagne de Galaad. (6:4) 6 Vos dents sont comme un troupeau de brebis qui sont montées du lavoir, et qui portent toutes un double fruit, sans qu’il y en ait de stériles parmi elles. (6:5) 7 Vos joues sont comme l’écorce d’une pomme de grenade, sans ce qui est caché au dedans de vous. (6:6) 8 Il y a soixante reines, et quatre-vingts femmes du second rang, et les jeunes filles sont sans nombre. (6:7) 9 Mais une seule est ma colombe, et ma parfaite amie : elle est unique à sa mère, et choisie préférablement par celle qui lui a donné la vie. Les filles l’ont vue, et elles ont publié qu’elle est très-heureuse ; les reines et les autres femmes l’ont vue, et lui ont donné des louanges. (6:8) 10 Quelle est celle-ci, ont-elles dit, qui s’avance comme l’aurore lorsqu’elle se lève, qui est belle comme la lune, et éclatante comme le soleil, et qui est terrible comme une armée rangée en bataille ? (6:9) 11 Je suis descendue dans le jardin des noyers, pour voir les fruits des vallées, pour considérer si la vigne avait fleuri, et si les pommes de grenade avaient poussé. (6:10) 12 Je n’ai plus su où j’étais : mon âme a été toute troublée dans moi à cause des chariots d’Aminadab. (6:11) | Cantique 6:17-11 |
| 6 | Traduction par Albert Rilliet Édition de 1858, libre de droits. | — Cette traduction ne possède que le Nouveau Testament. | |
| 7 | Traduction dite Bible de Lausanne Édition de 1861-1872, libre de droits. | 1 Où est allé ton bien-aimé, ô la plus belle des femmes ? De quel côté ton bien-aimé s’est-il tourné ? Nous le chercherons avec toi. (6:1) 2 Mon bien-aimé est descendu à son jardin, aux couches de baume, pour paître [son troupeau] dans les jardins et pour cueillir des lis. (6:2) 3 Je suis à mon bien-aimé, et mon bien-aimé est à moi. Il paît [son troupeau] parmi les lis. (6:3) 4 Tu es belle, mon amie, comme Thirtsa, attrayante comme Jérusalem, [mais] redoutable comme des troupes sous leurs bannières. (6:4) 5 Détourne de moi tes yeux, car ils me troublent ! Ta chevelure est comme un troupeau de chèvres suspendues aux flancs de Galaad. (6:5) 6 Tes dents sont comme un troupeau de brebis, qui montent du lavoir. Elles sont toutes mères de jumeaux, et aucune parmi elles n’est privée [de sa pareille]. (6:6) 7 Ta joue est comme la moitié d’une grenade, derrière ton voile. (6:7) 8 Il y a soixante reines et quatre-vingts concubines, et des jeunes filles sans nombre. (6:8) 9 Ma colombe, ma parfaite, est unique ! Elle est unique pour sa mère, et préférée de celle qui lui donna le jour. Les [jeunes] filles la voient, et la disent bienheureuse ; les reines et les concubines aussi, et elles la célèbrent. (6:9) 10 Qui est celle-ci, dont le regard est comme celui de l’aurore, belle comme la lune, pure comme la lumière du soleil, redoutable comme des troupes sous leurs bannières ? (6:10) 11 Je suis descendue au jardin des noyers pour contempler la riche verdure de la vallée, pour voir si la vigne a bourgeonné, si les grenadiers fleurissent. (6:11) 12 Sans que je me reconnusse, mon désir m’a portée vers les chars de mon peuple-prince. (6:12) | Cantique 6:1-12 |
| 8 | Traduction selon la Vulgate dite Bible de Gustave Doré Édition de 1866, libre de droits. | 1 Où est allé votre bien-aimé, ô la plus belle d’entre les femmes ? Où s’est retiré votre bien-aimé ? et nous le chercherons avec vous. (5:17) 2 Mon bien-aimé est descendu dans son jardin, au parterre des plantes aromatiques, pour s’y nourrir et y cueillir des lis. (6:1) 3 Je suis à mon bien-aimé, et mon bien-aimé est à moi, lui qui se nourrit parmi les lis. (6:2) 4 Vous êtes belle, ô mon amie, douce et ravissante comme Jérusalem, terrible comme une armée rangée en bataille. (6:3) 5 Détournez vos yeux de moi, car ils m’ont obligé de me retirer promptement. Vos cheveux sont comme un troupeau de chèvres qui ont apparu sur le mont Galaad. (6:4) 6 Vos dents sont comme un troupeau de brebis qui sont montées du lavoir, et qui portent toutes un double fruit, sans qu’il y en ait de stériles parmi elles. (6:5) 7 Vos joues sont comme l’écorce d’une pomme de grenade, sans parler de ce qui est caché au dedans de vous. (6:6) 8 On compte soixante reines, quatre-vingts femmes du second rang et des jeunes vierges sans nombre. (6:7) 9 Une seule est ma colombe, ma parfaite ; elle est unique pour sa mère et choisie par celle qui lui a donné la vie. Les vierges l’ont vue, et l’ont publiée très-heureuse ; les reines et les autres femmes l’ont vue, et lui ont donné des louanges. (6:8) 10 Quelle est celle-ci qui s’avance comme l’aurore à son lever, belle comme la lune, éclatante comme le soleil, terrible comme une armée rangée en bataille ? (6:9) 11 Je suis descendue dans le jardin des noyers pour voir les fruits des vallées, et regarder si la vigne avait fleuri et si les grenadiers avaient poussé. (6:10) 12 Je n’ai plus reconnu où j’étais ; mon âme a été vivement troublée à cause des chariots d’Aminadab. (6:11) | Cantique 6:17-11 |
| 9 | Traduction par L. Segond & H. Oltramare Édition de 1874, libre de droits. | 1 Où est allé ton bien-aimé, ô la plus belle des femmes ? De quel côté ton bien-aimé s’est-il dirigé ? Nous le chercherons avec toi. — (6:1) 2 Mon bien-aimé est descendu à son jardin, au parterre d’aromates, pour faire paître son troupeau dans les jardins, et pour cueillir des lis. — (6:2) 3 Je suis à mon bien-aimé, et mon bien-aimé est à moi ; il fait paître son troupeau parmi les lis. (6:3) 4 Tu es belle, mon amie, comme Thirtsa, agréable comme Jérusalem, mais terrible comme des troupes sous leurs bannières. (6:4) 5 Détourne de moi tes yeux, car ils me troublent. Tes cheveux sont comme un troupeau de chèvres, suspendues aux flancs de Galaad. (6:5) 6 Tes dents sont comme un troupeau de brebis, qui remontent de l’abreuvoir ; toutes portent des jumeaux, aucune d’elles n’est stérile. (6:6) 7 Ta joue est comme une moitié de grenade, derrière ton voile. ... (6:7) 8 Il y a soixante reines, quatre-vingts concubines, et des jeunes filles sans nombre. (6:8) 9 Une seule est ma colombe, ma parfaite ; elle est l’unique de sa mère, la préférée de celle qui lui donna le jour. Les jeunes filles la voient, et la disent heureuse ; les reines et les concubines aussi, et elles la louent. — (6:9) 10 Qui est celle qui apparaît comme l’aurore, belle comme la lune, pure comme le soleil, mais terrible comme des troupes sous leurs bannières ? — (6:10) 11 Je suis descendue au jardin des noyers, pour voir la verdure de la vallée, pour voir si la vigne pousse, si les grenadiers fleurissent. (6:11) 12 Je ne sais, mais mon désir m’a rendue semblable aux chars de mon noble peuple. — (6:12) | Cantique 6:1-12 |
| 10 | Traduction par J. N. Darby Édition de 1885, libre de droits. | 1 — Où est allé ton bien-aimé, ô la plus belle parmi les femmes ? De quel côté ton bien-aimé s’est-il tourné ? et nous le chercherons avec toi. (6:1) 2 Mon bien-aimé est descendu dans son jardin, aux parterres des aromates, pour paître dans les jardins et pour cueillir des lis. (6:2) 3 Je suis à mon bien-aimé, et mon bien-aimé est à moi ; il paît parmi les lis. (6:3) 4 Tu es belle, mon amie, comme Thirtsa, agréable comme Jérusalem, redoutable comme des troupes sous leurs bannières. (6:4) 5 Détourne de moi tes yeux, car ils me troublent. Tes cheveux sont comme un troupeau de chèvres sur les pentes de Galaad ; (6:5) 6 tes dents, comme un troupeau de brebis qui montent du lavoir, qui toutes ont des jumeaux, et pas une d’elles n’est stérile ; (6:6) 7 ta joue est comme un quartier de grenade derrière ton voile. (6:7) 8 Il y a soixante reines, et quatre-vingts concubines, et des jeunes filles sans nombre : (6:8) 9 ma colombe, ma parfaite, est unique ; elle est l’unique de sa mère, la choisie de celle qui l’a enfantée. Les filles l’ont vue, et l’ont dite bienheureuse ; les reines aussi et les concubines, et elles l’ont louée. (6:9) 10 Qui est celle-ci qui apparaît comme l’aurore, belle comme la lune, pure comme le soleil, redoutable comme des troupes sous leurs bannières ? (6:10) 11 Je suis descendu au jardin des noisettes, pour voir la verdure de la vallée, pour voir si la vigne bourgeonne, si les grenadiers s’épanouissent. (6:11) 12 Sans que je m’en aperçusse, mon âme m’a transporté sur les chars de mon peuple de franche volonté. (6:12) | Cantique 6:1-12 |
| 11 | Traduction par L. Cl. Fillion Édition de 1889, libre de droits. | 1 Où est allé ton bien-aimé, ô la plus belle des femmes ? Où s’est retiré ton bien-aimé ? et nous le chercherons avec toi. (5:17) 2 Mon bien-aimé est descendu dans son jardin, dans le parterre des plantes aromatiques, pour se nourrir dans les jardins et pour cueillir des lis. (6:1) 3 Je suis à mon bien-aimé, et mon bien-aimé est à moi, lui qui se nourrit parmi les lis. (6:2) 4 Tu es belle, ô mon amie, suave, et belle comme Jérusalem, terrible comme une armée rangée en bataille. (6:3) 5 Détourne de moi tes yeux, car ce sont eux qui m’ont fait fuir en toute hâte. Tes cheveux sont comme un troupeau de chèvres que l’on voit venir de Galaad. (6:4) 6 Tes dents sont comme un troupeau de brebis qui sont montées du lavoir, toutes portent un double fruit, et il n’y en a pas de stérile parmi elles. (6:5) 7 Tes joues sont comme l’écorce d’une grenade, sans ce qui est caché en toi. (6:6) 8 Il y a soixante reines, et quatre-vingts femmes du second rang, et des jeunes filles sans nombre. (6:7) 9 Elle est unique, ma colombe, ma parfaite ; elle est l’unique de sa mère, la préférée de celle qui lui a donné le jour. Les jeunes filles l’ont vue, et elles l’ont proclamée bienheureuse ; les reines et les autres femmes l’ont vue, et l’ont comblée de louanges. (6:8) 10 Quelle est celle-ci qui s’avance comme l’aurore à son lever, belle comme la lune, éclatante comme le soleil, terrible comme une armée rangée en bataille ? (6:9) 11 Je suis descendue dans le jardin des noyers, pour voir les fruits des vallées, et pour considérer si la vigne avait fleuri, et si les grenades avaient germé. (6:10) 12 Je n’ai plus su où j’étais ; mon âme a été toute troublée, à cause des chars d’Aminadab. (6:11) | Cantique 6:17-11 |
| 12 | Traduction par Edmond Stapfer Édition de 1889, libre de droits. | — Cette traduction ne possède que le Nouveau Testament. | |
| 13 | Traduction du rabbinat par Zadoc Kahn Édition de 1899-1906, libre de droits. | 1 OÙ est-il allé, ton bien-aimé, ô la plus belle des femmes ? De quel côté s’est-il dirigé, ton bien-aimé ? Nous t’aiderons à le chercher. (6:1) 2 — Mon bien-aimé est descendu dans son jardin, vers les plates-bandes d’aromates, pour faire paître son troupeau dans les jardins et cueillir des roses. (6:2) 3 Je suis à mon bien-aimé, et mon bien-aimé est à moi, lui qui fait paître son troupeau parmi les roses. (6:3) 4 Tu es belle, mon amie, comme Tirça, gracieuse comme Jérusalem, imposante comme une armée aux enseignes déployées. (6:4) 5 Détourne tes yeux de moi, car ils me jettent dans des transports. Tes cheveux sont comme un troupeau de chèvres dévalant du Galaad. (6:5) 6 Tes dents sont comme un troupeau de brebis qui remontent du bain, formant deux rangées parfaites, sans aucun vide. (6:6) 7 Ta tempe est comme une tranche de grenade à travers ton voile. (6:7) 8 Les reines sont au nombre de soixante, les concubines de quatre-vingts, et innombrables sont les jeunes filles. (6:8) 9 Mais unique est ma colombe, mon amie accomplie ; elle est unique pour sa mère, elle est la préférée de celle qui l’a enfantée. Les jeunes filles, en la voyant, la proclament heureuse ; reines et concubines font son éloge. (6:9) 10 Qui est-elle, celle-ci qui apparaît comme l’aurore, qui est belle comme la lune, brillante comme le soleil, imposante comme une armée aux enseignes déployées ? (6:10) 11 Je suis descendue dans le verger aux noyers, pour voir les jeunes pousses de la vallée, pour voir si la vigne avait bourgeonné, si les grenades étaient en fleurs. (6:11) 12 Je ne savais pas… Le désir de mon âme m’avait poussé au beau milieu des chars de mon peuple généreux. (6:12) | Cantique 6:1-12 |
| 14 | Traduction par Louis Segond Édition de 1910, libre de droits. | 1 Où est allé ton bien-aimé, ô la plus belle des femmes ? De quel côté ton bien-aimé s’est-il dirigé ? Nous le chercherons avec toi. — (6:1) 2 Mon bien-aimé est descendu à son jardin, au parterre d’aromates, pour faire paître son troupeau dans les jardins, et pour cueillir des lis. — (6:2) 3 Je suis à mon bien-aimé, et mon bien-aimé est à moi ; il fait paître son troupeau parmi les lis. (6:3) 4 Tu es belle, mon amie, comme Thirtsa, agréable comme Jérusalem, mais terrible comme des troupes sous leurs bannières. (6:4) 5 Détourne de moi tes yeux, car ils me troublent. Tes cheveux sont comme un troupeau de chèvres, suspendues aux flancs de Galaad. (6:5) 6 Tes dents sont comme un troupeau de brebis, qui remontent de l’abreuvoir ; toutes portent des jumeaux, aucune d’elles n’est stérile. (6:6) 7 Ta joue est comme une moitié de grenade, derrière ton voile. ... (6:7) 8 Il y a soixante reines, quatre-vingts concubines, et des jeunes filles sans nombre. (6:8) 9 Une seule est ma colombe, ma parfaite ; elle est l’unique de sa mère, la préférée de celle qui lui donna le jour. Les jeunes filles la voient, et la disent heureuse ; les reines et les concubines aussi, et elles la louent. — (6:9) 10 Qui est celle qui apparaît comme l’aurore, belle comme la lune, pure comme le soleil, mais terrible comme des troupes sous leurs bannières ? — (6:10) 11 Je suis descendue au jardin des noyers, pour voir la verdure de la vallée, pour voir si la vigne pousse, si les grenadiers fleurissent. (6:11) 12 Je ne sais, mais mon désir m’a rendue semblable aux chars de mon noble peuple. — (6:12) | Cantique 6:1-12 |
| 15 | Traduction par Augustin Crampon Édition de 1923, libre de droits. | 1 Où est allé ton bien-aimé, ô la plus belle des femmes ? De quel côté ton bien-aimé s’est-il tourné, pour que nous le cherchions avec toi ? (6:1) 2 Mon bien-aimé est descendu dans son jardin, aux parterres de baumiers, pour faire paître son troupeau dans les jardins, et pour cueillir des lis. (6:2) 3 Je suis à mon bien-aimé, et mon bien-aimé est à moi ; il fait paître son troupeau parmi les lis. (6:3) 4 Tu es belle, mon amie, comme Thirsa, charmante comme Jérusalem, mais terrible comme des bataillons. (6:4) 5 Détourne de moi tes yeux, car ils me troublent. Tes cheveux sont comme un troupeau de chèvres, suspendues aux flancs de la montagne de Galaad. (6:5) 6 Tes dents sont comme un troupeau de brebis, qui remontent du lavoir ; chacune porte deux jumeaux ; et parmi elles, il n’est pas de stérile. (6:6) 7 Ta joue est comme une moitié de grenade, derrière ton voile. (6:7) 8 Il y a soixante reines, quatre-vingts concubines, et des jeunes filles sans nombre : (6:8) 9 une seule est ma colombe, mon immaculée ; elle est l’unique de sa mère, la préférée de celle qui lui donna le jour. Les jeunes filles l’ont vue et l’ont proclamée bienheureuse ; les reines et les concubines l’ont vue et l’ont louée : (6:9) 10 “ Quelle est celle-ci qui apparaît comme l’aurore, belle comme la lune, pure comme le soleil, mais terrible comme des bataillons ? ˮ (6:10) 11 J’étais descendu au jardin des noyers, pour voir les herbes de la vallée, pour voir si la vigne pousse, si les grenadiers sont en fleurs. (6:11) 12 Je ne sais, mais mon amour m’a fait monter sur les chars de mon noble peuple. (6:12) | Cantique 6:1-12 |
| 16 | La Bible de Jérusalem Édition de 1973 © Copyright.[+] | 1 Où est parti ton bien-aimé, ô la plus belle des femmes ? Où s’est tourné ton bien-aimé, que nous le cherchions avec toi ? (6:1) 2 Mon bien-aimé est descendu à son jardin, aux parterres embaumés, pour paître son troupeau dans les jardins, et pour cueillir des lis. (6:2) 3 Je suis à mon bien-aimé, et mon bien-aimé est à moi ! Il paît son troupeau parmi les lis. (6:3) 4 Tu es belle, mon amie, comme Tirça, charmante comme Jérusalem, redoutable comme des bataillons. (6:4) 5 Détourne de moi tes regards, car ils m’assaillent ! Tes cheveux sont un troupeau de chèvres, ondulant sur les pentes du Galaad. (6:5) 6 Tes dents sont un troupeau de brebis, qui remontent du bain. Chacune a sa jumelle et nulle n’en est privée. (6:6) 7 Tes joues sont des moitiés de grenade derrière ton voile. (6:7) 8 Il y a 60 reines et 80 concubines ! (et des jeunes filles sans nombre.) (6:8) 9 Unique est ma colombe, ma parfaite. Elle est l’unique de sa mère, la préférée de celle qui l’enfanta. Les jeunes femmes l’ont vue et glorifiée, reines et concubines l’ont célébrée : (6:9) 10 « Qui est celle-ci qui surgit comme l’aurore, belle comme la lune, resplendissante comme le soleil, redoutable comme des bataillons ? » (6:10) 11 Au jardin des noyers je suis descendu, pour voir les jeunes pousses de la vallée, pour voir si la vigne bourgeonne, si les grenadiers fleurissent. (6:11) 12 Je ne sais, mais mon désir m’a jeté sur les chars d’Amminadîb ! (6:12) | Cantique 6:1-12 |
| 17 | Nouvelle édition de Genève Édition de 1979 © Copyright.[+] | 1 Où est allé ton bien-aimé, O la plus belle des femmes ? De quel côté ton bien-aimé s’est-il dirigé ? Nous le chercherons avec toi. (6:1) 2 Mon bien-aimé est descendu à son jardin, Au parterre d’aromates, Pour faire paître son troupeau dans les jardins, Et pour cueillir des lis. (6:2) 3 Je suis à mon bien-aimé, et mon bien-aimé est à moi ; Il fait paître son troupeau parmi les lis. (6:3) 4 Tu es belle, mon amie, comme Thirtsa, Agréable comme Jérusalem, Mais terrible comme des troupes sous leurs bannières. (6:4) 5 Détourne de moi tes yeux, car ils me troublent. Tes cheveux sont comme un troupeau de chèvres, Suspendues aux flancs de Galaad. (6:5) 6 Tes dents sont comme un troupeau de brebis, Qui remontent de l’abreuvoir ; Toutes portent des jumeaux, Aucune d’elles n’est stérile. (6:6) 7 Ta joue est comme une moitié de grenade, Derrière ton voile… (6:7) 8 Il y a soixante reines, quatre-vingts concubines, Et des jeunes filles sans nombre. (6:8) 9 Une seule est ma colombe, ma parfaite ; Elle est l’unique de sa mère, La préférée de celle qui lui donna le jour. Les jeunes filles la voient, et la disent heureuse ; Les reines et les concubines aussi, et elles la louent. (6:9) 10 Qui est celle qui apparaît comme l’aurore, Belle comme la lune, pure comme le soleil, Mais terrible comme des troupes sous leurs bannières ? (6:10) 11 Je suis descendue au jardin des noyers, Pour voir la verdure de la vallée, Pour voir si la vigne pousse, Si les grenadiers fleurissent. (6:11) 12 Je ne sais, mais mon désir m’a rendue semblable Aux chars de mon noble peuple. (6:12) | Cantique 6:1-12 |
| 18 | Traduction du monde nouveau par WTBTS Édition de 1995 © Copyright.[+] | 1 “ Où est allé celui qui t’est cher, ô la plus belle parmi les femmes ? Où s’est dirigé celui qui t’est cher, pour que nous le cherchions avec toi ? ” (6:1) 2 “ Celui qui m’est cher est descendu à son jardin, aux parterres d’aromates, pour mener paître parmi les jardins, et pour cueillir des lis. (6:2) 3 Je suis à celui qui m’est cher, et celui qui m’est cher est à moi. Il fait paître parmi les lis. ” (6:3) 4 “ Tu es belle, ô ma compagne, comme Ville Charmante, jolie comme Jérusalem, impressionnante comme des troupes rassemblées autour de bannières. (6:4) 5 Détourne tes yeux de devant moi, car ils m’ont alarmé. Tes cheveux sont comme un troupeau de chèvres qui sont descendues de Guiléad en bondissant. (6:5) 6 Tes dents sont comme un troupeau de brebis qui sont remontées du lavage ; toutes portent des jumeaux, aucune d’elles n’a perdu ses petits. (6:6) 7 Comme une tranche de grenade sont tes tempes derrière ton voile. (6:7) 8 Il y a peut-être soixante reines et quatre-vingts concubines et des jeunes filles sans nombre. (6:8) 9 Il y en a une qui est ma colombe, mon [amie] intègre. Il y en a une qui appartient à sa mère. Elle est la pure de celle qui l’a mise au monde. Les filles l’ont vue, et elles l’ont alors déclarée heureuse ; reines et concubines, et elles l’ont alors louée : (6:9) 10 ‘ Quelle est cette femme qui abaisse [sur nous] ses regards comme l’aurore, belle comme la pleine lune, pure comme le soleil brûlant, impressionnante comme des troupes rassemblées autour de bannières ? ’ ” (6:10) 11 “ Au jardin des noyers j’étais descendue, pour voir les pousses dans le ouadi, pour voir si la vigne avait bourgeonné, si les grenadiers avaient fleuri. (6:11) 12 Avant que je l’aie su, mon âme m’avait mise aux chars de mon peuple bien disposé. ” (6:12) | Cantiques 6:1-12 |
| 19 | Traduction Louis Segond 21 Édition de 2007 © Copyright.[+] | 1 Où est allé ton bien-aimé, toi la plus belle des femmes ? De quel côté ton bien-aimé s’est-il dirigé ? Nous le chercherons avec toi. (6:1) 2 Mon bien-aimé est descendu à son jardin, au parterre d’aromates, pour prendre soin de son troupeau dans les jardins et pour cueillir des lis. (6:2) 3 Je suis à mon bien-aimé, et mon bien-aimé est à moi. Il a conduit son troupeau parmi les lis. (6:3) 4 Tu es aussi belle que Thirtsa, mon amie, aussi charmante que Jérusalem, aussi majestueuse que des troupes sous leurs étendards. (6:4) 5 Détourne ton regard de moi, car il me trouble ! Tes cheveux sont pareils à un troupeau de chèvres bondissant sur les montagnes de Galaad. (6:5) 6 Tes dents sont comme un troupeau de brebis qui remontent du lavoir : chacune a sa jumelle, aucune d’elles n’est seule. (6:6) 7 Ta joue est comme une moitié de grenade derrière ton voile. (6:7) 8 Il peut y avoir 60 reines, 80 concubines et des jeunes filles en quantité incalculable, (6:8) 9 ma colombe, ma parfaite, est unique. Elle est unique pour sa mère, elle est la préférée de celle qui lui a donné le jour. Les filles la voient et la disent heureuse, les reines et les concubines aussi, et elles font son éloge. (6:9) 10 Qui est celle qui apparaît, pareille à l’aurore, aussi belle que la lune, aussi pure que le soleil, aussi majestueuse que des troupes sous leurs étendards ? (6:10) 11 Je suis descendu au jardin des noyers pour voir la verdure au fond du vallon, pour voir si la vigne pousse, si les grenadiers fleurissent. (6:11) 12 J’ignore comment, mais mon désir m’a poussé vers les chars de mon noble peuple. (6:12) | Cantique 6:1-12 |
| 20 | Traduction du monde nouveau par WTBTS Édition de 2018 © Copyright.[+] | 1 « Où est allé ton bien-aimé, ô la plus belle des femmes ? Dans quelle direction ton bien-aimé est-il parti ? Nous le chercherons avec toi ! » (6:1) 2 « Mon bien-aimé est descendu à son jardin, aux parterres d’aromates, pour conduire son troupeau dans les jardinset pour cueillir des lis. (6:2) 3 Je suis à mon bien-aimé, et mon bien-aimé est à moi. Il conduit son troupeau parmi les lis. » (6:3) 4 « Toi que j’aime, tu es aussi belle que Tirza, aussi jolie que Jérusalem, aussi impressionnante que des troupes rassemblées autour de leurs bannières. (6:4) 5 Détourne tes yeux de moi, car je ne peux pas leur résister. Tes cheveux sont comme un troupeau de chèvresqui dévalent les pentes de Galaad. (6:5) 6 Tes dents sont comme un troupeau de brebisqui remontent du point d’eau après avoir été lavées ; toutes portent des jumeaux, aucune n’a perdu ses petits. (6:6) 7 Comme une tranche de grenade, ainsi sont tes joues derrière ton voile. (6:7) 8 Il y a peut-être 60 reineset 80 concubines, ainsi que des jeunes filles sans nombre, (6:8) 9 mais il n’y en a qu’une qui est ma colombe, mon amie parfaite. Elle est unique aux yeux de sa mère. Elle est la préférée de celle qui l’a mise au monde. Les filles la voient, et elles la déclarent heureuse, les reines et les concubines la voient, et elles en parlent avec admiration. (6:9) 10 “Qui est-elle, cette femme qui brille comme l’aurore, aussi belle que la pleine lune, aussi pure que la lumière du soleil, aussi impressionnante que des troupes rassemblées autour de leurs bannières ? ” » (6:10) 11 « Je suis descendue au jardin des noyerspour voir les jeunes pousses dans la vallée, pour voir si la vigne avait bourgeonné, si les grenadiers avaient fleuri. (6:11) 12 Mais en peu de temps, cette envie m’avait menéejusqu’aux chars de mon noble peuple. » (6:12) | Cantique 6:1-12 |
| 21 | Traduction française de la Bible King James par N. L. Stratford Édition de 2022 © Copyright.[+] | 1 Où est parti ton bien-aimé, ô la plus belle parmi les femmes ? Où ton bien-aimé s’est-il tourné ? Afin que nous le cherchions avec toi. (6:1) 2 Mon bien-aimé est descendu dans son verger, aux parterres des épices, pour se nourrir dans les vergers, et pour cueillir des lis. (6:2) 3 Je suis à mon bien-aimé, et mon bien-aimé est mien : il se nourrit parmi les lis. (6:3) 4 ¶ Tu es belle, ô mon amour, comme Tirzah, avenante comme Jérusalem, terrible comme une armée arborant ses bannières. (6:4) 5 Détourne tes yeux de moi, car ils me font tressaillir : tes cheveux sont comme un troupeau de chèvres qui apparaissent depuis le mont Gilead. (6:5) 6 Tes dents sont comme un troupeau de moutons qui remontent du bain, dont chacune enfante des jumeaux, et aucune n’est stérile parmi elles. (6:6) 7 Tes tempes sont comme un morceau de grenade entre tes boucles. (6:7) 8 Il y a soixante reines, et quatre-vingts concubines, et des vierges sans nombre. (6:8) 9 Ma colombe, mon immaculée, il n’y en a qu’une, elle est la seule de sa mère, elle est la singulière de celle qui l’a enfantée. Les filles l’ont vue, et l’ont bénie : oui, les reines et les concubines l’ont louée. (6:9) 10 ¶ Qui est celle qui se montre comme l’aurore, belle comme la lune, claire comme le soleil, et terrible comme une armée arborant ses bannières ? (6:10) 11 Je suis descendu au verger des noyers, pour voir les fruits de la vallée, et pour voir si la vigne fleurit, et si les grenadiers bourgeonnent. (6:11) 12 Avant que je le sache, mon âme m’a fait comme les chariots d’Amminadib. (6:12) | Cantique 6:1-12 |