Jésus-Christ : un contraste saisissant d'amour !

Mise à jour du 14 octobre 2018.
HORMIS l'épisode où il mit avec une grande vigueur hors du temple de Jérusalem, les changeurs et les vendeurs malhonnêtes, Jésus-Christ, qui est décrit dans les Évangiles comme l'image ou la représentation visible de la personnalité du Père, n'usa jamais d'aucune violence physique ou psychologique envers qui que ce soit, bien au contraire ( Matthieu 21:12-14 / Jean 14:8-9 / Ésaïe 53:3-9 ).
Parmi les qualités remarquables dont il est porteur jusqu'à ce jour : l'amour, la joie et l'espérance ( Luc 1:14 / Jean 15:26, 14:20-21 / Matthieu 28:20b ). Cependant et malgré ce privilège inestimable, de nombreux croyants qui se prétendent pourtant de diverses confessions chrétiennes semblent souvent juger leurs semblables, alors que l'amour, l'empathie et le pardon sont la base de tout l'enseignement du Seigneur Jésus-Christ ( Matthieu 5:44, 6:12, 14-15 / Luc 6:37, 15:10 ), etc.

D'autre part, comme une opposition franche à la cruauté décrite dans de nombreux textes bibliques violents, plusieurs récits et versets contenus dans les Évangiles et qui encouragent pourtant l'amour véritable du prochain, l'empathie, la douceur et bien d'autres qualités divines sans égales, font encore aujourd'hui l'objet de controverses et d'oppositions invraisemblables.(+)

Ainsi, aux antipodes de la violence et de la barbarie bibliques, notre Seigneur Jésus-Christ représente manifestement et sans équivoque, un contraste lumineux d'amour, de compassion et de bonté ; c'est ce que confirme aussi ses propos dans l'Évangile selon Matthieu, lorsqu'il dit :

« Allez, et apprenez ce que signifie : Je prends plaisir à la miséricorde, et non aux sacrifices. Car je ne suis pas venu appeler des justes, mais des pécheurs. » — Matthieu 9:13.

Mais alors, pourquoi ces récits

Jésus et la femme adultère : un récit en opposition à la violence et la barbarie

En une certaine époque, alors qu'une femme dans une situation d'adultère était sur le point de se faire lapider par le peuple alors soumis aux lois de Moïse, Jésus prit sa défense ( Jean 8:1-11 ) . Il est évident dans ce récit, que pour Jésus cette loi sur la lapidation était de loin cruelle, dépourvue de bon sens et d'amour ; plus d'une fois, il y échappa de justesse ( Jean 8:59 / Jean 10:31-33 / Jean 10:39 ).
Certains pensent que ce texte serait apocryphe, mais la Bible dit que l'amour ne périt jamais ( Corinthiens I 13:8 ). La foi, l'humilité, la compassion, la bonté, l'empathie, sont autant de qualités divines sans égales qui se dégagent de ce récit, bien plus qu'ordinaire.

En complément, voir le sujet : La datation des Codex et le récit de la femme adultère.

Jésus-Christ : un exemple d'amour, de bonté et de neutralité

Lors de son arrestation, lorsque l'apôtre Pierre voulu le défendre par la violence, Jésus lui dit ceci :

« Alors un de ceux qui étaient avec Jésus, portant la main sur son épée, et la tirant, en frappa un des serviteurs du grand prêtre, et lui coupa une oreille. Mais Jésus lui dit : Remettez votre épée en son lieu : car tous ceux qui prendront l’épée, périront par l’épée. » — Matthieu 26:51-52

De toute évidence, Jésus était quelqu'un de bon, de pacifique et de non violent.

Quel bel exemple à suivre !


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Bien que considéré canonique par la majorité, ce récit (Pericope Adulterae) a traversé bien des situations. Par exemple, dans certains manuscrits, il fut parfois déplacé entre l'évangile de Luc et celui de Jean, dans d'autres, il fut même parfois carrément supprimé (Source : Wikipédia). Il est encore aujourd'hui considéré comme texte apocryphe par la société Watchtower (Étude perspicace - volume 1, édition de 1997, p. 1246, § 5), et également supprimé de la TMN nouvelle édition révisée de 2013 (Jean 8, TMN 2013).

II Samuel 22:3 | Luc 7:47-49



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Le 18 avril 2024, 06:05
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