Traduction par Louis Claude Fillion, édition de 1889, libre de droits.
n°11 / Troisième livre des Rois 3 :
21Quand je me levai la matin pour allaiter mon fils, je vis qu’il était mort ; et, le considérant avec plus d’attention au grand jour, j’ai reconnu que ce n’était pas le mien, celui que j’avais enfanté.