| 1 | Traduction par David Martin Édition de 1744, libre de droits. | 15 Quand donc le tour d’Esther fille d’Abihaïl, oncle de Mardochée, laquelle [Mardochée] avait prise pour sa fille, fut venu pour entrer chez le Roi ; elle ne demanda rien sinon ce que dirait Hégaï Eunuque du Roi, gardien des femmes ; et Esther gagnait la bonne grâce de tous ceux qui la voyaient. (2:15) | Esther 2:15-15 |
| 2 | Traduction King James revue par B. Blayney Édition de 1769, libre de droits (hors GB). | 15 Now when the turn of Esther, the daughter of Abihail the uncle of Mordecai, who had taken her for his daughter, was come to go in unto the king, she required nothing but what Hegai the king’s chamberlain, the keeper of the women, appointed. And Esther obtained favour in the sight of all them that looked upon her. (2:15) | Esther 2:15-15 |
| 3 | Traduction revue par J. F. Ostervald Édition de 1823, libre de droits. | 15 Quand donc le tour d’Ester, fille d’Abihaïl, oncle de Mardochée, et que Mardochée avait prise pour sa fille, fut venu pour entrer vers le roi, elle ne demanda que ce que Hégaï, eunuque du roi, gardien des femmes, dirait ; et Ester gagnait la bonne grâce de tous ceux qui la voyaient. (2:15) | Ester 2:15-15 |
| 4 | Traduction par H.-A. Perret-Gentil Édition de 1847-1861, libre de droits. | 15 Et lorsque vint le tour d’Esther, fille d’Abihaïl, oncle de Mardochée qui l’avait adoptée pour fille, de venir chez le roi, elle ne demanda rien autre que ce que désigna Hégaï, eunuque du roi, gardien des femmes. Et Esther gagnait les bonnes grâces de tous ceux qui la voyaient. (2:15) | Esther 2:15-15 |
| 5 | Traduction par L. I. Lemaistre de Saci Édition de 1855, libre de droits. | 15 Après donc qu’il se fut passé du temps, le jour vint auquel Esther, fille d’Abihaïl, frère de Mardochée, et que Mardochée avait adoptée pour sa fille, devait être présentée au roi en son rang. Elle ne demanda rien pour se parer ; mais Egée, eunuque, qui avait le soin de ces filles, lui donna pour cela tout ce qu’il voulut. Car elle était parfaitement bien faite, et son incroyable beauté la rendait aimable et agréable à tous ceux qui la voyaient. (2:15) | Esther 2:15-15 |
| 6 | Traduction par Albert Rilliet Édition de 1858, libre de droits. | — Cette traduction ne possède que le Nouveau Testament. | |
| 7 | Traduction dite Bible de Lausanne Édition de 1861-1872, libre de droits. | 15 Et quand arriva le tour d’Esther, fille d’Abikhaïl, oncle de Mardochée qui l’avait prise pour sa fille, d’entrer vers le roi, elle ne demanda rien sinon ce que lui avait dit Hégaï, l’eunuque du roi, gardien des femmes ; et Esther obtenait grâce aux yeux de tous ceux qui la voyaient. (2:15) | Esther 2:15-15 |
| 8 | Traduction selon la Vulgate dite Bible de Gustave Doré Édition de 1866, libre de droits. | 15 Après donc qu’il se fut passé du temps, le jour vint où Esther, fille d’Abihaïl, frère de Mardochée, et fille adoptive de Mardochée, devait être présentée au roi à son rang. Elle ne demanda rien pour se parer ; mais Égée, eunuque, qui avait soin de ces jeunes filles, lui donna pour cela tout ce qu’il voulut. Car elle était très-belle, et son incroyable beauté la rendait gracieuse et agréable à tous les yeux. (2:15) | Esther 2:15-15 |
| 9 | Traduction par L. Segond & H. Oltramare Édition de 1874, libre de droits. | 15 Lorsque son tour d’aller vers le roi fut arrivé, Esther, fille d’Abichaïl, oncle de Mardochée qui l’avait adoptée pour fille, ne demanda que ce qui fut désigné par Hégaï, eunuque du roi et gardien des femmes. Esther trouvait grâce aux yeux de tous ceux qui la voyaient. (2:15) | Ester 2:15-15 |
| 10 | Traduction par J. N. Darby Édition de 1885, libre de droits. | 15 Et quand arriva le tour d’Esther, fille d’Abikhaïl, oncle de Mardochée, qui l’avait prise pour fille, d’entrer auprès du roi, elle ne demanda rien, sauf ce que dit Hégaï, eunuque du roi, gardien des femmes. Et Esther trouvait faveur aux yeux de tous ceux qui la voyaient. (2:15) | Esther 2:15-15 |
| 11 | Traduction par L. Cl. Fillion Édition de 1889, libre de droits. | 15 Après donc qu’il se fut écoulé quelque temps, le jour vint où Esther, fille d’Abihaïl, frère de Mardochée, que celui-ci avait adoptée pour sa fille, devait être à son tour présentée au roi. Elle ne demanda rien pour se parer ; mais l’eunuque Egée, gardien des jeunes filles, lui donna comme parure tout ce qu’il voulut. Car elle était très bien faite, et son incroyable beauté la rendait aimable et agréable aux yeux de tous. (2:15) | Ester 2:15-15 |
| 12 | Traduction par Edmond Stapfer Édition de 1889, libre de droits. | — Cette traduction ne possède que le Nouveau Testament. | |
| 13 | Traduction du rabbinat par Zadoc Kahn Édition de 1899-1906, libre de droits. | 15 Lorsque le tour d’Esther, fille d’Abihaïl, oncle de Mardochée, lequel l’avait adoptée comme sa fille, fut venu de paraître devant le roi, elle ne demanda rien en dehors de ce que proposait Hêgaï, eunuque du roi, gardien des femmes ; et Esther s’attira les sympathies de tous ceux qui la voyaient. (2:15) | Esther 2:15-15 |
| 14 | Traduction par Louis Segond Édition de 1910, libre de droits. | 15 Lorsque son tour d’aller vers le roi fut arrivé, Esther, fille d’Abichaïl, oncle de Mardochée qui l’avait adoptée pour fille, ne demanda que ce qui fut désigné par Hégaï, eunuque du roi et gardien des femmes. Esther trouvait grâce aux yeux de tous ceux qui la voyaient. (2:15) | Esther 2:15-15 |
| 15 | Traduction par Augustin Crampon Édition de 1923, libre de droits. | 15 Lorsque son tour d’aller vers le roi fut arrivé, Esther, fille d’Abihaïl, oncle de Mardochée qui l’avait adoptée pour fille, ne demanda pas autre chose que ce que désigna Egée, eunuque du roi et gardien des femmes ; mais Esther plut aux yeux de tous ceux qui la virent. (2:15) | Esther 2:15-15 |
| 16 | La Bible de Jérusalem Édition de 1973 © Copyright.[+] | 15 Mais Esther, fille d’Abihayil, lui-même oncle de Mardochée qui l’avait adoptée pour fille, son tour venu de se rendre chez le roi, ne demanda rien d’autre que ce qui lui fut indiqué par l’eunuque royal Hégé, commis à la garde des femmes. Et voici qu’Esther trouva grâce devant tous ceux qui la virent. (2:15) | Esther 2:15-15 |
| 17 | Nouvelle édition de Genève Édition de 1979 © Copyright.[+] | 15 Lorsque son tour d’aller vers le roi fut arrivé, Esther, fille d’Abichaïl, oncle de Mardochée qui l’avait adoptée pour fille, ne demanda que ce qui fut désigné par Hégaï, eunuque du roi et gardien des femmes. Esther trouvait grâce aux yeux de tous ceux qui la voyaient. (2:15) | Esther 2:15-15 |
| 18 | Traduction du monde nouveau par WTBTS Édition de 1995 © Copyright.[+] | 15 Et quand arriva le tour d’Esther la fille d’Abihaïl l’oncle de Mordekaï qui l’avait prise pour fille, d’entrer chez le roi, elle ne demanda rien d’autre que ce que mentionna alors Hégaï l’eunuque du roi, le gardien des femmes (pendant tout ce temps Esther obtenait sans cesse faveur aux yeux de tous ceux qui la voyaient ). (2:15) | Esther 2:15-15 |
| 19 | Traduction Louis Segond 21 Édition de 2007 © Copyright.[+] | 15 Lorsque son tour d’aller vers le roi arriva, Esther, fille d’Abichaïl –l’oncle de Mardochée, celui qui l’avait adoptée– ne réclama que ce que lui conseilla Hégaï, l’eunuque du roi responsable des femmes. Elle gagnait les faveurs de tous ceux qui la voyaient. (2:15) | Esther 2:15-15 |
| 20 | Traduction du monde nouveau par WTBTS Édition de 2018 © Copyright.[+] | 15 Un jour, ce fut au tour d’Esther, la fille d’Abihaïl l’oncle de Mardochée, que Mardochée avait adoptée, d’entrer chez le roi. Elle ne demanda rien d’autre que ce que lui avait recommandé Hégaï, l’eunuque du roi et gardien des femmes. (Pendant tout ce temps, Esther avait gagné l’estime de tous ceux qui la voyaient.) (2:15) | Esther 2:15-15 |
| 21 | Traduction française de la Bible King James par N. L. Stratford Édition de 2022 © Copyright.[+] | 15 ¶ Lorsque donc le tour d’Esther, la fille d’Abihail, oncle de Mordecai qui l’avait prise pour sa fille, fut venu, pour entrer vers le roi, elle ne demanda rien, seulement ce qu’avait fixé Hegai, le chambellan du roi, gardien des femmes. Et Esther obtint la faveur de tous ceux qui la voyaient. (2:15) | Esther 2:15-15 |