| 1 | Traduction par David Martin Édition de 1744, libre de droits. | 1 Je suis la rose de Saron, et le muguet des vallées. (2:1) 2 Tel qu’est le muguet entre les épines, telle est ma grande amie entre les filles. (2:2) 3 Tel qu’est le pommier entre les arbres d’une forêt, tel est mon bien-aimé entre les jeunes hommes ; j’ai désiré son ombre, et m’y suis assise, et son fruit a été doux à mon palais. (2:3) 4 Il m’a menée dans la salle du festin ; et sa livrée, laquelle je porte, c’est AMOUR. (2:4) 5 Faites-moi revenir [les forces] avec les liqueurs ; faites-moi un lit de pommes ; car je me pâme d’amour. (2:5) 6 Que sa main gauche soit sous ma tête, et que sa droite m’embrasse. (2:6) 7 Filles de Jérusalem, je vous adjure par les chevreuils et par les biches des champs, que vous ne réveilliez point celle que j’aime, que vous ne la réveilliez point, jusqu’à ce qu’elle le veuille. (2:7) 8 C’est ici la voix de mon bien-aimé ; le voici qui vient, sautelant sur les montagnes, et bondissant sur les coteaux. (2:8) 9 Mon bien-aimé est semblable au chevreuil, ou au faon des biches ; le voilà qui se tient derrière notre muraille ; il regarde par les fenêtres, il se fait voir par les treillis. (2:9) 10 Mon bien-aimé a pris la parole, et m’a dit : Lève-toi, ma grande amie, ma belle, et t’en viens. (2:10) 11 Car voici, l’hiver est passé, la pluie est passée, elle s’en est allée. (2:11) 12 Les fleurs paraissent en la terre, le temps des chansons est venu, et la voix de la tourterelle a déjà été ouïe dans notre contrée. (2:12) 13 Le figuier a poussé ses figons, et les vignes leurs grappes, et elles rendent de l’odeur. Lève-toi, ma grande amie, ma belle, et t’en viens. (2:13) 14 Ma colombe, qui te tiens dans les fentes de la roche, dans les enfoncements des lieux escarpés, fais-moi voir ton regard, fais-moi ouïr ta voix ; car ta voix est douce, et ton regard est gracieux. (2:14) 15 Prenez-nous les renards, et les petits renards, qui gâtent les vignes, depuis que nos vignes ont poussé des grappes. (2:15) 16 Mon bien-aimé est à moi, et je suis à lui ; il paît [son troupeau] parmi les muguets. (2:16) 17 Avant que le vent du jour souffle, et que les ombres s’enfuient, retourne mon bien-aimé, et [sois] comme le chevreuil, ou le faon des biches, sur les montagnes entrecoupées. (2:17) | Cantique 2:1-17 |
| 2 | Traduction King James revue par B. Blayney Édition de 1769, libre de droits (hors GB). | 1 I am the rose of Sharon, and the lily of the valleys. (2:1) 2 As the lily among thorns, so is my love among the daughters. (2:2) 3 As the apple tree among the trees of the wood, so is my beloved among the sons. I sat down under his shadow with great delight, and his fruit was sweet to my taste. (2:3) 4 He brought me to the banqueting house, and his banner over me was love. (2:4) 5 Stay me with flagons, comfort me with apples : for I am sick of love. (2:5) 6 His left hand is under my head, and his right hand doth embrace me. (2:6) 7 I charge you, O ye daughters of Jerusalem, by the roes, and by the hinds of the field, that ye stir not up, nor awake my love, till he please. (2:7) 8 The voice of my beloved ! behold, he cometh leaping upon the mountains, skipping upon the hills. (2:8) 9 My beloved is like a roe or a young hart : behold, he standeth behind our wall, he looketh forth at the windows, shewing himself through the lattice. (2:9) 10 My beloved spake, and said unto me, Rise up, my love, my fair one, and come away. (2:10) 11 For, lo, the winter is past, the rain is over and gone ; (2:11) 12 The flowers appear on the earth ; the time of the singing of birds is come, and the voice of the turtle is heard in our land ; (2:12) 13 The fig tree putteth forth her green figs, and the vines with the tender grape give a good smell. Arise, my love, my fair one, and come away. (2:13) 14 O my dove, that art in the clefts of the rock, in the secret places of the stairs, let me see thy countenance, let me hear thy voice ; for sweet is thy voice, and thy countenance is comely. (2:14) 15 Take us the foxes, the little foxes, that spoil the vines : for our vines have tender grapes. (2:15) 16 My beloved is mine, and I am his : he feedeth among the lilies. (2:16) 17 Until the day break, and the shadows flee away, turn, my beloved, and be thou like a roe or a young hart upon the mountains of Bether. (2:17) | Song 2:1-17 |
| 3 | Traduction revue par J. F. Ostervald Édition de 1823, libre de droits. | 1 Je suis la rose de Sçaron et le muguet des vallées. (2:1) 2 Tel qu’est le muguet entre les épines, telle est ma grande amie entre les filles. (2:2) 3 Tel qu’est le pommier entre les arbres des forêts, tel est mon bien-aimé entre les jeunes hommes ; j’ai désiré son ombrage, et m’y suis assise, et son fruit a été doux à mon palais. (2:3) 4 Il m’a menée dans la salle du festin, et son étendard sur moi c’est Amour. (2:4) 5 Faites-moi revenir le cœur avec du vin ; faites-moi une couche de pommes ; car je me pâme d’amour. (2:5) 6 Que sa main gauche soit sous ma tête, et que sa droite m’embrasse. (2:6) 7 Filles de Jérusalem, je vous adjure par les chevreuils et les biches des champs, que vous n’éveilliez, ni ne réveilliez point celle que j’aime, jusqu’à ce qu’elle le veuille. (2:7) 8 C’est ici la voix de mon bien-aimé : le voici qui vient, sautant sur les montagnes, et bondissant sur les coteaux. (2:8) 9 Mon bien-aimé est semblable au chevreuil, ou au faon des’ biches ; le voilà qui se tient derrière notre muraille ; il regarde par les fenêtres, il s’avance par les treillis. (2:9) 10 Mon bien-aimé a pris la parole, et m’a dit : Lève-toi, ma grande amie, ma belle, et t’en viens. (2:10) 11 Car, voici, l’hiver est passé, la pluie est passée et s’en est allée ; (2:11) 12 Les fleurs paraissent sur la terre, le temps des chansons est venu, et la voix de la tourterelle a déjà été ouïe dans notre contrée. (2:12) 13 Le figuier a jeté ses premières figues, et les vignes ont des grappes, et rendent de l’odeur. Lève-toi, ma grande amie, ma belle, et t’en viens. (2:13) 14 Ma colombe, qui te tiens dans les fentes du rocher, dans les cachettes des lieux escarpés, fais-moi voir ton regard, et fais-moi entendre ta voix ; car ta voix est douce, et ton regard est gracieux. (2:14) 15 Prenez-nous les renards, et les petits renards, qui gâtent les vignes, depuis que nos vignes ont des grappes. (2:15) 16 Mon bien-aimé est à moi, et je suis à lui ; il paît son troupeau parmi le muguet. (2:16) 17 Avant que le vent du jour souffle et que les ombres s’enfuient, reviens, mon bien-aimé, comme le chevreuil, ou le faon des biches sur les montagnes entrecoupées. (2:17) | Cantique 2:1-17 |
| 4 | Traduction par H.-A. Perret-Gentil Édition de 1847-1861, libre de droits. | 1 Je suis un narcisse de Saron, un lys des vallées. — (2:1) 2 — Tel un lys parmi les ronces, telle est ma bien-aimée parmi les jeunes filles. — (2:2) 3 — Tel un pommier parmi les arbres, tel est mon bien-aimé parmi les jeunes hommes. Mon désir est d’être assise à son ombre, et son fruit est doux à mon palais. (2:3) 4 Il m’a fait entrer dans la maison où le vin coule, et la bannière sous laquelle il me range, c’est l’amour… (2:4) 5 Pour me soutenir donnez-moi le sirop de raisins, donnez-moi comme cordial la pomme [de Cydon] ! car je suis malade d’amour. (2:5) 6 Que sa main gauche se place sous ma tête, et que sa droite m’embrasse ! — (2:6) 7 — Je vous adjure, filles de Jérusalem, par les gazelles et par les biches des champs, n’éveillez pas, ne réveillez pas mon amour, plus tôt qu’elle ne voudrait ! (2:7) 8 C’est la voix de mon bien-aimé ! Voici, il vient franchissant par sauts et par bonds les monts et les collines. (2:8) 9 Mon bien-aimé égale la gazelle, ou le faon des biches. Le voilà debout derrière notre mur, avançant ses yeux par la fenêtre, et les faisant briller au travers du treillis ! (2:9) 10 Mon bien-aimé se met à parler, et il me dit : « Lève-toi, ma bien-aimée, ma beauté, et viens ! (2:10) 11 Car voici, l’hiver est passé, les pluies ont cessé et ont fui ; les fleurs paraissent sur la terre ; (2:11) 12 la saison des mélodies est là, et la voix de la tourterelle se fait entendre dans notre contrée ; (2:12) 13 le figuier embaume ses fruits, et la vigne est en fleur, elle exhale son parfum. Lève-toi, ma bien-aimée, ma beauté, et viens ! (2:13) 14 Ma colombe ! dans les cavités des rochers, dans les retraites des lieux escarpés, fais-moi voir ta figure, fais-moi entendre ta voix ! car ta voix est douce, et ta figure gracieuse. » — (2:14) 15 Faites pour nous la chasse aux renards, aux petits renards qui ravagent les vignes, quand nos vignes sont en fleur ! (2:15) 16 Mon bien-aimé est à moi, et je suis à lui, il paît son troupeau parmi les lys. (2:16) 17 En attendant le trais du jour, et la fuite des ombres, reviens ! toi, mon bien-aimé, égalant la gazelle ou le faon des biches franchis les monts qui nous séparent ! (2:17) | Cantique 2:1-17 |
| 5 | Traduction par L. I. Lemaistre de Saci Édition de 1855, libre de droits. | 1 JE suis la fleur des champs, et je suis le lis des vallées. (2:1) 2 Tel qu’est le lis entre les épines, telle est ma bien-aimée entre les filles. (2:2) 3 Tel qu’est un pommier entre les arbres des forêts, tel est mon bien-aimé entre les enfants des hommes. Je me suis reposée sous l’ombre de celui que j’avais tant désiré, et son fruit est doux à ma bouche. (2:3) 4 Il m’a fait entrer dans le cellier où il met son vin ; il a mis dans moi son amitié. (2:4) 5 Soutenez-moi avec des fleurs, fortifiez-moi avec des fruits ; parce que je languis d’amour. (2:5) 6 Il met sa main gauche sur ma tête, et il m’embrasse de sa main droite. (2:6) 7 Filles de Jérusalem, je vous conjure par les chevreuils et par les cerfs de la campagne de ne point réveiller celle que j'aime, et de ne point la tirer de son repos, jusqu'à ce qu'elle s'éveille d'elle-même. (2:7) 8 J’entends la voix de mon bien-aimé : le voici qui vient, sautant sur les montagnes, passant par-dessus les collines. (2:8) 9 Mon bien-aimé est semblable à un chevreuil, et à un faon de biche. Le voici qui se tient derrière notre mur, qui regarde par les fenêtres, qui jette sa vue au travers des barreaux. (2:9) 10 Voilà mon bien-aimé qui me parle et qui me dit : Levez-vous, hâtez-vous, ma bien-aimée, ma colombe, mon unique beauté, et venez. (2:10) 11 Car l’hiver est déjà passé, les pluies se sont dissipées, et ont cessé entièrement. (2:11) 12 Les fleurs paraissent sur notre terre ; le temps de tailler la vigne est venu ; la voix de la tourterelle s’est fait entendre dans notre terre ; (2:12) 13 le figuier a commencé à pousser ses premières figues ; les vignes sont en fleur, et elles répandent leur agréable odeur. Levez-vous, ma bien-aimée, mon unique beauté, et venez : (2:13) 14 vous qui êtes ma colombe, vous qui vous retirez dans les creux de la pierre, dans les enfoncements de la muraille : montrez-moi votre visage ; que votre voix se fasse entendre à mes oreilles : car votre voix est douce, et votre visage est agréable. (2:14) 15 Prenez-nous les petits renards qui détruisent les vignes : car notre vigne est en fleur. (2:15) 16 Mon bien-aimé est à moi, et je suis à lui, et il se nourrit parmi les lis, (2:16) 17 jusqu’à ce que le jour commence à paraître, et que les ombres se dissipent peu à peu. Retournez, mon bien-aimé, et soyez semblable à un chevreuil, et à un faon de cerf, qui court sur les montagnes de Béther. (2:17) | Cantique 2:1-17 |
| 6 | Traduction par Albert Rilliet Édition de 1858, libre de droits. | — Cette traduction ne possède que le Nouveau Testament. | |
| 7 | Traduction dite Bible de Lausanne Édition de 1861-1872, libre de droits. | 1 Je suis le narcisse de Saron, le lis des vallées. (2:1) 2 Tel le lis entre les épines, telle est mon amie entre les [jeunes] filles. (2:2) 3 Tel le cédrat au milieu des arbres de la forêt, tel est mon bien-aimé entre les jeunes hommes. J’ai désiré son ombre et je [m’y] suis assise, et son fruit est doux à mon palais. (2:3) 4 Il m’a fait entrer dans la maison où [l’on boit] le vin, et sa bannière, [déployée] sur moi, est amour. (2:4) 5 Soutenez-moi avec des gâteaux [de raisins], ranimez-moi avec des cédrats, car je suis malade d’amour. (2:5) 6 Que sa main gauche soit sous ma tête, et que sa droite m’embrasse ! (2:6) 7 Je vous adjure, filles de Jérusalem, par les gazelles ou par les biches des champs, n’éveillez pas, ne réveillez pas [mon] amour jusqu’à ce qu’elle le veuille ! (2:7) 8 C’est la voix de mon bien-aimé ! Voici, c’est lui qui vient, franchissant les montagnes, sautant sur les collines. (2:8) 9 Mon bien-aimé est semblable à la gazelle ou au faon des biches. Voici, c’est lui qui se tient derrière notre paroi, contemplant par les fenêtres, lançant ses regards au travers des treillis. (2:9) 10 Mon bien-aimé parle et me dit : Lève-toi, mon amie, ma belle, et viens-t’en ! (2:10) 11 Car voici, l’hiver est passé ; la pluie a cessé, elle s’en est allée. (2:11) 12 Les fleurs se montrent sur la terre ; la saison des chants est arrivée, et la voix de la tourterelle s’entend dans notre contrée. (2:12) 13 Le figuier mûrit ses fruits d’hiver et les vignes en fleur exhalent leur odeur. Lève-toi, mon amie, ma belle, et viens-t’en ! (2:13) 14 O ma colombe, [qui te tiens] dans les retraites du rocher, dans tes cachettes des lieux escarpées, montre-moi ton visage, fais-moi entendre ta voix ; car ta voix est douce, et ton visage est attrayant. (2:14) 15 Prenez-nous les renards, les petits renards qui ravagent les vignes, car nos vignes sont en fleur. (2:15) 16 Mon bien-aimé est à moi, et je suis à lui ; il paît [son troupeau] parmi les lis. (2:16) 17 Jusqu’à ce que le [vent du] jour souffle, et que les ombres fuient, reviens !... Sois semblable, mon bien-aimé, à la gazelle ou au faon des biches sur les montagnes qui nous séparent. (2:17) | Cantique 2:1-17 |
| 8 | Traduction selon la Vulgate dite Bible de Gustave Doré Édition de 1866, libre de droits. | 1 Je suis la fleur de la campagne et le lis des vallées. (2:1) 2 Comme le lis au milieu des épines, ainsi est ma bien-aimée entre les vierges. (2:2) 3 Comme le pommier parmi les arbres des forêts, ainsi est mon bien-aimé entre les jeunes hommes. Je me suis reposée à l’ombre de celui que j’avais désiré, et son fruit est doux à ma bouche. (2:3) 4 Il m’a fait entrer dans le lieu où se garde le vin, il a réglé en moi la charité. (2:4) 5 Soutenez-moi avec des fleurs, fortifiez-moi avec des fruits, parce que je languis d’amour. (2:5) 6 Sa main gauche est sous ma tête, et il m’embrassera de sa droite. (2:6) 7 Je vous conjure, filles de Jérusalem, par les chevreuils et par les cerfs de nos campagnes, de ne point réveiller celle que j’aime, et de ne pas la faire sortir de son repos, jusqu’à ce qu’elle-même le veuille. (2:7) 8 Voix de mon bien-aimé ! Le voici qui vient, bondissant sur les montagnes, franchissant les collines. (2:8) 9 Mon bien-aimé est semblable au chevreuil et au faon des biches. Le voici debout derrière la muraille, regardant de la fenêtre, jetant sa vue à travers les treillis. (2:9) 10 Voici mon bien-aimé ; il me parle, il me dit : Levez-vous, hâtez-vous, mon amie, ma colombe, mon unique beauté, et venez. (2:10) 11 Déjà l’hiver est passé ; les pluies sont dissipées et ont disparu. (2:11) 12 Les fleurs se sont épanouies sur notre terre ; le temps de tailler la vigne est arrivé ; la voix de la tourterelle s’est fait entendre dans nos campagnes. (2:12) 13 Le figuier a montré ses fruits ; la vigne en fleur a répandu ses parfums. Levez-vous, ma bien-aimée, mon unique beauté, et venez. (2:13) 14 O ma colombe, vous qui vous retirez dans le creux de la pierre, dans les trous de la muraille, montrez-moi votre visage ; que votre voix retentisse à mon oreille ; car votre voix est douce, et votre visage agréable. (2:14) 15 Prenez-nous les petits renards qui ravagent les vignes ; car notre vigne est en fleur. (2:15) 16 Mon bien-aimé est à moi, et moi je suis à lui, et il se nourrit parmi les lis, (2:16) 17 Jusqu’à ce que le jour commence à luire, et que les ombres déclinent. Revenez, mon bien-aimé, et soyez semblable au chevreuil et au faon de la biche, sur les montagnes de Béther. (2:17) | Cantique 2:1-17 |
| 9 | Traduction par L. Segond & H. Oltramare Édition de 1874, libre de droits. | 1 Je suis un narcisse de Saron, un lis des vallées — (2:1) 2 Comme un lis au milieu des épines, telle est mon amie parmi les jeunes filles. — (2:2) 3 Comme un pommier au milieu des arbres de la forêt, tel est mon bien-aimé parmi les jeunes hommes. J’ai désiré m’asseoir à son ombre, et son fruit est doux à mon palais. (2:3) 4 Il m’a fait entrer dans la maison du vin ; et la bannière qu’il déploie sur moi, c’est l’amour. (2:4) 5 Soutenez-moi avec des gâteaux de raisins, fortifiez-moi avec des pommes ; car je suis malade d’amour. (2:5) 6 Que sa main gauche soit sous ma tête, et que sa droite m’embrasse ! — (2:6) 7 Je vous en conjure, filles de Jérusalem, par les gazelles et les biches des champs, ne réveillez pas, ne réveillez pas l’amour, avant qu’elle le veuille. — (2:7) 8 C’est la voix de mon bien-aimé ! Le voici, il vient, sautant sur les montagnes, bondissant sur les collines. (2:8) 9 Mon bien-aimé est semblable à la gazelle ou au faon des biches. Le voici, il est derrière notre mur, il regarde par la fenêtre, il regarde par le treillis. (2:9) 10 Mon bien-aimé parle et me dit : Lève-toi, mon amie, ma belle, et viens ! (2:10) 11 Car voici, l’hiver est passé ; la pluie a cessé, elle s’en est allée. (2:11) 12 Les fleurs paraissent sur la terre, le temps de chanter est arrivé, et la voix de la tourterelle se fait entendre dans nos campagnes. (2:12) 13 Le figuier embaume ses fruits, et les vignes en fleur exhalent leur parfum. Lève-toi, mon amie, ma belle, et viens ! (2:13) 14 Ma colombe, qui te tiens dans les fentes du rocher, qui te caches dans les parois escarpées, fais-moi voir ta figure, fais-moi entendre ta voix ; car ta voix est douce, et ta figure est agréable. (2:14) 15 Prenez-nous les renards, les petits renards qui ravagent les vignes ; car nos vignes sont en fleur. (2:15) 16 Mon bien-aimé est à moi, et je suis à lui ; il fait paître son troupeau parmi les lis. (2:16) 17 Avant que le jour se rafraîchisse, et que les ombres fuient, reviens ! ... sois semblable, mon bien-aimé, à la gazelle ou au faon des biches, sur les montagnes qui nous séparent. (2:17) | Cantique 2:1-17 |
| 10 | Traduction par J. N. Darby Édition de 1885, libre de droits. | 1 — Je suis le narcisse de Saron, le lis des vallées. (2:1) 2 Comme le lis entre les épines, telle est mon amie entre les filles. (2:2) 3 Comme le pommier entre les arbres de la forêt, tel est mon bien-aimé entre les fils ; j’ai pris plaisir à son ombre, et je m’y suis assise ; et son fruit est doux à mon palais. (2:3) 4 Il m’a fait entrer dans la maison du vin ; et sa bannière sur moi, c’est l’amour. (2:4) 5 Soutenez-moi avec des gâteaux de raisins, ranimez-moi avec des pommes ; car je suis malade d’amour. (2:5) 6 Sa main gauche est sous ma tête, et sa droite m’embrasse. (2:6) 7 Je vous adjure, filles de Jérusalem, par les gazelles ou par les biches des champs, n’éveillez pas, ne réveillez pas [mon] amour, jusqu’à ce qu’elle le veuille. (2:7) 8 La voix de mon bien-aimé ! le voici qui vient, sautant sur les montagnes, bondissant sur les collines. (2:8) 9 Mon bien-aimé est semblable à la gazelle, ou au faon des biches. Le voici, il se tient derrière notre mur, il regarde par les fenêtres, il regarde à travers les treillis. (2:9) 10 Mon bien-aimé m’a parlé, et m’a dit : Lève-toi, mon amie, ma belle, et viens ! (2:10) 11 Car voici, l’hiver est passé, la pluie a cessé, elle s’en est allée ; (2:11) 12 les fleurs paraissent sur la terre, la saison des chants est arrivée, et la voix de la tourterelle s’entend dans notre pays ; (2:12) 13 le figuier embaume ses figues d’hiver, et les vignes en fleur exhalent leur parfum. Lève-toi, mon amie, ma belle, et viens ! (2:13) 14 Ma colombe, [qui te tiens] dans les fentes du rocher, dans les cachettes des lieux escarpés, montre-moi ton visage, fais-moi entendre ta voix ; car ta voix est douce, et ton visage est agréable. (2:14) 15 — Prenez-nous les renards, les petits renards qui ravagent les vignes, car nos vignes sont en fleur. — (2:15) 16 Mon bien-aimé est à moi, et je suis à lui, qui paît parmi les lis, (2:16) 17 jusqu’à ce que l’aube se lève et que les ombres fuient. — Tourne-toi ; sois semblable, mon bien-aimé, à la gazelle ou au faon des biches sur les montagnes de Béther. (2:17) | Cantique 2:1-17 |
| 11 | Traduction par L. Cl. Fillion Édition de 1889, libre de droits. | 1 Je suis la fleur des champs, et le lis des vallées. (2:1) 2 Comme un lis parmi les épines, telle est ma bien-aimée parmi les jeunes filles. (2:2) 3 Comme un pommier parmi les arbres des forêts, tel est mon bien-aimé parmi les jeunes hommes. Je me suis assise à l’ombre de celui que j’avais désiré, et son fruit est doux à ma bouche. (2:3) 4 Il m’a introduite dans le cellier à vin ; il a réglé en moi l’amour. (2:4) 5 Soutenez-moi avec des fleurs, fortifiez-moi avec des fruits, car je languis d’amour. (2:5) 6 Sa main gauche est sous ma tête, et il m’embrasse de sa main droite. (2:6) 7 Je vous conjure, filles de Jérusalem, par les gazelles et les cerfs des champs, ne troublez pas, n’éveillez pas la bien-aimée, jusqu’à ce qu’elle-même le veuille. (2:7) 8 C’est la voix de mon bien-aimé ; le voici qui vient, bondissant sur les montagnes, franchissant les collines. (2:8) 9 Mon bien-aimé est semblable à une gazelle et au faon des biches. Le voici qui se tient derrière notre muraille, regardant par les fenêtres, observant à travers les treillis. (2:9) 10 Voilà mon bien-aimé qui me parle : Lève-toi, hâte-toi, mon amie, ma colombe, ma belle, et viens. (2:10) 11 Car l’hiver est déjà passé ; la pluie a cessé et s’en est allée. (2:11) 12 Les fleurs ont paru sur notre terre, le temps de tailler la vigne est venu ; la voix de la tourterelle s’est fait entendre dans notre terre ; (2:12) 13 le figuier a poussé ses premiers fruits ; les vignes en fleur ont répandu leur parfum. Lève-toi, mon amie, ma belle, et viens ; (2:13) 14 ma colombe, toi qui te retires dans les creux de la pierre et dans les enfoncements de la muraille, montre-moi ton visage, que ta voix résonne à mes oreilles ; car ta voix est douce, et ton visage est agréable. (2:14) 15 Prenez-nous les petits renards qui ravagent les vignes ; car notre vigne est en fleur. (2:15) 16 Mon bien-aimé est à moi, et je suis à lui, et il paît parmi les lis, (2:16) 17 jusqu’à ce que le jour se rafraîchisse, et que les ombres se dissipent. Reviens ; sois semblable, mon bien-aimé, à une gazelle, et au faon des biches sur les montagnes de Béther. (2:17) | Cantique 2:1-17 |
| 12 | Traduction par Edmond Stapfer Édition de 1889, libre de droits. | — Cette traduction ne possède que le Nouveau Testament. | |
| 13 | Traduction du rabbinat par Zadoc Kahn Édition de 1899-1906, libre de droits. | 1 JE suis le narcisse de Saron, la rose des vallées. (2:1) 2 Comme une rose parmi les épines, telle est mon amie parmi les jeunes filles. (2:2) 3 — Comme un pommier parmi les arbres de la forêt, tel est mon bien-aimé parmi les jeunes gens ; j’ai brûlé du désir de m’asseoir sous son ombrage, et son fruit est doux à mon palais. (2:3) 4 Il m’a conduite dans le cellier, et sa bannière qu’il a étendue sur moi, c’est l’amour. (2:4) 5 Réconfortez-moi par des gâteaux de raisin, restaurez-moi avec des pommes, car je suis dolente d’amour. (2:5) 6 Son bras gauche soutient ma tête et sa droite me tient enlacée. (2:6) 7 Je vous en conjure, ô filles de Jérusalem, par les biches et les gazelles des champs : n’éveillez pas, ne provoquez pas l’amour, avant qu’il le veuille. (2:7) 8 C’est la voix de mon bien-aimé ! Le voici qui vient, franchissant les montagnes, bondissant sur les collines. (2:8) 9 Mon bien-aimé est pareil au chevreuil ou au faon des biches. Le voici qui se tient derrière notre muraille, qui regarde par les fenêtres, qui observe par le treillis ! (2:9) 10 Mon bien-aimé élève la voix et dit : « Debout, mon amie, ma toute belle, et viens-t’en ! (2:10) 11 Car voilà l’hiver qui est passé, la saison des pluies est finie, elle a cédé la place. (2:11) 12 Les fleurs se montrent sur la terre, le temps des chansons est venu, la voix de la tourterelle se fait entendre dans nos campagnes. (2:12) 13 Le figuier embaume par ses jeunes pousses, les vignes en fleurs répandent leur parfum : debout, mon amie, ma toute belle et viens-t’en ! » (2:13) 14 Ma colombe, nichée dans les fentes du rocher, cachée dans les pentes abruptes, laisse-moi voir ton visage, entendre ta voix, car ta voix est suave et ton visage gracieux. (2:14) 15 Attrapez-nous des renards, ces petits renards qui dévastent les vignes, alors que ces vignes sont en fleurs. (2:15) 16 Mon bien-aimé est à moi, et moi, je suis à mon bien-aimé, qui conduit son troupeau parmi les roses. (2:16) 17 Avant que fraîchisse le jour, que s’effacent les ombres, rebrousse chemin, et sois pareil, mon bien-aimé, au chevreuil ou au faon des biches sur les montagnes déchiquetées. (2:17) | Cantique 2:1-17 |
| 14 | Traduction par Louis Segond Édition de 1910, libre de droits. | 1 Je suis un narcisse de Saron, un lis des vallées — (2:1) 2 Comme un lis au milieu des épines, telle est mon amie parmi les jeunes filles. — (2:2) 3 Comme un pommier au milieu des arbres de la forêt, tel est mon bien-aimé parmi les jeunes hommes. J’ai désiré m’asseoir à son ombre, et son fruit est doux à mon palais. (2:3) 4 Il m’a fait entrer dans la maison du vin ; et la bannière qu’il déploie sur moi, c’est l’amour. (2:4) 5 Soutenez-moi avec des gâteaux de raisins, fortifiez-moi avec des pommes ; car je suis malade d’amour. (2:5) 6 Que sa main gauche soit sous ma tête, et que sa droite m’embrasse ! — (2:6) 7 Je vous en conjure, filles de Jérusalem, par les gazelles et les biches des champs, ne réveillez pas, ne réveillez pas l’amour, avant qu’elle le veuille. — (2:7) 8 C’est la voix de mon bien-aimé ! Le voici, il vient, sautant sur les montagnes, bondissant sur les collines. (2:8) 9 Mon bien-aimé est semblable à la gazelle ou au faon des biches. Le voici, il est derrière notre mur, il regarde par la fenêtre, il regarde par le treillis. (2:9) 10 Mon bien-aimé parle et me dit : Lève-toi, mon amie, ma belle, et viens ! (2:10) 11 Car voici, l’hiver est passé ; la pluie a cessé, elle s’en est allée. (2:11) 12 Les fleurs paraissent sur la terre, le temps de chanter est arrivé, et la voix de la tourterelle se fait entendre dans nos campagnes. (2:12) 13 Le figuier embaume ses fruits, et les vignes en fleur exhalent leur parfum. Lève-toi, mon amie, ma belle, et viens ! (2:13) 14 Ma colombe, qui te tiens dans les fentes du rocher, qui te caches dans les parois escarpées, fais-moi voir ta figure, fais-moi entendre ta voix ; car ta voix est douce, et ta figure est agréable. (2:14) 15 Prenez-nous les renards, les petits renards qui ravagent les vignes ; car nos vignes sont en fleur. (2:15) 16 Mon bien-aimé est à moi, et je suis à lui ; il fait paître son troupeau parmi les lis. (2:16) 17 Avant que le jour se rafraîchisse, et que les ombres fuient, reviens ! ... sois semblable, mon bien-aimé, à la gazelle ou au faon des biches, sur les montagnes qui nous séparent. (2:17) | Cantique 2:1-17 |
| 15 | Traduction par Augustin Crampon Édition de 1923, libre de droits. | 1 Je suis le narcisse de Saron, le lis des vallées. (2:1) 2 Comme un lis au milieu des épines, telle est mon amie parmi les jeunes filles. (2:2) 3 Comme un pommier au milieu des arbres de la forêt, tel est mon bien-aimé parmi les jeunes hommes. J’ai désiré m’asseoir à son ombre, et son fruit est doux à mon palais. (2:3) 4 Il m’a fait entrer dans son cellier, et la bannière qu’il lève sur moi, c’est l’amour. (2:4) 5 Soutenez-moi avec des gâteaux de raisin, fortifiez-moi avec des pommes, car je suis malade d’amour. (2:5) 6 Que sa main gauche soutienne ma tête, et que sa droite me tienne embrassée. (2:6) 7 Je vous en conjure, filles de Jérusalem, par les gazelles et les biches des champs, n’éveillez pas, ne réveillez pas la bien-aimée, avant qu’elle le veuille. (2:7) 8 La voix de mon bien-aimé ! Voici qu’il vient, bondissant sur les montagnes, sautant sur les collines. (2:8) 9 Mon bien-aimé est semblable à la gazelle, ou au faon des biches. Le voici, il est derrière notre mur, regardant par la fenêtre, épiant par le treillis. (2:9) 10 Mon bien-aimé a pris la parole, il m’a dit : “ Lève-toi, mon amie, ma belle, et viens ! (2:10) 11 Car voici que l’hiver est fini ; la pluie a cessé, elle a disparu. (2:11) 12 Les fleurs ont paru sur la terre, le temps des chants est arrivé ; la voix de la tourterelle s’est fait entendre dans nos campagnes ; (2:12) 13 le figuier pousse ses fruits naissants, la vigne en fleur donne son parfum. Lève-toi, mon amie, ma belle, et viens ! (2:13) 14 Ma colombe, qui te tiens dans la fente du rocher, dans l’abri des parois escarpées. montre-moi ton visage, fais-moi entendre ta voix ; car ta voix est douce, et ton visage charmant. (2:14) 15 Prenez-nous les renards, les petits renards, qui ravagent les vignes, car nos vignes sont en fleur. ˮ (2:15) 16 Mon bien-aimé est à moi, et je suis à lui ; il fait paître son troupeau parmi les lis. (2:16) 17 Avant que vienne la fraîcheur du jour, et que les ombres fuient, reviens !... Sois semblable, mon bien-aimé, à la gazelle ou au faon des biches, sur les montagnes ravinées. (2:17) | Cantique 2:1-17 |
| 16 | La Bible de Jérusalem Édition de 1973 © Copyright.[+] | 1 Je suis le narcisse de Saron, le lis des vallées. - (2:1) 2 Comme le lis entre les chardons, telle ma bien-aimée entre les jeunes femmes. - (2:2) 3 Comme le pommier parmi les arbres d’un verger, ainsi mon bien-aimé parmi les jeunes hommes. A son ombre désirée je me suis assise, et son fruit est doux à mon palais. (2:3) 4 Il m’a menée au cellier, et la bannière qu’il dresse sur moi, c’est l’amour. (2:4) 5 Soutenez-moi avec des gâteaux de raisin, ranimez-moi avec des pommes, car je suis malade d’amour. (2:5) 6 Son bras gauche est sous ma tête et sa droite m’étreint. - (2:6) 7 Je vous en conjure, filles de Jérusalem, par les gazelles, par les biches des champs, n’éveillez pas, ne réveillez pas mon amour, avant l’heure de son bon plaisir. (2:7) 8 J’entends mon bien-aimé. Voici qu’il arrive, sautant sur les montagnes, bondissant sur les collines. (2:8) 9 Mon bien-aimé est semblable à une gazelle, à un jeune faon. Voilà qu’il se tient derrière notre mur. Il guette par la fenêtre, il épie par le treillis. (2:9) 10 Mon bien-aimé élève la voix, il me dit : « Lève-toi, ma bien-aimée, ma belle, viens. (2:10) 11 Car voilà l’hiver passé, c’en est fini des pluies, elles ont disparu. (2:11) 12 Sur notre terre les fleurs se montrent. La saison vient des gais refrains, le roucoulement de la tourterelle se fait entendre sur notre terre. (2:12) 13 Le figuier forme ses premiers fruits et les vignes en fleur exhalent leur parfum. Lève-toi, ma bien-aimée, ma belle, viens ! (2:13) 14 Ma colombe, cachée au creux des rochers, en des retraites escarpées, montre-moi ton visage, fais-moi entendre ta voix ; car ta voix est douce et charmant ton visage. » (2:14) 15 Attrapez-nous les renards, les petits renards ravageurs de vignes, car nos vignes sont en fleur. (2:15) 16 Mon bien-aimé est à moi, et moi à lui. Il paît son troupeau parmi les lis. (2:16) 17 Avant que souffle la brise du jour et que s’enfuient les ombres, reviens ! Sois semblable, mon bien-aimé, à une gazelle, à un jeune faon, sur les montagnes de Bétèr. (2:17) | Cantique 2:1-17 |
| 17 | Nouvelle édition de Genève Édition de 1979 © Copyright.[+] | 1 Je suis un narcisse de Saron, Un lis des vallées. (2:1) 2 Comme un lis au milieu des épines, Telle est mon amie parmi les jeunes filles. (2:2) 3 Comme un pommier au milieu des arbres de la forêt, Tel est mon bien-aimé parmi les jeunes hommes. J’ai désiré m’asseoir à son ombre, Et son fruit est doux à mon palais. (2:3) 4 Il m’a fait entrer dans la maison du vin ; Et la bannière qu’il déploie sur moi, c’est l’amour. (2:4) 5 Soutenez-moi avec des gâteaux de raisins, Fortifiez-moi avec des pommes ; Car je suis malade d’amour. (2:5) 6 Que sa main gauche soit sous ma tête, Et que sa droite m’embrasse ! (2:6) 7 Je vous en conjure, filles de Jérusalem, Par les gazelles et les biches des champs, Ne réveillez pas, ne réveillez pas l’amour, Avant qu’elle le veuille. (2:7) 8 C’est la voix de mon bien-aimé ! Le voici, il vient, Sautant sur les montagnes, Bondissant sur les collines. (2:8) 9 Mon bien-aimé est semblable à la gazelle Ou au faon des biches. Le voici, il est derrière notre mur, Il regarde par la fenêtre, Il regarde par le treillis. (2:9) 10 Mon bien-aimé parle et me dit : Lève-toi, mon amie, ma belle, et viens ! (2:10) 11 Car voici, l’hiver est passé ; La pluie a cessé, elle s’en est allée. (2:11) 12 Les fleurs paraissent sur la terre, Le temps de chanter est arrivé, Et la voix de la tourterelle se fait entendre dans nos campagnes. (2:12) 13 Le figuier forme ses premiers fruits, Et les vignes en fleur exhalent leur parfum. Lève-toi, mon amie, ma belle, et viens ! (2:13) 14 Ma colombe, qui te tiens dans les fentes du rocher, Qui te caches dans les parois escarpées, Fais-moi voir ta figure, Fais-moi entendre ta voix ; Car ta voix est douce, et ta figure est agréable. (2:14) 15 Prenez-nous les renards, Les petits renards qui ravagent les vignes ; Car nos vignes sont en fleur. (2:15) 16 Mon bien-aimé est à moi, et je suis à lui ; Il fait paître son troupeau parmi les lis. (2:16) 17 Avant que le jour se rafraîchisse, Et que les ombres fuient, Reviens ! … sois semblable, mon bien-aimé, A la gazelle ou au faon des biches, Sur les montagnes qui nous séparent. (2:17) | Cantique 2:1-17 |
| 18 | Traduction du monde nouveau par WTBTS Édition de 1995 © Copyright.[+] | 1 “ Je suis un simple safran de la plaine côtière, un lis des basses plaines. ” (2:1) 2 “ Comme un lis parmi les plantes épineuses, telle est ma compagne parmi les filles. ” (2:2) 3 “ Comme un pommier parmi les arbres de la forêt, tel est parmi les fils celui qui m’est cher. J’ai passionnément désiré son ombre, et là je me suis assise, et son fruit a été doux à mon palais. (2:3) 4 Il m’a introduite dans la maison du vin, et sa bannière au-dessus de moi, c’était l’amour. (2:4) 5 Ranimez-moi avec des gâteaux de raisins, soutenez-moi avec des pommes, car je suis malade d’amour. (2:5) 6 Sa main gauche est sous ma tête, et sa droite — elle m’étreint. (2:6) 7 Je vous ai fait jurer, ô filles de Jérusalem, par les gazelles ou par les biches des champs, de ne pas tenter d’éveiller ou de réveiller l’amour [en moi] avant qu’il le désire. (2:7) 8 “ Le bruit de celui qui m’est cher ! Voyez ! Celui-ci vient, grimpant sur les montagnes, sautant sur les collines. (2:8) 9 Celui qui m’est cher ressemble à une gazelle ou au faon des cerfs. Voyez ! Celui-ci se tient derrière notre mur, regardant par les fenêtres, jetant un coup d’œil à travers les treillis. (2:9) 10 Celui qui m’est cher a répondu et m’a dit : ‘ Lève-toi, ma compagne, ma belle, et pars. (2:10) 11 Car voici que la saison des pluies est passée, la pluie torrentielle a cessé, elle s’en est allée. (2:11) 12 Les fleurs sont apparues dans le pays, le temps de la taille de la vigne est arrivé et la voix de la tourterelle s’est fait entendre dans notre pays. (2:12) 13 Quant au figuier, il a mûri ses figues précoces, leur faisant prendre de la couleur ; et les vignes sont en fleur, elles ont donné [leur] senteur. Lève-toi, viens, ô ma compagne, ma belle, et pars. (2:13) 14 Ô ma colombe, dans les antres du rocher, dans le secret du chemin en pente raide, fais-moi voir ta forme, fais-moi entendre ta voix, car ta voix est agréable et ta forme est jolie. ’ ” (2:14) 15 “ Saisissez-nous les renards, les petits renards qui ravagent les vignes, car nos vignes sont en fleur. ” (2:15) 16 “ Celui qui m’est cher est à moi, et je suis à lui. Il mène paître parmi les lis. (2:16) 17 Avant que souffle le jour et que se soient enfuies les ombres, fais demi-tour, ô toi qui m’es cher ! Sois semblable à la gazelle ou au faon des cerfs sur les montagnes de séparation. (2:17) | Cantiques 2:1-17 |
| 19 | Traduction Louis Segond 21 Édition de 2007 © Copyright.[+] | 1 Je suis un narcisse du Saron, un lis des vallées. (2:1) 2 Pareille à un lis au milieu des ronces, telle est mon amie parmi les filles. (2:2) 3 Pareil à un pommier au milieu des arbres de la forêt, tel est mon bien-aimé parmi les jeunes hommes. J’aime m’asseoir à son ombre, et son fruit est doux à mon goût. (2:3) 4 Il m’a fait entrer dans la maison du vin, et l’étendard qu’il déploie au-dessus de moi, c’est l’amour. (2:4) 5 Soutenez-moi avec des gâteaux de raisins, fortifiez-moi avec des pommes, car je suis malade d’amour ! (2:5) 6 Que sa main gauche soutienne ma tête et que de sa main droite il m’enlace ! (2:6) 7 Je vous en supplie, filles de Jérusalem, par les gazelles et les biches des champs, ne réveillez pas, ne réveillez pas l’amour avant qu’elle ne le veuille ! (2:7) 8 C’est la voix de mon bien-aimé ! Le voici qui arrive, sautant sur les montagnes, bondissant sur les collines. (2:8) 9 Mon bien-aimé est pareil à la gazelle ou au jeune cerf. Le voici : il se tient derrière notre mur, observant par la fenêtre, regardant par le treillis. (2:9) 10 Mon bien-aimé parle et me dit : « Lève-toi, mon amie, ma belle, et viens ! (2:10) 11 En effet, l’hiver est passé, la pluie a cessé, elle s’en est allée. (2:11) 12 Les fleurs apparaissent dans le pays, le temps de chanter est arrivé et l’on entend le roucoulement de la tourterelle dans notre pays. (2:12) 13 Le figuier embaume par ses fruits et les vignes en fleur répandent leur parfum. Lève-toi, mon amie, ma belle, et viens ! (2:13) 14 Ma colombe, toi qui te tiens dans les fentes du rocher, qui te caches dans les parois escarpées, fais-moi voir ta figure, fais-moi entendre ta voix, car ta voix est douce et ta figure est charmante ! » (2:14) 15 Attrapez pour nous les renards, les petits renards qui dévastent les vignes, car nos vignes sont en fleur ! (2:15) 16 Mon bien-aimé est à moi, et moi je suis à lui. Il conduit son troupeau parmi les lis. (2:16) 17 Avant que la brise du jour ne souffle et que les ombres ne fuient, tourne-toi ! Montre-toi pareil, mon bien-aimé, à la gazelle ou au jeune cerf, sur les montagnes rocailleuses ! (2:17) | Cantique 2:1-17 |
| 20 | Traduction du monde nouveau par WTBTS Édition de 2018 © Copyright.[+] | 1 « Je ne suis qu’un safran de la plaine côtière, un lis des vallées. » (2:1) 2 « Comme un lis parmi les ronces, telle est ma chérie parmi les jeunes filles. » (2:2) 3 « Comme un pommier parmi les arbres de la forêt, tel est mon bien-aimé parmi les jeunes hommes. Je désire passionnément m’asseoir à son ombre, et son fruit est doux à mon palais. (2:3) 4 Il m’a fait entrer dans la maison des banquets, et son amour était comme une bannière au-dessus de moi. (2:4) 5 Ranimez-moi avec des gâteaux de raisins, ravivez-moi avec des pommes, car je suis malade d’amour. (2:5) 6 Sa main gauche est sous ma tête, et sa main droite m’étreint. (2:6) 7 Je vous fais jurer, ô filles de Jérusalem, par les gazelles et les biches de la campagne : tant que l’amour n’y sera pas décidé, n’essayez pas de l’éveiller ou de le réveiller en moi. (2:7) 8 J’entends la voix de mon bien-aimé ! Regardez ! Le voilà qui arrive, escaladant les montagnes, sautant sur les collines. (2:8) 9 Mon bien-aimé est comme une gazelle, comme un faon. Il est là, debout derrière notre mur, regardant par les fenêtres, jetant un œil à travers les treillis. (2:9) 10 Mon bien-aimé me parle ; il me dit : “Lève-toi, ma chérie, ma belle, et partons ensemble. (2:10) 11 Regarde ! L’hiver est passé. Les pluies ont cessé, elles s’en sont allées. (2:11) 12 Les fleurs sont apparues dans le pays, l’époque de la taille des arbres est arrivée, et l’on entend le chant de la tourterelle dans notre pays. (2:12) 13 Sur le figuier, les figues précoces ont mûri ; les vignes sont en fleur et répandent leur parfum. Lève-toi, ma chérie, et viens ! Partons ensemble, ma belle. (2:13) 14 Ô ma colombe, dans les creux du rocher, dans les cavités de la falaise, je veux te voir et entendre ta voix, car ta voix est agréable et ta silhouette est gracieuse.” » (2:14) 15 « Attrapez les renards pour nous, les petits renards qui ravagent les vignes, car nos vignes sont en fleur. » (2:15) 16 « Mon bien-aimé est à moi, et je suis à lui. Il conduit son troupeau parmi les lis. (2:16) 17 Avant que la brise se lève et que les ombres s’enfuient, dépêche-toi de repartir, ô mon bien-aimé, comme la gazelle ou le faon sur les montagnes qui nous séparent. (2:17) | Cantique 2:1-17 |
| 21 | Traduction française de la Bible King James par N. L. Stratford Édition de 2022 © Copyright.[+] | 1 Je suis la rose de Sharon et le lis des vallées. (2:1) 2 Tel le lis parmi les épines, ainsi est mon amour parmi les filles. (2:2) 3 Tel le pommier, parmi les arbres de la forêt, ainsi est mon bien-aimé parmi les fils : je m’assis sous son ombrage avec grand plaisir, et son fruit était doux à mon goût. (2:3) 4 Il m’a amené dans la maison du banquet, et sa bannière au-dessus de moi, était l’amour. (2:4) 5 Soutenez-moi avec des flacons : réconfortez-moi avec des pommes, car je suis malade d’amour. (2:5) 6 Sa main gauche est sous ma tête, et sa main droite m’embrasse. (2:6) 7 Je vous ordonne, ô filles de Jérusalem, par les daims et par les biches des champs, que vous n’excitiez pas, ni ne réveilliez mon amour, jusqu’à ce qu’il le veuille. (2:7) 8 ¶ La voix de mon bien-aimé ! Voici, il vient, sautant sur les montagnes, et bondissant sur les collines. (2:8) 9 Mon bien-aimé est comme un chevreuil, ou un jeune cerf : voici, il se tient derrière notre mur, il regarde par les fenêtres, se montrant à travers les treillis. (2:9) 10 Mon bien-aimé parla et m’a dit : Lève-toi mon amour, ma belle, et partons. (2:10) 11 Car voici, l’hiver est passé, la pluie a cessé, et s’en est allée : (2:11) 12 Les fleurs paraissent sur la terre, le temps du chant des oiseaux est venu et la voix de la tourterelle est entendue dans notre pays. (2:12) 13 Le figuier a poussé ses figues vertes, et les vignes avec de jeunes grappes exhalent un bon parfum. Lève-toi mon amour ma belle, et partons. (2:13) 14 ¶ ô ma colombe, qui te tiens dans les fentes du roc, dans les lieux secrets des marches, fais-moi voir ton visage, et fais-moi entendre ta voix : car ta voix est douce, et ton visage est avenant. (2:14) 15 Prenez-nous les renards, les petits renards, qui gâtent les vignes, car nos vignes ont de jeunes grappes. (2:15) 16 ¶ Mon bien-aimé est à moi, et je suis à lui : il se nourrit parmi les lis. (2:16) 17 Jusqu’au point du jour et que les ombres fuient, retourne, mon bien-aimé, et sois comme um chevreuil ou un jeune cerf sur les montagnes de Bether. (2:17) | Cantique 2:1-17 |