« Pour que cette moisson puisse être en quelque sorte un parallèle, il faut qu’il s’offre à nouveau, non pas nécessairement en présence visible, car il ne vient pas dans un corps de chair, mais par l’accomplissement des prophéties qui se rapportent au second avènement. Et le fruit recherché, comme lors de la moisson précédente, est la foi en l’accomplissement de ces prophéties. » — Magazine (traduction) : Messager du matin, octobre 1875, page 77 § 2.