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1Traduction par David Martin
Édition de 1744, libre de droits.
11 Où il y a beaucoup de bien, là il y a beaucoup de gens qui le mangent ; et quel avantage en revient-il à son maître, sinon qu’il le voit de ses yeux ? (5:11)
12 Le dormir de celui qui laboure est doux, soit qu’il mange peu, ou beaucoup ; mais le rassasiement du riche ne le laisse point dormir. (5:12)
13 Il y a un mal fâcheux que j’ai vu sous le soleil, c’est que des richesses sont conservées à leurs maîtres afin qu’ils en aient du mal. (5:13)
Écclésiaste
5:11-13
2Traduction King James revue par B. Blayney
Édition de 1769, libre de droits (hors GB).
11 When goods increase, they are increased that eat them : and what good is there to the owners thereof, saving the beholding of them with their eyes ? (5:11)
12 The sleep of a labouring man is sweet, whether he eat little or much : but the abundance of the rich will not suffer him to sleep. (5:12)
13 There is a sore evil which I have seen under the sun, namely, riches kept for the owners thereof to their hurt. (5:13)
Ecclesiastes
5:11-13
3Traduction revue par J. F. Ostervald
Édition de 1823, libre de droits.
11 Où il y a beaucoup de bien, il y a beaucoup de gens qui le mangent ; et quel profit en a celui qui le possède, sinon qu’il le voit de ses yeux ? (5:11)
12 Le sommeil de celui qui laboure est doux, soit qu’il mange peu ou beaucoup ; mais le rassasiement du riche ne le laisse pas dormir. (5:12)
13 Il y a un mal fâcheux que j’ai vu sous le soleil, c’est que des richesses sont conservées pour le malheur de celui qui les possède. (5:13)
Ecclésiaste
5:11-13
4Traduction par H.-A. Perret-Gentil
Édition de 1847-1861, libre de droits.
11 Quand le bien devient plus grand, ceux qui le consomment, deviennent aussi plus nombreux. Et qu’y gagne son possesseur, qu’un spectacle pour ses yeux ? (5:10)
12 Le sommeil du travailleur est doux, qu’il mange peu ou beaucoup ; mais le rassasiement du riche ne le laisse pas dormir. (5:11)
13 Il est un mal douloureux que j’ai vu sous le soleil : des richesses gardées par leur maître pour son propre malheur. (5:12)
Ecclésiaste
5:10-12
5Traduction par L. I. Lemaistre de Saci
Édition de 1855, libre de droits.
11 Où il y a beaucoup de bien, il y a aussi beaucoup de personnes pour le manger. De quoi donc sert-il à celui qui le possède, sinon qu’il voit de ses yeux beaucoup de richesses ? (5:10)
12 Le sommeil est doux à l’ouvrier qui travaille, soit qu’il ait peu ou beaucoup mangé ; mais le riche est si rempli de viandes, qu’il ne peut dormir. (5:11)
13 Il y a encore une autre maladie bien fâcheuse que j’ai vue sous le soleil : des richesses conservées avec soin pour le tourment de celui qui les possède. (5:12)
Ecclésiaste
5:10-12
6Traduction par Albert Rilliet
Édition de 1858, libre de droits.
— Cette traduction ne possède que le Nouveau Testament.
7Traduction dite Bible de Lausanne
Édition de 1861-1872, libre de droits.
11 Quand abonde le bien, ceux qui le mangent abondent ; et quel profit en a celui qui le possède, sinon que ses yeux le voient ? (5:10)
12 Doux est le sommeil du travailleur, soit qu’il mange peu ou beaucoup ; mais la satiété du riche ne lui permet pas de dormir. (5:11)
13 Il est un mal cruel que j’ai vu sous le soleil : la richesse conservée, pour son malheur, à celui qui la possède ; (5:12)
Ecclésiaste
5:10-12
8Traduction selon la Vulgate dite Bible de Gustave Doré
Édition de 1866, libre de droits.
11 Le sommeil est doux à celui qui travaille, qu’il ait peu ou beaucoup mangé ; mais la satiété ne permet pas au riche de dormir. (5:11)
12 Il y a encore une autre infirmité déplorable que j’ai vue sous le soleil : des richesses conservées pour le tourment de celui qui les possède. (5:12)
13 Car elles périssent au milieu d’une grande calamité, et il a engendré un fils qui sera réduit à une extrême pauvreté. (5:13)
Ecclésiaste
5:11-13
9Traduction par L. Segond & H. Oltramare
Édition de 1874, libre de droits.
11 Quand le bien abonde, ceux qui le mangent abondent ; et quel avantage en revient-il à son possesseur, sinon qu’il le voit de ses yeux ? (5:10)
12 Le sommeil du travailleur est doux, qu’il ait peu ou beaucoup à manger ; mais le rassasiement du riche ne le laisse pas dormir. (5:11)
13 Il est un mal grave que j’ai vu sous le soleil : des richesses conservées, pour son malheur, par celui qui les possède. (5:12)
Ecclésiaste
5:10-12
10Traduction par J. N. Darby
Édition de 1885, libre de droits.
11 Avec l’augmentation des biens, ceux qui les mangent augmentent aussi ; et quel profit en a le maître, sauf qu’il les voit de ses yeux ? (5:11)
12 Le sommeil est doux pour celui qui travaille, qu’il mange peu ou beaucoup ; mais le rassasiement du riche ne le laisse pas dormir. (5:12)
13 Il y a un mal douloureux que j’ai vu sous le soleil : les richesses sont conservées à leurs maîtres pour leur détriment, (5:13)
Prédicateur
5:11-13
11Traduction par L. Cl. Fillion
Édition de 1889, libre de droits.
11 Quand le bien abonde, il y a aussi beaucoup de gens pour le manger. De quoi donc sert-il à celui qui le possède, sinon qu’il voit de ses yeux ses richesses ? (5:10)
12 Le sommeil est doux au travailleur, soit qu’il ait peu ou beaucoup mangé ; mais le rassasiement du riche ne le laisse pas dormir. (5:11)
13 Il est encore un autre mal très fâcheux que j’ai vu sous le soleil : des richesses conservées pour le malheur de celui qui les possède. (5:12)
Ecclésiaste
5:10-12
12Traduction par Edmond Stapfer
Édition de 1889, libre de droits.
— Cette traduction ne possède que le Nouveau Testament.
13Traduction du rabbinat par Zadoc Kahn
Édition de 1899-1906, libre de droits.
11 La fortune augmente-t-elle, ceux qui la dévorent augmentent du même coup. Quel autre avantage y a-t-il pour son possesseur que d’en repaître sa vue ? (5:10)
12 Doux est le sommeil du laboureur, qu’il mange peu ou prou tandis que la satiété ne laisse pas dormir le riche. (5:11)
13 Il est un mal cuisant que j’ai constaté sous le soleil c’est la richesse amassée pour le malheur de celui qui la possède. (5:12)
Ecclésiaste
5:10-12
14Traduction par Louis Segond
Édition de 1910, libre de droits.
11 Quand le bien abonde, ceux qui le mangent abondent ; et quel avantage en revient-il à son possesseur, sinon qu’il le voit de ses yeux ? (5:10)
12 Le sommeil du travailleur est doux, qu’il ait peu ou beaucoup à manger ; mais le rassasiement du riche ne le laisse pas dormir. (5:11)
13 Il est un mal grave que j’ai vu sous le soleil : des richesses conservées, pour son malheur, par celui qui les possède. (5:12)
Ecclésiaste
5:10-12
15Traduction par Augustin Crampon
Édition de 1923, libre de droits.
11 Quand les biens se multiplient, ceux qui les mangent se multiplient aussi ; et quel avantage en revient-il à leurs possesseurs, sinon qu’ils les voient de leurs yeux ? (5:10)
12 Le sommeil du travailleur est doux, qu’il ait peu ou beaucoup à manger ; mais la satiété du riche ne le laisse pas dormir. (5:11)
13 Il est un mal grave que j’ai vu sous le soleil : des richesses conservées pour son malheur par celui qui les possède : (5:12)
Ecclésiaste
5:10-12
16La Bible de Jérusalem
Édition de 1973 © Copyright.[+]
11 Où abonde le bien, abondent ceux qui le mangent, quel avantage pour le propriétaire, sinon un spectacle pour les yeux ? (5:10)
12 Le sommeil du travailleur est doux, qu’il ait mangé peu ou beaucoup ; mais la satiété du riche ne le laisse pas dormir. (5:11)
13 Il est un tort criant que je vois sous le soleil : la richesse gardée par son possesseur à son propre détriment. (5:12)
Ecclésiaste
5:10-12
17Nouvelle édition de Genève
Édition de 1979 © Copyright.[+]
11 Quand le bien abonde, ceux qui le mangent abondent ; et quel avantage en revient-il à son possesseur, sinon qu’il le voit de ses yeux ? (5:10)
12 Le sommeil du travailleur est doux, qu’il ait peu ou beaucoup à manger ; mais le rassasiement du riche ne le laisse pas dormir. (5:11)
13 Il est un mal grave que j’ai vu sous le soleil : des richesses conservées, pour son malheur, par celui qui les possède. (5:12)
Ecclésiaste
5:10-12
18Traduction du monde nouveau par WTBTS
Édition de 1995 © Copyright.[+]
11 Quand les bonnes choses se multiplient, ceux qui les mangent se multiplient bel et bien. Et quel avantage y a-​t-​il pour leur grand propriétaire, sinon qu’il [les] regarde de ses yeux ? (5:11)
12 Doux est le sommeil de celui qui sert, qu’il mange peu ou beaucoup ; mais l’abondance du riche ne le laisse pas dormir. (5:12)
13 Il existe un malheur grave que j’ai vu sous le soleil : des richesses qu’on garde pour leur grand propriétaire, pour son malheur. (5:13)
Ecclésiaste
5:11-13
19Traduction Louis Segond 21
Édition de 2007 © Copyright.[+]
11 Quand les biens sont nombreux, ceux qui les mangent le sont aussi, et quel avantage en tire leur possesseur ? Il ne peut que les voir de ses propres yeux ! (5:10)
12 Le sommeil du travailleur est doux, qu’il ait peu ou beaucoup à manger, tandis que la satiété dont jouit le riche ne le laisse pas dormir. (5:11)
13 Il y a un mal douloureux que j’ai vu sous le soleil : des richesses conservées, pour son malheur, par celui qui les possède. (5:12)
Ecclésiaste
5:10-12
20Traduction du monde nouveau par WTBTS
Édition de 2018 © Copyright.[+]
11 Quand les bonnes choses se multiplient, ceux qui les consomment se multiplient. Et quel avantage le propriétaire en retire-​t-​il, si ce n’est de les regarder de ses yeux ? (5:11)
12 Le sommeil de celui qui sert est doux, qu’il mange peu ou beaucoup, mais l’abondance du riche ne le laisse pas dormir. (5:12)
13 J’ai vu sous le soleil quelque chose de vraiment tragique : Des richesses qui ont été amassées par un propriétaire pour son propre malheur. (5:13)
Ecclésiaste
5:11-13
21Traduction française de la Bible King James par N. L. Stratford
Édition de 2022 © Copyright.[+]
11 Quand les biens augmentent, il y a un nombre accru de gens qui les mangent : et quelle utilité en revient-il à son propriétaire, sinon qu’il les contemple de ses yeux ? (5:11)
12 Le sommeil du travailleur est doux, soit qu’il mange peu ou beaucoup : mais l’abondance du riche ne le laisse pas dormir. (5:12)
13 Il y a un mal douloureux que j’ai vu sous le soleil c’est que des richesses conservées à leurs propriétaires pour leur faire mal. (5:13)
Ecclésiaste
5:11-13