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1Traduction par David Martin
Édition de 1744, libre de droits.
1 Or donc [mes] bien-aimés, puisque nous avons de telles promesses, nettoyons-nous de toute souillure de la chair et de l’esprit perfectionnant la sanctification en la crainte de Dieu. (7:1)
2 Recevez-nous, nous n’avons fait tort à personne, nous n’avons corrompu personne, nous n’avons pillé personne. (7:2)
3 Je ne dis point ceci pour vous condamner : car je vous ai déjà dit que vous êtes dans nos cœurs à mourir et à vivre ensemble. (7:3)
4 J’ai une grande liberté envers vous, j’ai grand sujet de me glorifier de vous ; je suis rempli de consolation, je suis plein de joie dans toute notre affliction. (7:4)
5 Car après être venus en Macédoine, notre chair n’a eu aucun relâche, mais nous avons été affligés en toutes manières ; [ayant eu] des combats au dehors, et des craintes au dedans. (7:5)
6 Mais Dieu qui console les abattus, nous a consolés par la venue de Tite. (7:6)
7 Et non seulement par sa venue, mais aussi par la consolation qu’il a reçue de vous ; car il nous a raconté votre grand désir, vos larmes, votre affection ardente envers moi ; de sorte que je m’en suis extrêmement réjoui. (7:7)
8 Car bien que je vous aie attristés par mon Epître, je ne m’en repens point, quoique je m’en fusse [déjà] repenti, parce que je vois que si cette Epître vous a affligés, ce n’a été que pour peu de temps. (7:8)
9 Je me réjouis [donc] maintenant, non de ce que vous avez été affligés, mais de ce que vous avez été attristés à repentance ; car vous avez été attristés selon Dieu, de sorte que vous n’avez reçu aucun dommage de notre part. (7:9)
10 Puisque la tristesse qui est selon Dieu, produit une repentance à salut, dont on ne se repent jamais ; mais la tristesse de ce monde produit la mort. (7:10)
11 Car voici, cela même que vous avez été attristés selon Dieu, quel soin n’a-t-il pas produit en vous ? Quelle satisfaction ? Quelle indignation ? Quelle crainte ? Quel grand désir ? Quel zèle ? Quelle vengeance ? Vous vous êtes montrés de toutes manières purs dans cette affaire. (7:11)
12 Quoi que je vous aie donc écrit, ce n’a point été à cause de celui qui a commis la faute, ni à cause de celui envers qui elle a été commise, mais pour faire voir parmi vous le soin que j’ai de vous devant Dieu. (7:12)
13 C’est pourquoi nous avons été consolés de ce que vous avez fait pour notre consolation ; mais nous nous sommes encore plus réjouis de la joie qu’a eu Tite, en ce que son esprit a été recréé par vous tous. (7:13)
14 Parce que si en quelque chose je me suis glorifié de vous dans ce que je lui en [ai dit], je n’en ai point eu de confusion ; mais comme nous vous avons dit toutes choses selon la vérité, ainsi ce dont je m’étais glorifié [de vous dans ce que j’en ai dit] à Tite, s’est trouvé être la vérité même. (7:14)
15 C’est pourquoi quand il se souvient de l’obéissance de vous tous, et comment vous l’avez reçu avec crainte et tremblement ; son affection pour vous en est beaucoup plus grande. (7:15)
16 Je me réjouis donc de ce qu’en toutes choses je me puis assurer de vous. (7:16)
II. Corinthiens
7:1-16
2Traduction King James revue par B. Blayney
Édition de 1769, libre de droits (hors GB).
1 Having therefore these promises, dearly beloved, let us cleanse ourselves from all filthiness of the flesh and spirit, perfecting holiness in the fear of God. (7:1)
2 Receive us ; we have wronged no man, we have corrupted no man, we have defrauded no man. (7:2)
3 I speak not this to condemn you : for I have said before, that ye are in our hearts to die and live with you. (7:3)
4 Great is my boldness of speech toward you, great is my glorying of you : I am filled with comfort, I am exceeding joyful in all our tribulation. (7:4)
5 For, when we were come into Macedonia, our flesh had no rest, but we were troubled on every side ; without were fightings, within were fears. (7:5)
6 Nevertheless God, that comforteth those that are cast down, comforted us by the coming of Titus ; (7:6)
7 And not by his coming only, but by the consolation wherewith he was comforted in you, when he told us your earnest desire, your mourning, your fervent mind toward me ; so that I rejoiced the more. (7:7)
8 For though I made you sorry with a letter, I do not repent, though I did repent : for I perceive that the same epistle hath made you sorry, though it were but for a season. (7:8)
9 Now I rejoice, not that ye were made sorry, but that ye sorrowed to repentance : for ye were made sorry after a godly manner, that ye might receive damage by us in nothing. (7:9)
10 For godly sorrow worketh repentance to salvation not to be repented of : but the sorrow of the world worketh death. (7:10)
11 For behold this selfsame thing, that ye sorrowed after a godly sort, what carefulness it wrought in you, yea, what clearing of yourselves, yea, what indignation, yea, what fear, yea, what vehement desire, yea, what zeal, yea, what revenge ! In all things ye have approved yourselves to be clear in this matter. (7:11)
12 Wherefore, though I wrote unto you, I did it not for his cause that had done the wrong, nor for his cause that suffered wrong, but that our care for you in the sight of God might appear unto you. (7:12)
13 Therefore we were comforted in your comfort : yea, and exceedingly the more joyed we for the joy of Titus, because his spirit was refreshed by you all. (7:13)
14 For if I have boasted any thing to him of you, I am not ashamed ; but as we spake all things to you in truth, even so our boasting, which I made before Titus, is found a truth. (7:14)
15 And his inward affection is more abundant toward you, whilst he remembereth the obedience of you all, how with fear and trembling ye received him. (7:15)
16 I rejoice therefore that I have confidence in you in all things. (7:16)
II. Corinthians
7:1-16
3Traduction revue par J. F. Ostervald
Édition de 1823, libre de droits.
1 Ayant donc, mes bien-aimés, de telles promesses, nettoyons-nous de toute souillure de la chair et de l’esprit, achevant notre sanctification dans la crainte de Dieu. (7:1)
2 Recevez-nous, nous n’avons fait tort à personne ; nous n’avons corrompu personne ; nous n’avons trompé personne. (7:2)
3 Je ne dis pas ceci pour vous condamner ; car j’ai dit ci-devant que vous êtes dans nos cœurs, pour mourir et pour vivre ensemble. (7:3)
4 Je vous parle avec beaucoup de confiance ; j’ai tout sujet de me glorifier de vous ; je suis rempli de consolation ; je suis comblé de joie dans toutes nos afflictions. (7:4)
5 Car, depuis que nous sommes arrivés en Macédoine, nous n’avons eu aucun repos, mais nous avons été affligés en toutes manières, ayant eu des combats au dehors, et des craintes au dedans. (7:5)
6 Mais Dieu, qui console ceux qui sont abattus, nous a consolés par l’arrivée de Tite ; (7:6)
7 Et non-seulement par son arrivée, mais aussi par la consolation qu’il a reçue de vous, nous ayant raconté votre grand désir, vos larmes, votre zèle pour moi ; en sorte que ma joie en a été augmentée. (7:7)
8 Car quoique je vous aie contristés par ma lettre, je ne m’en repens plus, bien que je m’en fusse d’abord repenti, parce que je vois que cette lettre ne vous a donné de la tristesse que pour un peu de temps. (7:8)
9 Présentement je me réjouis, non de ce que vous avez été contestés, mais de ce que votre tristesse, vous a portés à la repentance ; car vous avez été contristés selon Dieu, en sorte que vous n’avez reçu de notre part aucun préjudice. (7:9)
10 Car la tristesse qui est selon Dieu produit une repentance qui conduit au salut, et dont on ne se repent jamais ; au lieu que la tristesse du monde produit la mort. (7:10)
11 En effet, cette tristesse que vous avez eue selon Dieu, quel empressement n’a-t-elle pas produit en vous ? Quelles excuses, quelle indignation, quelle crainte, quel désir, quel zèle, quelle punition ? Vous avez montré à tous égards que vous étiez purs dans cette affaire. (7:11)
12 Ainsi, quand je vous ai écrit, ce n’a pas été seulement à cause de celui qui a fait l’injure, ni à cause de celui à qui elle a été faite, mais pour vous faire connaître à tous le soin que nous prenons de vous devant Dieu. (7:12)
13 C’est pourquoi votre consolation nous a consolés ; mais nous avons eu encore plus de joie de celle que vous avez donnée à Tite, en réjouissant son esprit ; (7:13)
14 Et si je me suis glorifié de vous devant lui en quelque chose, je n’en ai point eu de confusion ; mais comme nous avons toujours parlé selon la vérité, aussi ce que nous avons dit à Tite, en nous glorifiant de vous, s’est trouvé véritable. (7:14)
15 Aussi quand il se souvient de l’obéissance que vous lui avez tous rendue, et comment vous l’avez reçu avec crainte et respect, son affection pour vous en devient plus grande. (7:15)
16 Je me réjouis donc de ce qu’en toutes choses je puis me confier en vous. (7:16)
II. Corinthiens
7:1-16
4Traduction par H.-A. Perret-Gentil
Édition de 1847-1861, libre de droits.
— Cette traduction ne possède que l'Ancien Testament.
5Traduction par L. I. Lemaistre de Saci
Édition de 1855, libre de droits.
1 AYANT donc reçu de Dieu de telles promesses, mes chers frères, purifions-nous de tout ce qui souille le corps ou l’esprit, achevant l’oeuvre de notre sanctification dans la crainte de Dieu. (7:1)
2 Donnez-nous place dans votre coeur. Nous n’avons fait tort à personne ; nous n’avons corrompu l’esprit de personne ; nous n’avons pris le bien de personne. (7:2)
3 Je ne vous dis pas ceci pour vous condamner ; puisque je vous ai déjà dit que vous êtes dans mon coeur à la mort et à la vie. (7:3)
4 Je vous parle avec grande liberté ; j’ai grand sujet de me glorifier de vous ; je suis rempli de consolation, je suis comblé de joie parmi toutes mes souffrances. (7:4)
5 Car étant venus en Macédoine, nous n’avons eu aucun relâche selon la chair ; mais nous avons toujours eu à souffrir. Ce n’a été que combats au dehors, et que frayeurs au dedans. (7:5)
6 Mais Dieu, qui console les humbles et les affligés, noua a consolés par l’arrivée de Tite ; (7:6)
7 et non-seulement par son arrivée, mais encore par la consolation qu’il a lui-même reçue de vous ; m’ayant rapporté l’extrême désir que vous avez de me revoir, la douleur que vous avez ressentie, et l’ardente affection que vous me portez : ce qui m’a été un plus grand sujet de joie. (7:7)
8 Car encore que je vous aie attristés par ma lettre, je n’en suis plus fâché néanmoins, quoique je l’aie été auparavant, en voyant qu’elle vous avait attristés pour un peu de temps. (7:8)
9 Mais maintenant j’ai de la joie, non de ce que vous avez eu de la tristesse, mais de ce que votre tristesse vous a portés à la pénitence. La tristesse que vous avez eue a été selon Dieu ; et ainsi la peine que nous vous avons causée, ne vous a été nullement désavantageuse. (7:9)
10 Car la tristesse qui est selon Dieu, produit pour le salut une pénitence stable ; mais la tristesse de ce monde produit la mort. (7:10)
11 Considérez combien cette tristesse selon Dieu, que vous avez ressentie, a produit en vous non-seulement de soin et de vigilance, mais de satisfaction envers nous, d’indignation contre cet incestueux, de crainte de la colère de Dieu, de désir de nous revoir, de zèle pour nous défendre, d’ardeur à venger ce crime. Vous avez fait voir par toute votre conduite, que vous étiez purs et irréprochables dans cette affaire. (7:11)
12 Aussi lorsque nous vous avons écrit, ce n’a été ni à cause de celui qui avait fait l’injure, ni à cause de celui qui l’avait soufferte, mais pour vous faire connaître le soin que nous avons de vous devant Dieu. (7:12)
13 C’est pourquoi ce que vous avez fait pour nous consoler, nous a en effet consolés ; et notre joie s’est encore beaucoup augmentée par celle de Tite, voyant que vous avez tous contribué au repos de son esprit ; (7:13)
14 et que si je me suis loué de vous en lui parlant, je n’ai point eu sujet d’en rougir ; mais qu’ainsi que nous ne vous avions rien dit que dans la vérité, aussi le témoignage avantageux que nous avions rendu de vous à Tite, s’est trouvé conforme à la vérité. (7:14)
15 C’est pourquoi il ressent dans ses entrailles un redoublement d’affection envers vous, lorsqu’il se souvient de l’obéissance que vous lui avez tous rendue, et comment vous l’avez reçu avec crainte et tremblement. (7:15)
16 Je me réjouis donc de ce que je puis me promettre tout de vous. (7:16)
II. Corinthiens
7:1-16
6Traduction par Albert Rilliet
Édition de 1858, libre de droits.
1 Ayant donc de telles promesses, bien-aimés, purifions-nous nous-mêmes de toute souillure de la chair et de l’esprit, en achevant notre sanctification dans la crainte de Dieu. (7:1)
2 Faites-nous une place : nous n’avons fait tort à personne, nous n’avons ruiné personne, nous n’avons dupé personne ; (7:2)
3 je ne parle pas dans un esprit de reproche, car je vous ai déjà dit que vous êtes dans nos cœurs pour mourir ou pour vivre avec nous ; (7:3)
4 j’ai une grande confiance en vous, j’ai grand sujet de m’enorgueillir de vous ; je suis rempli de consolation, je suis plus que comblé de joie au milieu de toute notre tribulation. (7:4)
5 En effet, lorsque nous fûmes arrivés en Macédoine, notre chair n’eut aucun repos, mais nous étions pressés de toutes parts : au dehors des combats, au dedans des terreurs ; (7:5)
6 mais Celui qui console les humbles, Dieu nous a consolés par l’arrivée de Tite, (7:6)
7 et non seulement par son arrivée, mais encore par la consolation qu’il ressentait lui-même à votre sujet, en nous racontant votre vive impatience, votre chagrin, votre zèle pour moi, en sorte que j’en ai éprouvé encore plus de joie. (7:7)
8 Car, lors même que je vous ai attristés par ma lettre, je ne le regrette point ; mais quoique j’aie eu du regret, (je vois que cette lettre vous a attristés, bien que ce ne fût qu’un instant), (7:8)
9 maintenant je me réjouis, non de ce que vous avez été attristés, mais de ce que vous avez été attristés de manière à vous repentir ; en effet vous avez été attristés selon Dieu, afin que sur aucun point vous n’éprouviez quelque dommage de notre part ; (7:9)
10 car la tristesse selon Dieu produit une repentance qui conduit à un salut qu’on ne regrette pas, tandis que la tristesse du monde produit la mort. (7:10)
11 Car, voici, le fait même d’avoir été attristés selon Dieu vous a inspiré, non seulement de l’empressement, mais une justification, mais de l’indignation, mais de la crainte, mais une vive impatience, mais du zèle, mais une vengeance ; à tous égards vous avez montré que vous étiez vous-mêmes innocents dans l’affaire. (7:11)
12 Aussi, quoique je vous aie écrit, ce n’était pas à cause de l’offenseur, et pas davantage à cause de l’offensé, mais c’était pour que votre empressement pour nous fût manifesté parmi vous devant Dieu. (7:12)
13 C’est pourquoi nous avons été consolés. Mais, outre notre consolation, nous avons été encore beaucoup plus réjouis par la joie de Tite, dont l’esprit a été tranquillisé par vous tous, (7:13)
14 car, si je me suis un peu enorgueilli devant lui à propos de vous, je n’ai pas eu à en rougir ; mais, de même que nous vous avons parlé de tout avec vérité, de même aussi l’orgueil que nous avons témoigné à votre sujet devant Tite est devenu une vérité, (7:14)
15 et son cœur redouble d’affection pour vous, quand il se rappelle votre universelle obéissance, car c’est avec crainte et tremblement que vous l’avez reçu. (7:15)
16 Je me réjouis d’être à tous égards rassuré sur vous. (7:16)
II Corinthiens
7:1-16
7Traduction dite Bible de Lausanne
Édition de 1861-1872, libre de droits.
1 Ayant donc ces promesses, bien-aimés, purifions-nous de toute souillure de la chair et de l’esprit, achevant [notre] sainteté dans la crainte de Dieu. (7:1)
2 Comprenez-nous : nous n’avons fait tort à personne, nous n’avons corrompu personne, nous n’avons fait notre profit de personne. (7:2)
3 Je ne parle pas pour [vous] condamner, car j’ai déjà dit que vous êtes dans nos cœurs à mourir ensemble et à vivre ensemble. (7:3)
4 J’ai une grande assurance dans mes rapports avec vous ; j’ai grand sujet de me glorifier de vous ; je suis rempli de consolation ; j’ai surabondance de joie dans toute notre tribulation. (7:4)
5 Car, après que nous sommes arrivés en Macédoine, notre chair n’a eu aucun soulagement, mais nous avons été de toute manière pressés par la tribulation : au-dehors, des combats ; au-dedans, des craintes. (7:5)
6 Mais celui qui console les humbles, Dieu, nous a consolés par l’arrivée de Tite ; (7:6)
7 et non seulement par son arrivée, mais aussi par la consolation dont il a été consolé à votre sujet, nous apprenant votre ardent désir, vos larmes, votre zèle pour moi, en sorte que j’ai eu plus de joie ; (7:7)
8 parce que si je vous ai attristés par ma lettre ; je ne m’en repens pas. Si même je m’en suis repenti (car je vois que cette lettre vous a attristés, bien que pour peu de temps) ; (7:8)
9 maintenant je me réjouis, non de ce que vous avez été attristés, mais de ce que vous avez été attristés à conversion ; car vous avez été attristés selon Dieu, afin que vous ne reçussiez en rien du dommage de notre part. (7:9)
10 Car la tristesse selon Dieu produit une conversion à salut dont on ne se repent point ; mais la tristesse du monde produit la mort. (7:10)
11 Voyez en effet cette tristesse même selon Dieu que vous avez éprouvée, quel empressement elle a produit en vous ! et même quelle apologie, et même quelle indignation, et même quelle crainte, et même quel ardent désir, et même quel zèle, et même quel châtiment ! En tout, vous avez montré que vous êtes purs dans cette affaire. (7:11)
12 Si donc je vous ai écrit, ce n’a été ni à cause de celui qui a fait tort, ni à cause de celui à qui le tort a été fait ; mais afin que notre empressement pour vous, vous fût manifesté devant Dieu. (7:12)
13 C’est pourquoi, nous avons été consolés par votre consolation ; mais nous avons été réjouis plus abondamment par la joie de Tite, dont l’esprit a été mis en repos par vous tous. (7:13)
14 Parce que, si je me suis quelque peu glorifié devant lui à votre sujet, je n’ai pas été confus ; mais comme c’est avec vérité que nous vous avons dit toutes choses, de même aussi ce dont nous nous sommes glorifiés auprès de Tite s’est trouvé la vérité. (7:14)
15 Et ses entrailles sont encore plus [émues] envers vous, quand il se souvient de votre obéissance à tous, et avec quelle crainte et quel tremblement vous l’avez reçu. (7:15)
16 Je me réjouis donc, parce qu’en toute chose j’ai confiance en vous. (7:16)
2 Corinthiens
7:1-16
8Traduction selon la Vulgate dite Bible de Gustave Doré
Édition de 1866, libre de droits.
1 Ayant de telles promesses, purifions-nous, mes bien-aimés, de tout ce qui souille le corps et l’esprit, achevant notre sanctification dans la crainte de Dieu. (7:1)
2 Donnez-nous place dans votre cœur. Nous n’avons offensé personne, nous n’avons corrompu l’esprit de personne, nous n’avons circonvenu personne. (7:2)
3 Ce n’est pas pour vous condamner que je parle ainsi, puisque je vous ai déjà dit que vous êtes dans nos cœurs à la mort et à la vie. (7:3)
4 J’en use à votre égard avec beaucoup de confiance ; j’ai grand sujet de me glorifier de vous ; je suis rempli de consolation ; je surabonde de joie dans toutes nos tribulations. (7:4)
5 Car depuis notre arrivée en Macédoine, nous n’avons eu aucun repos selon la chair, mais nous avons souffert toute sorte d’afflictions. Combats au dehors, frayeurs au dedans. (7:5)
6 Mais Dieu, qui console les humbles, nous a consolés par l’arrivée de Tite. (7:6)
7 Et non-seulement par son arrivée, mais encore par la consolation qu’il a reçue de vous, nous ayant rapporté votre désir, vos larmes, votre zèle pour moi, de sorte que ma joie en a été plus grande. (7:7)
8 Car, quoique je vous aie attristés par ma lettre, je ne m’en repens pas ; et si j’en ai eu de la peine, voyant que cette lettre vous avait, bien que pour un peu de temps, causé de la tristesse, (7:8)
9 Maintenant je me réjouis, non de ce que vous avez eu de la tristesse, mais de ce que votre tristesse vous a portés à la pénitence. Votre tristesse a été selon Dieu ; de sorte que vous n’avez éprouvé aucun dommage de notre part. (7:9)
10 Car la tristesse qui est selon Dieu produit pour le salut une pénitence stable, au lieu que la tristesse de ce monde produit la mort. (7:10)
11 Voyez, en effet, combien cette tristesse selon Dieu, que vous avez ressentie, a produit en vous non-seulement de soin et de vigilance, mais de satisfaction, d’indignation, de crainte, de désir, de zèle, d’ardeur à venger le crime. De toute manière vous avez montré dans cette affaire que vous étiez purs. (7:11)
12 Aussi, lorsque nous vous avons écrit, ce n’a été ni à cause de celui qui avait fait l’injure, ni à cause de celui qui l’avait soufferte, mais pour vous faire connaître la sollicitude que nous avons pour vous (7:12)
13 Devant Dieu : c’est ce qui nous a consolés. Or, dans la consolation que nous avons reçue, notre joie a été encore redoublée par celle de Tite, parce que vous avez tous contribué au repos de son esprit ; (7:13)
14 Et que si je me suis glorifié de vous auprès de lui, je n’ai point eu à en rougir ; mais comme nous ne vous avions rien dit que dans la vérité, aussi le témoignage que nous avions rendu de vous à Tite a été trouvé véritable. (7:14)
15 C’est pourquoi il ressent dans son cœur un redoublement d’affection pour vous, lorsqu’il se souvient de l’obéissance que vous lui avez tous rendue, et avec quelle crainte et quel tremblement vous l’avez reçu. (7:15)
16 Je me réjouis donc de ce qu’en toutes choses je puis me fier à vous. (7:16)
II Corinthiens
7:1-16
9Traduction par L. Segond & H. Oltramare
Édition de 1874, libre de droits.
1 Puis donc que nous avons de telles promesses, purifions-nous, mes bien-aimés, de toute souillure de la chair et de l’esprit, en achevant l’œuvre de notre sanctification dans la crainte de Dieu. (7:1)
2 Donnez-nous une place dans vos cœurs. Nous n’avons fait tort à personne, nous n’avons ruiné personne, nous n’avons dupé personne. (7:2)
3 Je ne dis pas cela pour vous condamner, puisque je viens de vous dire que vous êtes dans notre cœur, à la vie et à la mort. (7:3)
4 Je m’épanche avec vous ; je suis tout fier de vous ; je suis rempli de consolation ; je suis inondé de joie au milieu de toutes mes afflictions. (7:4)
5 Lorsque nous fûmes arrivé en Macédoine, notre chair n’eut aucun repos ; nous étions affligés de toute manière : au dehors, des combats ; au dedans, des appréhensions. (7:5)
6 Mais Dieu qui console ceux qui sont abattus, nous a consolés par l’arrivée de Tite, (7:6)
7 et non seulement par son arrivée, mais encore par la consolation qu’il avait lui-même éprouvée à votre sujet : il nous a dit vos regrets, votre désolation, votre dévouement pour moi, ce qui a redoublé ma joie en l’entendant. (7:7)
8 Quand même je vous ai attristés par ma lettre, je ne m’en repens point : j’en ai eu, il est vrai, du regret (je vois, en effet, que cette lettre vous a affligés, momentanément pourtant), (7:8)
9 mais à présent je suis heureux, non de ce que vous avez été attristés, mais de ce que cette tristesse vous a portés à la repentance ; car vous avez été attristés selon Dieu, afin de n’éprouver aucun dommage de notre part. (7:9)
10 La tristesse selon Dieu produit une repentance qui conduit à un salut qu’on ne regrette point, au lieu que la tristesse du monde produit la mort. (7:10)
11 Voyez ce que c’est que d’avoir été attristés selon Dieu, ce que cela a produit pour vous : quel empressement ! Que dis-je ? quelle justification ! quelle indignation ! quelle crainte ! quel regret ! quel dévouement ! quelle punition ! Vous avez bien fait voir que vous étiez, vous-mêmes, innocents dans cette affaire. (7:11)
12 Aussi bien je vous ai écrit, non à cause de l’offenseur, ni même à cause de l’offense, mais afin que votre dévouement pour nous éclatât au milieu de vous, devant Dieu : (7:12)
13 c’est ce qui nous a consolé. A cette consolation, s’est ajoutée une joie infiniment plus vive, celle que nous a causée la joie de Tite, dont vous avez tous tranquillisé l’esprit. (7:13)
14 Si je me suis un peu glorifié de vous auprès de lui, je n’ai point eu à en rougir ; mais comme nous vous avons toujours parlé avec vérité, aussi ce que nous avons dit devant Tite, en nous glorifiant de vous, s’est trouvé véritable. (7:14)
15 Et son affection pour vous redouble, quand il se rappelle la docilité que vous lui avez tous montrée, et la crainte, le tremblement avec lequel vous l’avez reçu. (7:15)
16 Je suis heureux de ce que, sous tous les rapports, je puis compter sur vous. (7:16)
II Corinthiens
7:1-16
10Traduction par J. N. Darby
Édition de 1885, libre de droits.
1 — Ayant donc ces promesses, bien-aimés, purifions-nous nous-mêmes de toute souillure de chair et d’esprit, achevant la sainteté dans la crainte de Dieu. (7:1)
2 Recevez-nous : nous n’avons fait tort à personne, nous n’avons ruiné personne, nous ne nous sommes enrichis aux dépens de personne. (7:2)
3 Je ne dis pas ceci pour [vous] condamner, car j’ai déjà dit que vous êtes dans nos cœurs à mourir ensemble et à vivre ensemble. (7:3)
4 Ma franchise est grande envers vous, je me glorifie grandement de vous ; je suis rempli de consolation ; ma joie surabonde au milieu de toute notre affliction. (7:4)
5 Car aussi, lorsque nous arrivâmes en Macédoine, notre chair n’eut aucun repos, mais nous fûmes affligés en toute manière : au dehors, des combats ; au dedans, des craintes. (7:5)
6 Mais celui qui console ceux qui sont abaissés, Dieu, nous a consolés par la venue de Tite, (7:6)
7 et non seulement par sa venue, mais aussi par la consolation dont il a été rempli à votre sujet, en nous racontant votre grand désir, vos larmes, votre affection ardente envers moi, de sorte que je me suis d’autant plus réjoui. (7:7)
8 Car si aussi je vous ai attristés par ma lettre, je n’en ai pas de regret, si même j’en ai eu du regret (car je vois que cette lettre vous a attristés, lors même que [ce n’a été que] pour un temps). (7:8)
9 Maintenant je me réjouis, non de ce que vous avez été attristés, mais de ce que vous avez été attristés à repentance ; car vous avez été attristés selon Dieu, afin qu’en rien vous ne receviez de préjudice de notre part. (7:9)
10 Car la tristesse qui est selon Dieu opère une repentance à salut dont on n’a pas de regret, mais la tristesse du monde opère la mort. (7:10)
11 Car voici, ce [fait] même que vous avez été attristés selon Dieu, quel empressement il a produit en vous, mais quelles excuses, mais quelle indignation, mais quelle crainte, mais quel ardent désir, mais quel zèle, mais quelle vengeance : À tous égards, vous avez montré que vous êtes purs dans l’affaire. (7:11)
12 Ainsi, si même je vous ai écrit, ce n’a point été à cause de celui qui a fait le tort ni à cause de celui à qui on a fait tort, mais afin que le zèle que nous avons pour vous, vous fût manifesté devant Dieu. (7:12)
13 C’est pourquoi nous avons été consolés. Et nous nous sommes réjouis d’autant plus abondamment, dans notre consolation, de la joie de Tite, parce que son esprit a été récréé par vous tous. (7:13)
14 Parce que, si en quelque chose je me suis glorifié de vous auprès de lui, je n’en ai pas été confus ; mais comme nous vous avons dit toutes choses selon la vérité, ainsi aussi ce dont nous nous étions glorifiés auprès de Tite s’est trouvé vrai, (7:14)
15 et son affection se porte plus abondamment sur vous, quand il se souvient de l’obéissance de vous tous, comment vous l’avez reçu avec crainte et tremblement. (7:15)
16 Je me réjouis de ce qu’en toutes choses j’ai de la confiance à votre égard. (7:16)
Corinthiens II
7:1-16
11Traduction par L. Cl. Fillion
Édition de 1889, libre de droits.
1 Ayant donc, mes bien-aimés, de telles promesses, purifions-nous de toute souillure de la chair et de l’esprit, achevant notre sanctification dans la crainte de Dieu. (7:1)
2 Accueillez-nous. Nous n’avons fait tort à personne, nous n’avons nui à personne, nous n’avons exploité personne. (7:2)
3 Je ne dis pas cela pour vous condamner, car j’ai déjà dit que vous êtes dans nos cœurs à la mort et à la vie. (7:3)
4 J’ai une grande confiance en vous, je me glorifie beaucoup de vous ; je suis rempli de consolation, je surabonde de joie parmi toutes nos tribulations. (7:4)
5 En effet, à notre arrivè en Macédoine, notre chair n’au eu aucun repos, mais nous avons souffert toute sorte de tribualtions : au dehors des combats, au dedans des craintes. (7:5)
6 Mais celui qui console les humbles, Dieu nous a consolés par l’arrivée de Tite ; (7:6)
7 et non seulement par son arrivée, mais encore par la consolation qu’il a reçue de vous ; car il m’a raconté votre désir, vos pleurs, votre zèle pour moi, de sorte que ma joie a été plus grande. (7:7)
8 En effet, bien que je vous aie attristés par ma lettre, je ne le regrette pas ; et si j’en ai eu du regret, en voyant que cette lettre vous avait attristés, quoique pour peu de temps, (7:8)
9 maintenant j’ai de la joie, non de ce que vous avez été attristés, mais de ce que votre tristesse vous a portés à la pénitence. Vous avez été attristés selon Dieu, en sorte que vous n’avez reçu de nous aucun dommage. (7:9)
10 Car la tristesse qui est selon Dieu produit pour le salut une pénitence stable ; mais la tristesse du siècle produit la mort. (7:10)
11 Voyez, en effet : votre tristesse selon Dieu, quel empressement elle a produit en vous ; bien plus, quelles excuses, quelle indignation, quelle crainte, quel désir, quel zèle, quelle vengeance ! De toutes façons, vous avez montré que vous étiez purs dans cette affaire. (7:11)
12 Si donc je vous ai écrit, ce n’a été ni à cause de celui qui a fait l’injure, ni à cause de celui qui l’a soufferte, mais pour manifester la sollicitude que nous avons pour vous (7:12)
13 devant Dieu. C’est pourquoi nous avons été consolés. Mais, dans notre consolation, nous avons été encore plus réjouis par la joie de Tite, parce que son esprit a été soulagé par vous tous. (7:13)
14 Et si je me suis glorifié de vous devant lui, en quelque chose, je n’en ai pas eu de confusion ; mais comme nous vous avons dit toutes choses selon la vérité, de même, ce dont nous nous sommes gloirifé auprès de Tite s’est trouvé être la vérité. (7:14)
15 Aussi ressent-il dans ses entrailles un redoublement d’affection envers vous, se souvenant de votre obéissance à tous, de l’accueil que vous lui avez fait avec crainte et tremblement. (7:15)
16 Je me réjouis de ce qu’en toutes choses je puis me confier en vous. (7:16)
II Corinthiens
7:1-16
12Traduction par Edmond Stapfer
Édition de 1889, libre de droits.
1 Ayant de pareilles promesses, bien-aimés, purifions-nous de toute souillure de la chair et de l’esprit, achevant notre sanctification dans la crainte de Dieu.) (7:1)
2 Accueillez-nous ; nous n’avons fait tort à personne ; nous n’avons nui à personne ; nous n’avons exploité personne ; (7:2)
3 je ne dis pas cela pour vous faire un reproche, car, je l’ai déjà dit, vous êtes dans nos cœurs à la vie et à la mort. (7:3)
4 J’ai une grande confiance en vous ; je suis tout fier de vous ; je suis extrêmement consolé, je nage dans la joie, si grandes que soient nos afflictions. (7:4)
5 En effet, à notre arrivée en Macédoine, nous n’avons pas eu un moment de repos, nous étions éprouvés de toutes manières : combats au dehors, inquiétudes au dedans. (7:5)
6 Mais le Dieu qui relève ceux qui sont abattus nous a relevés par l’arrivée de Tite, (7:6)
7 par son arrivée et surtout par le bien qu’il avait reçu de vous ; car il nous a parlé de votre ardeur, de votre chagrin, de votre zèle pour moi ; et j’en ai eu une immense joie. (7:7)
8 Si ma lettre vous a fait de la peine, je ne le regrette pas ; je l’avais d’abord regretté (je vois bien que ma lettre vous a fait de la peine, du moins momentanément) ; (7:8)
9 aujourd’hui je suis heureux, non certes de votre chagrin, mais du repentir qu’il a produit. Vous avez été attristés selon Dieu, pour que nous ne vous causions aucun tort. (7:9)
10 La tristesse selon Dieu produit une repentance qui conduit au salut et qu’on ne regrette jamais ; la tristesse selon le monde amène la mort. (7:10)
11 Voyez plutôt : Votre tristesse selon Dieu, quel empressement elle a provoqué en vous ; bien plus, quelles excuses, quelle indignation, quelle crainte, quelle ardeur, quel dévouement, quelle sévérité ! De toutes façons, vous avez tenu à vous montrer vous-mêmes innocents dans cette affaire. (7:11)
12 Du reste, si je vous ai écrit à ce sujet, ce n’était ni à cause de l’offenseur, ni à cause de l’offensé, c’était afin que votre dévouement pour nous éclatât parmi vous à la face de Dieu. (7:12)
13 Voilà ce qui nous a consolés. A cette consolation s’est ajoutée une immense joie : la vue de la joie de Tite ; vous lui avez tous mis l’esprit en repos. (7:13)
14 Si je vous avais un peu vantés devant lui, je n’ai pas eu à le regretter ; vous savez que nous vous avons toujours dit la vérité ; eh bien, l’éloge de vous que j’avais fait à Tite s’est trouvé de même être la vérité. (7:14)
15 Son affection pour vous est d’autant plus grande qu’il se souvient de votre déférence à tous et de la modestie respectueuse de votre accueil. (7:15)
16 Je suis heureux de l’entière confiance que je puis avoir en vous. (7:16)
II Corinthiens
7:1-16
13Traduction du rabbinat par Zadoc Kahn
Édition de 1899-1906, libre de droits.
— Cette traduction ne possède que l'Ancien Testament.
14Traduction par Louis Segond
Édition de 1910, libre de droits.
1 Ayant donc de telles promesses, bien-aimés, purifions-nous de toute souillure de la chair et de l’esprit, en achevant notre sanctification dans la crainte de Dieu. (7:1)
2 Donnez-nous une place dans vos cœurs ! Nous n’avons fait tort à personne, nous n’avons ruiné personne, nous n’avons tiré du profit de personne. (7:2)
3 Ce n’est pas pour vous condamner que je parle de la sorte ; car j’ai déjà dit que vous êtes dans nos cœurs à la vie et à la mort. (7:3)
4 J’ai une grande confiance en vous, j’ai tout sujet de me glorifier de vous ; je suis rempli de consolation, je suis comblé de joie au milieu de toutes nos tribulations. (7:4)
5 Car, depuis notre arrivée en Macédoine, notre chair n’eut aucun repos ; nous étions affligés de toute manière : luttes au dehors, craintes au dedans. (7:5)
6 Mais Dieu, qui console ceux qui sont abattus, nous a consolés par l’arrivée de Tite, (7:6)
7 et non seulement par son arrivée, mais encore par la consolation que Tite lui-même ressentait à votre sujet : il nous a raconté votre ardent désir, vos larmes, votre zèle pour moi, en sorte que ma joie a été d’autant plus grande. (7:7)
8 Quoique je vous aie attristés par ma lettre, je ne m’en repens pas. Et, si je m’en suis repenti, – car je vois que cette lettre vous a attristés, bien que momentanément, – (7:8)
9 je me réjouis à cette heure, non pas de ce que vous avez été attristés, mais de ce que votre tristesse vous a portés à la repentance ; car vous avez été attristés selon Dieu, afin de ne recevoir de notre part aucun dommage. (7:9)
10 En effet, la tristesse selon Dieu produit une repentance à salut dont on ne se repent jamais, tandis que la tristesse du monde produit la mort. (7:10)
11 Et voici, cette même tristesse selon Dieu, quel empressement n’a-t-elle pas produit en vous ! Quelle justification, quelle indignation, quelle crainte, quel désir ardent, quel zèle, quelle punition ! Vous avez montré à tous égards que vous étiez purs dans cette affaire. (7:11)
12 Si donc je vous ai écrit, ce n’était ni à cause de celui qui a fait l’injure, ni à cause de celui qui l’a reçue ; c’était afin que votre empressement pour nous fût manifesté parmi vous devant Dieu. (7:12)
13 C’est pourquoi nous avons été consolés. Mais, outre notre consolation, nous avons été réjouis beaucoup plus encore par la joie de Tite, dont l’esprit a été tranquillisé par vous tous. (7:13)
14 Et si devant lui je me suis un peu glorifié à votre sujet, je n’en ai point eu de confusion ; mais, comme nous vous avons toujours parlé selon la vérité, ce dont nous nous sommes glorifiés auprès de Tite s’est trouvé être aussi la vérité. (7:14)
15 Il éprouve pour vous un redoublement d’affection, au souvenir de votre obéissance à tous, et de l’accueil que vous lui avez fait avec crainte et tremblement. (7:15)
16 Je me réjouis de pouvoir en toutes choses me confier en vous. (7:16)
II Corinthiens
7:1-16
15Traduction par Augustin Crampon
Édition de 1923, libre de droits.
1 Ayant donc de telles promesses, bien-aimés, purifions-nous de toute souillure de la chair et de l’esprit, et achevons l’œuvre de notre sainteté dans la crainte de Dieu. (7:1)
2 Recevez-nous. Nous n’avons fait de tort à personne, nous n’avons ruiné personne, nous n’avons exploité personne. (7:2)
3 Ce n’est pas pour vous condamner que je dis cela, car je viens de le dire : vous êtes dans nos cœurs à la mort et à la vie. (7:3)
4 Je vous parle en toute franchise, j’ai grand sujet de me glorifier de vous ; je suis rempli de consolation, je surabonde de joie au milieu de toutes nos tribulations. (7:4)
5 Car, depuis notre arrivée en Macédoine, notre chair n’eut aucun repos ; nous étions affligés de toute manière : au dehors des combats, au dedans des craintes. (7:5)
6 Mais celui qui console les humbles, Dieu, nous a consolés par l’arrivée de Tite ; (7:6)
7 non seulement par son arrivée, mais encore par la consolation que Tite lui-même avait éprouvée à votre sujet : il nous a raconté votre ardent désir, vos larmes, votre amour jaloux pour moi, de sorte que ma joie en a été plus grande. (7:7)
8 Ainsi, quoique je vous aie attristés par ma lettre, je ne le regrette plus, bien que je l’aie d’abord regretté, — car je vois que cette lettre vous a attristés, ne fût-ce que pour un moment, — (7:8)
9 je me réjouis à cette heure, non pas de ce que vous avez été attristés, mais de ce que votre tristesse vous a portés à la pénitence ; car vous avez été attristés selon Dieu, de manière à n’éprouver aucun préjudice de notre part. (7:9)
10 En effet, la tristesse selon Dieu produit un repentir salutaire, qu’on ne regrette jamais, au lieu que la tristesse du monde produit la mort. (7:10)
11 Et quel empressement n’a-t-elle pas produit en vous, cette tristesse selon Dieu ! Que dis-je ? quelle justification ! quelle indignation ! quelle crainte ! quel désir ardent ! quel zèle ! quelle sévérité ! Vous avez montré à tous égards que vous étiez innocents dans cette affaire. (7:11)
12 Aussi bien, si je vous ai écrit, ce n’est ni à cause de celui qui a fait l’injure, ni à cause de celui qui l’a reçue, mais pour que votre dévouement pour nous éclatât parmi vous devant Dieu. (7:12)
13 Voilà ce qui nous a consolés. Mais à cette consolation, s’est ajoutée une joie beaucoup plus vive, celle que nous a fait éprouver la joie de Tite, dont vous avez tranquillisé l’esprit. (7:13)
14 Et si devant lui je me suis un peu glorifié à votre sujet, je n’en ai point eu de confusion ; mais de même que nous vous avons toujours parlé selon la vérité, de même l’éloge que j’ai fait de vous à Tite s’est trouvé être la vérité. (7:14)
15 Son cœur ressent pour vous un redoublement d’affection, au souvenir de votre obéissance à tous, de la crainte, du tremblement avec lequel vous l’avez accueilli. (7:15)
16 Je suis heureux de pouvoir en toutes choses compter sur vous. (7:16)
II Corinthiens
7:1-16
16La Bible de Jérusalem
Édition de 1973 © Copyright.[+]
1 En possession de telles promesses, bien-aimés, purifions-nous de toute souillure de la chair et de l’esprit, achevant de nous sanctifier dans la crainte de Dieu. (7:1)
2 Faites-nous place en vos cœurs. Nous n’avons fait tort à personne, nous n’avons ruiné personne, nous n’avons exploité personne. (7:2)
3 Je ne dis pas cela pour vous condamner. Je vous l’ai déjà dit : vous êtes dans nos cœurs à la vie et à la mort. (7:3)
4 J’ai grande confiance en vous, je suis très fier de vous. Je suis comblé de consolation ; je surabonde de joie dans toute notre tribulation. (7:4)
5 De fait, à notre arrivée en Macédoine, notre chair ne connut pas de repos. Partout des tribulations : au-dehors, des luttes ; au-dedans, des craintes. (7:5)
6 Mais Celui qui console les humiliés, Dieu, nous a consolés par l’arrivée de Tite, (7:6)
7 et non seulement par son arrivée, mais encore par la consolation que vous-mêmes lui aviez donnée. Il nous a fait part de votre ardent désir, de votre désolation, de votre zèle pour moi, si bien qu’en moi la joie a prévalu. (7:7)
8 Vraiment, si je vous ai attristés par ma lettre, je ne le regrette pas. Et si je l’ai regretté - je vois bien que cette lettre vous a, ne fût-ce qu’un moment, attristés - (7:8)
9 je m’en réjouis maintenant, non de ce que vous avez été attristés, mais de ce que cette tristesse vous a portés au repentir. Car vous avez été attristés selon Dieu, en sorte que vous n’avez, de notre part, subi aucun dommage. (7:9)
10 La tristesse selon Dieu produit en effet un repentir salutaire qu’on ne regrette pas ; la tristesse du monde, elle, produit la mort. (7:10)
11 Voyez plutôt ce qu’elle a produit chez vous, cette tristesse selon Dieu. Quel empressement ! Que dis-je ? Quelles excuses ! Quelle indignation ! Quelle crainte ! Quel ardent désir ! Quel zèle ! Quelle punition ! Vous avez montré de toutes manières que vous étiez innocents en cette affaire. (7:11)
12 Aussi bien, si je vous ai écrit, ce n’est ni à cause de l’offenseur ni à cause de l’offensé. C’était pour faire éclater chez vous devant Dieu l’empressement que vous avez à notre égard. (7:12)
13 Voilà ce qui nous a consolés. A cette consolation personnelle s’est ajoutée une joie bien plus grande encore, celle de voir la joie de Tite, dont l’esprit a reçu apaisement de vous tous. (7:13)
14 Que si devant lui je me suis quelque peu glorifié à votre sujet, je n’ai pas eu à en rougir. Au contraire, de même qu’en toutes choses nous vous avons dit la vérité, ainsi ce dont nous nous sommes glorifiés auprès de Tite s’est trouvé être la vérité. (7:14)
15 Et son affection pour vous redouble, quand il se rappelle votre obéissance à tous, comment vous l’avez accueilli avec crainte et tremblement. (7:15)
16 Je me réjouis de pouvoir en tout compter sur vous. (7:16)
2 Corinthiens
7:1-16
17Nouvelle édition de Genève
Édition de 1979 © Copyright.[+]
1 Ayant donc de telles promesses, bien-aimés, purifions-nous de toute souillure de la chair et de l’esprit, en achevant notre sanctification dans la crainte de Dieu. (7:1)
2 Donnez-nous une place dans vos cœurs ! Nous n’avons fait tort à personne, nous n’avons ruiné personne, nous n’avons tiré du profit de personne. (7:2)
3 Ce n’est pas pour vous condamner que je parle de la sorte ; car j’ai déjà dit que vous êtes dans nos cœurs à la vie et à la mort. (7:3)
4 J’ai une grande confiance en vous, j’ai tout sujet de me glorifier de vous ; je suis rempli de consolation, je suis comblé de joie au milieu de toutes nos afflictions. (7:4)
5 Car, depuis notre arrivée en Macédoine, notre chair n’eut aucun repos ; nous étions affligés de toute manière : luttes au-dehors, craintes au-dedans. (7:5)
6 Mais Dieu, qui console ceux qui sont abattus, nous a consolés par l’arrivée de Tite, (7:6)
7 et non seulement par son arrivée, mais encore par la consolation que Tite lui-même ressentait à votre sujet : il nous a raconté votre ardent désir, vos larmes, votre zèle pour moi, en sorte que ma joie a été d’autant plus grande. (7:7)
8 Quoique je vous aie attristés par ma lettre, je ne m’en repens pas. Et, si je m’en suis repenti – car je vois que cette lettre vous a attristés, bien que momentanément – (7:8)
9 je me réjouis à cette heure, non pas de ce que vous avez été attristés, mais de ce que votre tristesse vous a portés à la repentance ; car vous avez été attristés selon Dieu, afin de ne recevoir de notre part aucun dommage. (7:9)
10 En effet, la tristesse selon Dieu produit une repentance à salut dont on ne se repent jamais, tandis que la tristesse du monde produit la mort. (7:10)
11 Et voici, cette même tristesse selon Dieu, quel empressement n’a-t-elle pas produit en vous ! Quelle justification, quelle indignation, quelle crainte, quel désir ardent, quel zèle, quelle punition ! Vous avez montré à tous égards que vous étiez purs dans cette affaire. (7:11)
12 Si donc je vous ai écrit, ce n’était ni à cause de celui qui a fait l’injure, ni à cause de celui qui l’a reçue ; c’était afin que votre empressement pour nous soit manifesté parmi vous devant Dieu. (7:12)
13 C’est pourquoi nous avons été consolés. Mais, outre notre consolation, nous avons été réjouis beaucoup plus encore par la joie de Tite, dont l’esprit a été tranquillisé par vous tous. (7:13)
14 Et si devant lui je me suis un peu glorifié à votre sujet, je n’en ai point eu de confusion ; mais, comme nous vous avons toujours parlé selon la vérité, ce dont nous nous sommes glorifiés auprès de Tite s’est trouvé être aussi la vérité. (7:14)
15 Il éprouve pour vous un redoublement d’affection, au souvenir de votre obéissance à tous, et de l’accueil que vous lui avez réservé avec crainte et tremblement. (7:15)
16 Je me réjouis de pouvoir en toutes choses me confier en vous. (7:16)
2 Corinthiens
7:1-16
18Traduction du monde nouveau par WTBTS
Édition de 1995 © Copyright.[+]
1 Par conséquent, puisque nous avons ces promesses, bien-aimés, purifions -​nous de toute souillure de la chair et de l’esprit, parachevant la sainteté dans la crainte de Dieu. (7:1)
2 Faites-​nous une place. Nous n’avons fait de tort à personne, nous n’avons corrompu personne, nous n’avons exploité personne. (7:2)
3 Je ne dis pas cela pour vous condamner. Car j’ai déjà dit que vous êtes dans nos cœurs pour mourir et pour vivre avec nous. (7:3)
4 J’ai une grande franchise à votre égard. Je me glorifie grandement à votre sujet. Je suis rempli de consolation, je déborde de joie dans toute notre affliction. (7:4)
5 En fait, lorsque nous sommes arrivés en Macédoine, notre chair n’a pas connu de soulagement, mais nous avons continué d’être affligés de toutes les manières — il y avait des combats au-dehors, des craintes au-dedans. (7:5)
6 Toutefois Dieu, qui console ceux qui sont abattus, nous a consolés par la présence de Tite ; (7:6)
7 non seulement par sa présence cependant, mais aussi par la consolation dont il avait été consolé à votre sujet, car il nous a de nouveau fait part de votre ardent désir, de votre deuil, de votre zèle pour moi ; si bien que je me suis réjoui davantage encore. (7:7)
8 C’est pourquoi, même si je vous ai attristés par ma lettre, je ne le regrette pas. Même si je l’ai d’abord regretté (je vois que cette lettre vous a attristés, bien que pour un peu de temps ), (7:8)
9 maintenant je me réjouis, non parce que vous avez été attristés, mais parce que vous avez été attristés jusqu’à vous repentir ; car vous avez été attristés [d’une tristesse] venant de Dieu, pour que vous ne subissiez de dommage en rien à cause de nous. (7:9)
10 Car la tristesse qui vient de Dieu produit une repentance [qui conduit] au salut et qu’on n’a pas à regretter ; mais la tristesse du monde produit la mort. (7:10)
11 En effet, voyez : ce fait même que vous avez été attristés [d’une tristesse] venant de Dieu, quel grand empressement il a produit en vous, oui quel souci de vous disculper, oui quelle indignation, oui quelle crainte, oui quel ardent désir, oui quel zèle, oui quelle réparation du tort ! À tous égards vous avez montré que vous étiez purs dans cette affaire. (7:11)
12 Si donc je vous ai écrit, je l’ai fait non pas pour celui qui a causé le tort, ni pour celui à qui on a fait du tort, mais afin que votre empressement pour nous soit manifesté parmi vous en présence de Dieu. (7:12)
13 Voilà pourquoi nous avons été consolés. Cependant, outre notre consolation, nous nous sommes réjouis plus abondamment encore à cause de la joie de Tite, parce que son esprit a été réconforté par vous tous. (7:13)
14 Car si devant lui je me suis quelque peu glorifié à votre sujet, je n’ai pas été couvert de honte ; mais, de même que nous vous avons dit toutes choses selon la vérité, de même aussi ce dont nous nous sommes glorifiés devant Tite s’est révélé conforme à la vérité. (7:14)
15 De plus, ses tendres affections sont plus abondantes à votre égard, tandis qu’il se rappelle votre obéissance à tous, comment vous l’avez reçu avec crainte et tremblement. (7:15)
16 Je me réjouis de ce que de toute façon je peux avoir bon courage à cause de vous. (7:16)
2 Corinthiens
7:1-16
19Traduction Louis Segond 21
Édition de 2007 © Copyright.[+]
1 Puisque nous avons de telles promesses, bien-aimés, purifions-nous de tout ce qui souille notre corps et notre esprit et poursuivons jusqu’au bout la sainteté dans la crainte de Dieu. (7:1)
2 Faites-nous une place dans votre cœur ! Nous n’avons fait de tort à personne, nous n’avons ruiné personne, nous n’avons exploité personne. (7:2)
3 Ce n’est pas pour vous condamner que je parle ainsi, car j’ai déjà dit que vous êtes dans notre cœur à la vie et à la mort. (7:3)
4 J’ai une grande confiance en vous, j’ai toute raison d’être fier de vous ; je suis pleinement réconforté, débordant de joie au milieu de toutes nos difficultés. (7:4)
5 Depuis notre arrivée en Macédoine en effet, nous n’avons connu aucun repos ; nous étions au contraire pressés de toutes parts : luttes au-dehors, craintes au-dedans. (7:5)
6 Mais Dieu, qui réconforte ceux qui sont abattus, nous a encouragés par l’arrivée de Tite, (7:6)
7 et non seulement par son arrivée, mais encore par le réconfort qu’il avait reçu de vous. Il nous a raconté votre vive affection, vos larmes, votre zèle pour moi, de sorte que ma joie a été d’autant plus grande. (7:7)
8 Même si je vous ai attristés par ma lettre, je ne le regrette pas. Et si je l’ai regretté –car je vois que cette lettre vous a momentanément attristés– (7:8)
9 je me réjouis maintenant, non pas de ce que vous avez été attristés, mais de ce que votre tristesse vous a amenés à changer d’attitude, car vous avez été attristés selon Dieu, si bien que vous n’avez subi aucun dommage de notre part. (7:9)
10 En effet, la tristesse selon Dieu produit une repentance qui conduit au salut et que l’on ne regrette jamais, tandis que la tristesse du monde produit la mort. (7:10)
11 Cette même tristesse selon Dieu, voyez quel empressement elle a produit en vous ! Quelles excuses, quelle indignation, quelle crainte, quel désir ardent, quel zèle, quelle punition ! Vous avez démontré à tout point de vue que vous étiez purs dans cette affaire. (7:11)
12 Si donc je vous ai écrit, ce n’était ni à cause de celui qui a commis le tort, ni à cause de celui qui l’a subi ; c’était afin de rendre évident à votre esprit, devant Dieu, votre empressement pour nous. (7:12)
13 Voilà ce qui nous a réconfortés. Mais nous n’avons pas seulement été réconfortés : nous avons été beaucoup plus encore réjouis de constater la joie de Tite, qui a eu l’esprit tranquillisé par vous tous. (7:13)
14 Si je me suis quelque peu vanté à votre sujet devant lui, je n’ai pas eu à en rougir ; mais, comme nous vous avons toujours dit la vérité, ce dont nous nous sommes montrés fiers auprès de Tite s’est aussi trouvé être la vérité. (7:14)
15 Et son affection pour vous est d’autant plus grande quand il se souvient de votre obéissance à tous et de l’accueil que vous lui avez réservé avec crainte et profond respect. (7:15)
16 Je me réjouis de pouvoir entièrement compter sur vous. (7:16)
2 Corinthiens
7:1-16
20Traduction du monde nouveau par WTBTS
Édition de 2018 © Copyright.[+]
1 Par conséquent, puisque nous avons ces promesses, bien-aimés, purifions-​nous de tout ce qui salit la chair et l’esprit, afin d’atteindre une sainteté complète en craignant Dieu. (7:1)
2 Faites-​nous une place dans vos cœurs. Nous n’avons fait de tort à personne, nous n’avons corrompu personne, nous n’avons exploité personne. (7:2)
3 Je ne dis pas cela pour vous condamner. Car j’ai déjà dit que ni la vie ni la mort ne changera le fait que vous êtes dans nos cœurs. (7:3)
4 Je peux vous parler avec une grande franchise. Je suis très fier de vous. Je suis pleinement consolé ; je déborde de joie au milieu de toute notre détresse. (7:4)
5 En fait, lorsque nous sommes arrivés en Macédoine, nous n’avons pas connu de soulagement, mais nous avons continué d’être affligés de tous côtés — il y avait des combats à l’extérieur, des craintes à l’intérieur. (7:5)
6 Toutefois Dieu, qui console ceux qui sont découragés, nous a consolés par la présence de Tite, (7:6)
7 non seulement par sa présence mais aussi par la consolation qu’il a reçue de vous, car il nous a fait part de votre vif désir de me revoir, de votre profond chagrin et de votre intérêt sincère pour moi ; et cela m’a donné encore plus de joie. (7:7)
8 Car, même si je vous ai attristés par ma lettre, je ne le regrette pas. Même si je l’ai d’abord regretté (puisque cette lettre vous a attristés, mais juste un court moment), (7:8)
9 maintenant je me réjouis, non parce que vous avez été attristés, mais parce que vous l’avez été au point de vous repentir. Car vous avez été attristés d’une tristesse venant de Dieu, si bien que vous n’avez subi aucun tort à cause de nous. (7:9)
10 En effet, la tristesse qui plaît à Dieu produit un repentir qui conduit au salut et qu’on ne regrette pas ; par contre, la tristesse du monde produit la mort. (7:10)
11 Voyez quel grand empressement a produit en vous cette tristesse venant de Dieu, oui quel souci de vous disculper, oui quelle indignation, oui quelle crainte, oui quel vif désir, oui quel zèle, oui quelle réparation du tort ! À tous égards vous avez montré que vous étiez purs dans cette affaire. (7:11)
12 Si je vous ai écrit, je ne l’ai pas fait pour celui qui a causé le tort ni pour celui qui a subi le tort, mais afin que votre empressement pour nous devienne évident parmi vous en présence de Dieu. (7:12)
13 Voilà ce qui nous a consolés. Mais nous n’avons pas seulement été consolés ; nous avons aussi été comblés de joie en voyant la joie de Tite, parce que vous l’avez tous réconforté. (7:13)
14 Car, même si je lui ai parlé de vous avec fierté, je n’ai pas eu à en rougir ; au contraire, ces éloges se sont révélés aussi véridiques que tout ce que nous vous avons dit. (7:14)
15 Et la tendre affection que Tite éprouve pour vous est encore plus grande quand il se rappelle votre obéissance à tous, comment vous l’avez reçu avec crainte et profond respect. (7:15)
16 Je me réjouis de pouvoir vous faire confiance en toutes choses. (7:16)
2 Corinthiens
7:1-16
21Traduction française de la Bible King James par N. L. Stratford
Édition de 2022 © Copyright.[+]
1 Ayant donc ces promesses, chers bien-aimés, épurons-nous nous-mêmes de toute souillure de la chair et de l’esprit, perfectionnant la sainteté dans la crainte de Dieu. (7:1)
2 Recevez-nous ; nous n’avons fait tort à aucun homme, nous n’avons corrompu aucun homme, nous n’avons escroqué aucun homme. (7:2)
3 Je ne dis pas cela pour vous condamner : car j’ai déjà dit, que vous êtes dans nos cœurs pour mourir et pour vivre avec vous. (7:3)
4 Grande est ma hardiesse de langage envers vous, j’ai grandement de quoi me glorifier de vous : je suis rempli de réconfort, je suis extrêmement joyeux dans toute notre tribulation. (7:4)
5 Car, lorsque nous sommes arrivés en Macédoine, notre chair n’eut aucun repos, mais nous avons été perturbés de tous côtés ; à l’extérieur étaient les combats, à l’intérieur étaient les craintes. (7:5)
6 Néanmoins Dieu, qui réconforte ceux qui sont découragés, nous réconforta par la venue de Tite ; (7:6)
7 Et non par sa venue seulement, mais aussi par la consolation avec laquelle il fut réconforté par vous, lorsqu’il nous a raconté votre ardent désir, votre chagrin, votre fervente intention envers moi ; de sorte que je me suis réjoui davantage. (7:7)
8 Car bien que je vous aie rendus tristes par une lettre, je ne m’en repens pas, bien que je m’en sois repenti : car je perçois que cette épître-là vous a rendus tristes, bien que ce n’ait été que pour une saison. (7:8)
9 Maintenant je me réjouis, non pas car vous avez été rendus tristes, mais parce que vous avez été attristés jusqu’à la repentance : car vous avez été rendus tristes d’une manière selon Dieu, pour que vous ne puissiez recevoir aucun préjudice de notre part. (7:9)
10 Car la tristesse selon Dieu produit une repentance jusqu’au salut dont on n’a pas à se repentir : mais la tristesse du monde produit la mort. (7:10)
11 Car voici cette chose même, qui vous avait attristés d’une manière selon Dieu, quelle attention a-t-elle effectuée en vous, oui, quelle défense de votre part, oui, quelle indignation, oui, quelle crainte, oui, quel véhément désir, oui, quel zèle, oui, quelle vengeance ! en toutes choses vous vous êtes montrés innocents dans cette affaire. (7:11)
12 C’est pourquoi, bien que je vous aie écrit, je ne l’ai pas fait à cause de celui qui a fait du tort, ni à cause de celui à qui on a fait du tort, mais afin que notre souci pour vous à la vue de Dieu puisse vous apparaître. (7:12)
13 Par conséquent nous avons été réconfortés dans votre réconfort : oui, et nous nous sommes encore plus extrêmement réjouis pour la joie de Tite, parce que son esprit a été revigoré par vous tous. (7:13)
14 Car si je me suis vanté de vous devant lui en quoi que ce soit, je n’en suis pas honteux ; mais comme nous vous avons dit toutes choses selon la vérité, oui certainement notre vantardise, laquelle j’ai fait devant Tite, s’est trouvée être une vérité. (7:14)
15 Et son affection intérieure est d’autant plus abondante envers vous, quand il se souvient de l’obéissance de vous tous, comment avec crainte et tremblement vous l’avez reçu. (7:15)
16 Je me réjouis donc de ce que j’ai confiance en vous en toutes choses. (7:16)
2 Corinthiens
7:1-16