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1Traduction par David Martin
Édition de 1744, libre de droits.
1 Paul Apôtre de Jésus-Christ par la volonté de Dieu, et le frère Timothée, à l’Église de Dieu qui est à Corinthe, avec tous les Saints qui sont dans toute l’Achaïe ; (1:1)
2 Que la grâce et la paix vous soient données par Dieu notre Père et [par] le Seigneur Jésus-Christ. (1:2)
3 Béni [soit] Dieu, qui est le Père de notre Seigneur Jésus-Christ, le Père des miséricordes, et le Dieu de toute consolation ; (1:3)
4 Qui nous console dans toute notre affliction, afin que par la consolation dont nous sommes nous-mêmes consolés de Dieu, nous puissions consoler ceux qui sont en quelque affliction que ce soit. (1:4)
5 Car comme les souffrances de Christ abondent en nous, de même notre consolation abonde aussi par Christ. (1:5)
6 Et soit que nous soyons affligés, c’est pour votre consolation et pour votre salut, qui se produit en endurant les mêmes souffrances que nous endurons aussi ; soit que nous soyons consolés, c’est pour votre consolation et pour votre salut. (1:6)
7 Or l’espérance que nous avons de vous est ferme, sachant que comme vous êtes participants des souffrances, de même aussi vous le serez de la consolation. (1:7)
8 Car mes frères, nous voulons bien que vous sachiez notre affliction, qui nous est arrivée en Asie, c’est que nous avons été chargés excessivement au-delà de ce que nous pouvions porter ; tellement que nous avions perdu l’espérance de conserver notre vie. (1:8)
9 Car nous nous sommes vus comme si nous eussions reçu en nous-mêmes la sentence de mort ; afin que nous n’eussions point de confiance en nous-mêmes, mais en Dieu qui ressuscite les morts ; (1:9)
10 Et qui nous a délivrés d’une si grande mort, et qui nous en délivre ; et en qui nous espérons qu’il nous en délivrera aussi à l’avenir. (1:10)
11 Etant aussi aidés par la prière que vous faites pour nous, afin que des actions de grâces soient rendues pour nous par plusieurs personnes, à cause du don qui nous aura été fait en faveur de plusieurs. (1:11)
12 Car c’est ici notre gloire, [savoir] le témoignage de notre conscience, de ce qu’en simplicité et sincérité de Dieu, et non point avec une sagesse charnelle, mais selon la grâce de Dieu, nous avons conversé dans le monde, et particulièrement avec vous. (1:12)
13 Car nous ne vous écrivons point d’autres choses que celles que vous lisez, et que même vous connaissez ; et j’espère que vous les reconnaîtrez aussi jusqu’à la fin. (1:13)
14 Selon que vous avez reconnu en partie, que nous sommes votre gloire, comme vous êtes aussi la nôtre pour le jour du Seigneur Jésus. (1:14)
15 Et dans une telle confiance je voulais premièrement aller vers vous, afin que vous eussiez une seconde grâce ; (1:15)
16 Et passer de chez vous en Macédoine, puis de Macédoine revenir vers vous, et être conduit par vous en Judée. (1:16)
17 Or quand je me proposais cela, ai-je usé de légèreté ? ou les choses que je pense, les pensé-je selon la chair, en sorte qu’il y ait eu en moi le oui et le non ? (1:17)
18 Mais Dieu est fidèle, que notre parole de laquelle j’ai usé envers vous, n’a point été oui, et non. (1:18)
19 Car le Fils de Dieu Jésus-Christ, qui a été prêché par nous entre vous, [savoir] par moi, et par Silvain, et par Timothée, n’a point été oui, et non ; mais il a été oui en lui. (1:19)
20 Car tout autant qu’il y a de promesses de Dieu, elles sont oui en lui, et amen en lui, à la gloire de Dieu par nous. (1:20)
21 Or celui qui nous affermit avec vous en Christ, et qui nous a oints, c’est Dieu. (1:21)
22 Qui aussi nous a scellés, et nous a donné les arrhes de l’Esprit en nos cœurs. (1:22)
23 Or j’appelle Dieu à témoin sur mon âme, que ç’a été pour vous épargner que je ne suis pas encore allé à Corinthe. (1:23)
24 Non que nous dominions sur votre foi, mais nous contribuons à votre joie ; puisque vous êtes demeurés fermes dans la foi. (1:24)
II. Corinthiens
1:1-24
2Traduction King James revue par B. Blayney
Édition de 1769, libre de droits (hors GB).
1 Paul, an apostle of Jesus Christ by the will of God, and Timothy our brother, unto the church of God which is at Corinth, with all the saints which are in all Achaia : (1:1)
2 Grace be to you and peace from God our Father, and from the Lord Jesus Christ. (1:2)
3 Blessed be God, even the Father of our Lord Jesus Christ, the Father of mercies, and the God of all comfort ; (1:3)
4 Who comforteth us in all our tribulation, that we may be able to comfort them which are in any trouble, by the comfort wherewith we ourselves are comforted of God. (1:4)
5 For as the sufferings of Christ abound in us, so our consolation also aboundeth by Christ. (1:5)
6 And whether we be afflicted, it is for your consolation and salvation, which is effectual in the enduring of the same sufferings which we also suffer : or whether we be comforted, it is for your consolation and salvation. (1:6)
7 And our hope of you is stedfast, knowing, that as ye are partakers of the sufferings, so shall ye be also of the consolation. (1:7)
8 For we would not, brethren, have you ignorant of our trouble which came to us in Asia, that we were pressed out of measure, above strength, insomuch that we despaired even of life : (1:8)
9 But we had the sentence of death in ourselves, that we should not trust in ourselves, but in God which raiseth the dead : (1:9)
10 Who delivered us from so great a death, and doth deliver : in whom we trust that he will yet deliver us ; (1:10)
11 Ye also helping together by prayer for us, that for the gift bestowed upon us by the means of many persons thanks may be given by many on our behalf. (1:11)
12 For our rejoicing is this, the testimony of our conscience, that in simplicity and godly sincerity, not with fleshly wisdom, but by the grace of God, we have had our conversation in the world, and more abundantly to you-ward. (1:12)
13 For we write none other things unto you, than what ye read or acknowledge ; and I trust ye shall acknowledge even to the end ; (1:13)
14 As also ye have acknowledged us in part, that we are your rejoicing, even as ye also are our’s in the day of the Lord Jesus. (1:14)
15 And in this confidence I was minded to come unto you before, that ye might have a second benefit ; (1:15)
16 And to pass by you into Macedonia, and to come again out of Macedonia unto you, and of you to be brought on my way toward Judaea. (1:16)
17 When I therefore was thus minded, did I use lightness ? or the things that I purpose, do I purpose according to the flesh, that with me there should be yea yea, and nay nay ? (1:17)
18 But as God is true, our word toward you was not yea and nay. (1:18)
19 For the Son of God, Jesus Christ, who was preached among you by us, even by me and Silvanus and Timotheus, was not yea and nay, but in him was yea. (1:19)
20 For all the promises of God in him are yea, and in him Amen, unto the glory of God by us. (1:20)
21 Now he which stablisheth us with you in Christ, and hath anointed us, is God ; (1:21)
22 Who hath also sealed us, and given the earnest of the Spirit in our hearts. (1:22)
23 Moreover I call God for a record upon my soul, that to spare you I came not as yet unto Corinth. (1:23)
24 Not for that we have dominion over your faith, but are helpers of your joy : for by faith ye stand. (1:24)
II. Corinthians
1:1-24
3Traduction revue par J. F. Ostervald
Édition de 1823, libre de droits.
1 Paul, apôtre de Jésus-Christ, par la volonté de Dieu, et Timothée, notre frère, à l’Eglise de Dieu qui est à Corinthe, et à tous les saints qui sont dans toute l’Achaïe. (1:1)
2 La grâce et la paix vous soient données de la part de Dieu notre Père, et par le Seigneur Jésus-Christ. (1:2)
3 Béni soit Dieu, qui est le Père de notre Seigneur Jésus-Christ, le Père des miséricordes, et le Dieu de toute consolation ; (1:3)
4 Qui nous console dans toutes nos afflictions, afin que par la consolation dont Dieu nous console nous-mêmes, nous puissions aussi consoler les autres, dans quelque affliction qu’ils se trouvent. (1:4)
5 Car, comme les souffrances de Christ abondent en nous, notre consolation abonde aussi par Christ. (1:5)
6 Ainsi, soit que nous soyons affligés, c’est pour votre consolation et pour votre salut, qui s’avança en souffrant les mêmes maux que nous souffrons aussi ; soit que nous soyons consolés, c’est aussi pour votre consolation et pour votre salut. (1:6)
7 Et l’espérance que nous avons de vous est ferme, sachant que, comme vous avez part aux souffrances, vous aurez aussi part à la consolation. (1:7)
8 Car, mes frères, nous ne voulons pas que vous ignoriez l’affliction qui nous est survenue en Asie, et dont nous avons été accablés excessivement, et au-dessus de nos forces, en sorte que nous avons été dans une extrême perplexité, même pour notre vie. (1:8)
9 Et nous nous regardions nous-mêmes comme étant condamnés à la mort, afin que nous n’eussions point de confiance en nous-mêmes, mais en Dieu qui ressuscite les morts ; (1:9)
10 Qui nous a délivrés d’un si grand danger de mort, et qui nous en délivre ; et nous avons cette espérance en lui, qu’il nous délivrera encore dans la suite ; (1:10)
11 étant aussi aidés par vous et par les prières que vous ferez pour nous, afin que, plusieurs personnes ayant contribué à nous faire obtenir cette faveur, plusieurs aussi en rendent grâces pour nous. (1:11)
12 Car ce qui fait notre gloire, c’est le témoignage que notre conscience nous rend, que nous nous sommes conduits dans le monde, et surtout à votre égard, en simplicité et en sincérité devant Dieu, non point avec une sagesse charnelle, mais avec la grâce de Dieu. (1:12)
13 Car nous ne vous écrivons rien ici que ce que vous avez lu, et que vous avez reconnu, et j’espère que vous le reconnaîtrez jusqu’à la fin ; (1:13)
14 De même que vous avez aussi reconnu en quelque sorte que nous sommes votre gloire, comme vous serez aussi la nôtre au jour du Seigneur Jésus. (1:14)
15 C’est dans cette confiance, et afin que vous reçussiez une double grâce, que j’avais résolu d’aller premièrement vous voir, (1:15)
16 Et de passer chez vous, en allant en Macédoine ; puis, de revenir de Macédoine chez vous, d’où vous m’auriez fait conduire en Judée. (1:16)
17 Ayant donc eu ce dessein, l’ai-je formé par légèreté, ou les résolutions que je prends, les prends-je selon la chair, de sorte qu’il y ait eu en moi, oui, oui ; et puis, non, non ? (1:17)
18 Dieu, qui est véritable, m’est témoin qu’il n’y a point eu de oui et de non dans mes paroles. (1:18)
19 Car Jésus-Christ, le Fils de Dieu, que nous avons prêché parmi vous, moi et Silvain, et Timothée, n’a point été oui et non ; mais il a toujours été oui en lui. (1:19)
20 Car autant qu’il y a de promesses de Dieu, elles sont oui en lui, et Amen en lui, afin que Dieu soit glorifié par nous. (1:20)
21 Or, celui qui nous affermit avec vous en Christ, et qui nous a oints, c’est Dieu, (1:21)
22 Qui nous a aussi marqués de son sceau, et nous a donné dans nos cœurs les arrhes de son Esprit. (1:22)
23 Or, je prends Dieu à témoin sur mon âme, que ç’a été pour vous épargner, que je ne suis point encore allé à Corinthe. (1:23)
24 Non que nous dominions sur votre foi, mais nous contribuons à votre joie, puisque vous demeurez fermes dans la foi. (1:24)
II. Corinthiens
1:1-24
4Traduction par H.-A. Perret-Gentil
Édition de 1847-1861, libre de droits.
— Cette traduction ne possède que l'Ancien Testament.
5Traduction par L. I. Lemaistre de Saci
Édition de 1855, libre de droits.
1 PAUL, apôtre de Jésus-Christ, par la volonté de Dieu ; et Timothée, son frère : à l’Eglise de Dieu qui est à Corinthe, et à tous les saints qui sont dans toute l’Achaïe. (1:1)
2 Que Dieu, notre Père, et Jésus-Christ notre Seigneur, vous donnent la grâce et la paix ! (1:2)
3 Béni soit Dieu, qui est le Père de notre Seigneur Jésus-Christ, le Père des miséricordes, et le Dieu de toute consolation ; (1:3)
4 qui nous console dans tous nos maux, afin que nous puissions aussi consoler les autres dans tous leurs maux, par la même consolation dont nous sommes nous-mêmes consolés de Dieu. (1:4)
5 Car à mesure que les souffrances de Jésus-Christ augmentent en nous, nos consolations aussi s’augmentent par Jésus-Christ. (1:5)
6 Or, soit que nous soyons affligés, c’est pour votre instruction et pour votre salut ; soit que nous soyons consolés, c’est aussi pour votre consolation ; soit que nous soyons encouragés, c’est encore pour votre instruction et pour votre salut, qui s’accomplit dans la souffrance des mêmes maux que nous souffrons : (1:6)
7 ce qui nous donne une ferme confiance pour vous, sachant qu’ainsi que vous avez part aux souffrances, vous aurez part aussi à la consolation. (1:7)
8 Car je suis bien aise, mes frères, que vous sachiez l’affliction qui nous est sur venue en Asie, qui a été telle que les maux dont nous nous sommes trouvés accablés, ont été excessifs et au-dessus de nos forces, jusqu’à nous rendre même la vie ennuyeuse. (1:8)
9 Mais nous avons comme entendu prononcer en nous-mêmes l’arrêt de notre mort, afin que nous ne mettions point notre confiance en nous, mais en Dieu, qui ressuscite les morts ; (1:9)
10 qui nous a délivrés d’un si grand péril, qui nous en délivre encore, et nous en délivrera à l’avenir, comme nous l’espérons de sa bonté, (1:10)
11 avec le secours des prières que vous faites pour nous ; afin que la grâce que nous avons reçue en considération de plusieurs personnes, soit aussi reconnue par les actions de grâces que plusieurs en rendront pour nous. (1:11)
12 Car le sujet de notre gloire est le témoignage que nous rend notre conscience, de nous être conduits dans ce monde, et surtout à votre égard, dans la simplicité de coeur et dans la sincérité de Dieu, non avec la sagesse de la chair, mais dans la grâce de Dieu. (1:12)
13 Je ne vous écris que des choses dont vous reconnaissez la vérité en les lisant ; et j’espère qu’à l’avenir vous connaîtrez entièrement, (1:13)
14 ainsi que vous l’avez déjà reconnu en partie, que nous sommes votre gloire, comme vous serez la nôtre au jour de notre Seigneur Jésus-Christ. (1:14)
15 C'est dans cette confiance que j’avais résolu auparavant d’aller vous voir ; afin que vous reçussiez une seconde grâce. (1:15)
16 Je voulais passer par chez vous en allant en Macédoine, revenir ensuite de Macédoine chez vous, et de là me faire conduire par vous en Judée. (1:16)
17 Ayant donc pour lors ce dessein, est-ce par inconstance que je ne l’ai point exécuté ? ou, quand je prends une résolution, cette résolution n’est-elle qu’humaine ? et trouve-t-on ainsi en moi le oui et le non ? (1:17)
18 Mais Dieu qui est véritable, m’est témoin qu’il n’y a point eu de oui et de, non dans la parole que je vous ai annoncée. (1:18)
19 Car Jésus-Christ, Fils de Dieu, qui vous a été prêché par nous, c’est-à-dire, par moi, par Silvain et par Timothée, n’est pas tel que le oui et le non se trouvent en lui ; mais tout ce qui est en lui, est très-ferme. (1:19)
20 Car c’est en lui que toutes les promesses de Dieu ont leur vérité, et c’est par lui aussi qu’elles s’accomplissent à l’honneur de Dieu : ce qui fait la gloire de notre ministère. (1:20)
21 Or celui qui nous confirme et nous affermit avec vous en Jésus-Christ, et qui nous a oints de son onction, c’est Dieu même. (1:21)
22 Et c’est lui aussi qui nous a marqués de son sceau, et qui pour arrhes nous a donné le Saint-Esprit dans nos coeurs. (1:22)
23 Pour moi, je prends Dieu à témoin, et je veux bien qu’il me punisse si je ne dis la vérité, que ç’a été pour vous épargner que je n’ai point encore voulu aller à Corinthe. (1:23a)
24 Ce n’est pas que nous dominions sur votre foi ; mais nous tâchons au contraire de contribuer à votre joie, puisque vous demeurez fermes dans la foi. (1:23b)
II. Corinthiens
1:23-23
6Traduction par Albert Rilliet
Édition de 1858, libre de droits.
1 Paul, apôtre de Christ Jésus par la volonté de Dieu, et le frère Timothée, à l’église de Dieu qui est à Corinthe, ainsi qu’à tous les saints qui sont dans toute l’Achaïe : (1:1)
2 que la grâce et la paix vous soient données par Dieu notre Père, et par le seigneur Jésus-Christ ! (1:2)
3 Béni soit Dieu, qui est aussi le Père de notre Seigneur Jésus-Christ, le Père des compassions et le Dieu de toute consolation, (1:3)
4 qui nous console de toute notre tribulation, afin que nous puissions consoler ceux qui se trouvent dans toute espèce de tribulation par la consolation dont nous sommes nous-mêmes consolés par Dieu ; (1:4)
5 car, de même que les souffrances de Christ surabondent en nous, c’est de même par Christ que surabonde aussi notre consolation. (1:5)
6 Mais, si nous sommes exposés à la tribulation, c’est pour votre consolation, laquelle résulte de votre patience à supporter les mêmes souffrances que nous souffrons nous-mêmes, et votre espérance demeure ferme en vous ; si nous sommes consolés, c’est pour votre consolation et votre salut, (1:6)
7 sachant que, de même que vous participez aux souffrances, vous participez aussi à la consolation. (1:7)
8 Nous ne voulons pas en effet que vous ignoriez, frères, quant à ce qui concerne la tribulation à laquelle nous avons été exposés en Asie, que nous avons eu à supporter un fardeau entièrement au-dessus de nos forces, de telle sorte que nous avons désespéré même de conserver la vie, (1:8)
9 ou plutôt, nous portions en nous-mêmes la sentence de mort, afin de ne point placer notre confiance en nous, mais en Dieu qui ressuscite les morts ; (1:9)
10 c’est Lui qui nous a délivrés et qui nous délivrera d’une mort semblable, Lui de qui nous espérons qu’il nous en délivrera encore, (1:10)
11 vous-mêmes aussi coopérant pour nous par la prière, afin que la grâce, obtenue pour nous par plusieurs personnes, fournisse à plusieurs l’occasion de rendre à votre sujet des actions de grâces. (1:11)
12 En effet voici ce qui nous donne le droit de nous enorgueillir : Notre conscience rend témoignage que c’est avec une sainteté et une pureté qui viennent de Dieu, et non avec une sagesse charnelle, mais selon la grâce de Dieu, que nous nous sommes conduits dans le monde, et plus encore parmi vous ; (1:12)
13 car nous ne vous écrivons pas autre chose que ce que vous lisez. Mais j’espère que vous reconnaîtrez jusques à la fin, (1:13)
14 comme déjà vous l’avez fait pour nous en partie, que vous avez sujet de vous enorgueillir de nous, comme nous aussi de vous, dans la journée de notre Seigneur Jésus. (1:14)
15 Et c’était avec cette persuasion, que je voulais me rendre premièrement auprès de vous, afin que vous eussiez à deux reprises de la joie, (1:15)
16 et de chez vous passer en Macédoine, puis de Macédoine revenir auprès de vous, et être escorté par vous en Judée. (1:16)
17 Est-ce qu’en ayant cette volonté, j’ai réellement fait preuve de légèreté d’esprit ? Ou bien, les projets que je forme, est-ce que je les forme selon la chair, afin d’avoir à ma disposition le oui, oui, et le non, non ? (1:17)
18 Mais, grâce à la fidélité de Dieu, les paroles que nous vous adressons ne sont pas oui et non ; (1:18)
19 car le fils de Dieu, Jésus-Christ, qui a été prêché par nous au milieu de vous, par moi, dis-je, et par Silvanus et par Timothée, n’a pas été oui et non, mais c’est oui qui est en lui ; (1:19)
20 car toutes les promesses de Dieu ont en lui leur oui ; c’est pourquoi c’est aussi par lui que l’Amen est prononcé par nous à la gloire de Dieu ; (1:20)
21 mais celui qui nous affermit ainsi que vous en Christ, et qui vous a oints, (1:21)
22 c’est Dieu, qui nous a aussi scellés et qui a mis dans nos cœurs le gage de son esprit. (1:22)
23 Pour moi, j’atteste Dieu sur mon âme, que c’est afin de vous épargner que je ne suis pas encore revenu à Corinthe ; (1:23)
24 non pas que nous dominions sur votre foi, mais nous devons coopérer à votre joie, car quant à la foi vous êtes fermes. (1:24)
II Corinthiens
1:1-24
7Traduction dite Bible de Lausanne
Édition de 1861-1872, libre de droits.
1 Paul, Envoyé de Jésus-Christ, par la volonté de Dieu, et le frère Timothée, à l’assemblée de Dieu qui est à Corinthe, avec tous les saints qui sont dans toute l’Achaïe ; (1:1)
2 à vous, grâce et paix, de la part de Dieu notre Père et du Seigneur Jésus-Christ ! (1:2)
3 Béni soit le Dieu et Père de notre Seigneur Jésus-Christ, le Père des miséricordes et le Dieu de toute consolation, (1:3)
4 qui nous console dans toute notre tribulation, pour que nous puissions consoler ceux qui sont en quelque tribulation que ce soit, au moyen de la consolation par laquelle nous sommes nous-mêmes consolés de Dieu ; (1:4)
5 parce que, comme les souffrances du Christ abondent sur nous, de même notre consolation abonde aussi par le moyen du Christ ! (1:5)
6 Or, soit que nous soyons dans la tribulation, c’est pour votre consolation et votre salut, lequel déploie son efficace dans votre patience à supporter les mêmes souffrances que nous aussi nous souffrons ; soit que nous soyons consolés, c’est pour votre consolation et votre salut ; (1:6)
7 et notre espérance à votre égard est ferme, sachant que comme vous avez communication des souffrances, vous l’avez aussi de la consolation. (1:7)
8 Car nous ne voulons pas que vous ignoriez, frères, au sujet de la tribulation qui nous est survenue en Asie, que nous fûmes excessivement chargés, au-dessus de nos forces, jusqu’à désespérer même de vivre. (1:8)
9 Mais nous acceptâmes en nous-mêmes la sentence de mort, afin que nous n’eussions point de confiance en nous-mêmes, mais dans le Dieu qui réveille les morts, (1:9)
10 lequel nous délivra d’une si grande mort et qui nous en délivre. Et nous avons en lui cette espérance qu’il nous en délivrera encore, (1:10)
11 vous aussi nous assistant par vos supplications ; afin que, pour le don de grâce qui nous est parvenu d’un grand nombre de personnes, il soit rendu des actions de grâces en notre faveur par un grand nombre. (1:11)
12 Car voici notre gloire, c’est ce témoignage de notre conscience, qu’en simplicité et sincérité de Dieu, nous nous sommes conduits dans le monde, et surtout à votre égard, non point avec une sagesse charnelle, mais avec la grâce de Dieu. (1:12)
13 Car nous ne vous écrivons pas autre chose que ce que vous lisez et que même vous reconnaissez. Et j’espère que vous le reconnaîtrez aussi jusqu’à la fin ; (1:13)
14 selon que vous avez reconnu en partie que nous sommes votre sujet de gloire, comme aussi vous [serez] le nôtre dans le jour du Seigneur Jésus. (1:14)
15 Et dans cette confiance, je voulais aller d’abord chez vous, afin que vous eussiez une seconde grâce ; (1:15)
16 et par chez vous passer en Macédoine, puis revenir de la Macédoine chez vous, et être accompagné par vous en Judée. (1:16)
17 Est-ce donc qu’en formant ce dessein j’aurais usé de légèreté ; ou les desseins que je forme, les formé-je selon la chair, en sorte qu’il y ait par devers moi le oui, oui, et le non, non ? (1:17)
18 Mais Dieu est fidèle [témoin] que notre parole auprès de vous n’a pas été oui et non ; (1:18)
19 car le Fils de Dieu, Jésus-Christ, qui a été prêché au milieu de vous par notre moyen, [j’entends] par le moyen de moi et de Silvain et de Timothée, n’a pas été oui et non, mais il a été oui en lui ; (1:19)
20 car tout autant qu’il y a de promesses en Dieu, en lui est le oui, et en lui l’amen, à la gloire de Dieu par notre moyen. (1:20)
21 Mais celui qui nous affermit avec vous dans le Christ et qui nous a oints, c’est Dieu, (1:21)
22 qui aussi nous a scellés et nous a donné les arrhes de l’Esprit dans nos cœurs. (1:22)
23 Or pour moi, je prends Dieu à témoin sur mon âme, que c’est afin de vous épargner que je ne suis plus allé à Corinthe. (1:23)
24 Non que nous dominions sur votre foi, mais nous coopérons à votre joie, car c’est par la foi que vous vous tenez fermes. (1:24)
2 Corinthiens
1:1-24
8Traduction selon la Vulgate dite Bible de Gustave Doré
Édition de 1866, libre de droits.
1 Paul, apôtre de Jésus-Christ, par la volonté de Dieu, et Timothée, son frère, à l’Église de Dieu qui est à Corinthe, et à tous les saints qui sont dans l’Achaïe : (1:1)
2 Grâce à vous, et paix de la part de Dieu notre Père et de Jésus-Christ Notre-Seigneur. (1:2)
3 Béni soit le Dieu et Père de Notre-Seigneur Jésus-Christ, le Père des miséricordes et le Dieu de toute consolation, (1:3)
4 Qui nous console dans toutes nos tribulations, afin que nous puissions nous-mêmes, par l’encouragement que Dieu nous donne, consoler aussi ceux qui sont sous le poids de toutes sortes de maux ! (1:4)
5 Car, à mesure que les souffrances de Jésus-Christ abondent en nous, notre consolation abonde aussi par Jésus-Christ. (1:5)
6 Or, si nous sommes affligés, c’est pour votre instruction et pour votre salut ; si nous sommes consolés, c’est pour votre consolation ; si nous sommes encouragés, c’est encore pour votre encouragement et pour votre salut, qui s’accomplit par la patience à supporter les mêmes souffrances que nous supportons nous-mêmes ; (1:6)
7 Ce qui nous donne une ferme confiance pour vous, sachant que, comme vous avez part aux souffrances, vous aurez part aussi à la consolation. (1:7)
8 Car nous ne voulons pas, mes frères, que vous ignoriez l’affliction qui nous est survenue en Asie, parce qu’elle a été d’un poids excessif et au-dessus de nos forces, jusqu’à nous donner le dégoût de la vie. (1:8)
9 Mais nous avons reçu en nous-mêmes une réponse de mort, afin que nous ne mettions point notre confiance en nous, mais en Dieu, qui ressuscite les morts, (1:9)
10 Qui nous a délivrés d’un si grand péril, qui nous en délivre encore, et nous en délivrera toujours, comme nous l’espérons de sa bonté. (1:10)
11 Et les prières que vous faites pour nous y contribueront aussi, afin que la grâce que nous avons reçue à la considération d’un grand nombre, soit reconnue par les actions de grâces qu’un grand nombre en rendront pour nous. (1:11)
12 Car le sujet de notre gloire est le témoignage que nous rend notre conscience, de nous être conduits en ce monde, et surtout à votre égard, dans la simplicité de cœur et dans la sincérité de Dieu, non pas selon la sagesse de la chair, mais selon la grâce de Dieu. (1:12)
13 Je ne vous écris que des choses dont vous reconnaissez la vérité en les lisant ; et j’espère que vous reconnaîtrez jusqu’à la fin, (1:13)
14 Comme vous l’avez déjà reconnu en partie, que nous sommes votre gloire, de même que vous serez la nôtre au jour de Notre-Seigneur Jésus-Christ. (1:14)
15 Dans cette confiance, j’avais résolu d’abord d’aller vous voir, afin que vous eussiez une seconde grâce. (1:15)
16 Je voulais passer au milieu de vous en allant en Macédoine, revenir ensuite de Macédoine près de vous, et de là me faire conduire par vous en Judée. (1:16)
17 Ayant donc eu ce dessein, est-ce par inconstance que je ne l’ai point exécuté ? Ou quand je prends une résolution, cette résolution est-elle selon la chair, en sorte qu’il y ait en moi le Oui et le Non ? (1:17)
18 Mais Dieu, qui est véritable, m’est témoin qu’il n’y a point de Oui et de Non dans la parole que nous vous avons annoncée. (1:18)
19 Car le Fils de Dieu, Jésus-Christ, que nous vous avons prêché, moi, Silvain et Timothée, n’est pas tel, que le Oui et le Non se trouvent en lui, mais il n’y a eu que Oui en sa personne. (1:19)
20 Car en lui toutes les promesses de Dieu ont leur vérité ; c’est pourquoi nous disons aussi par lui Amen à Dieu pour notre gloire. (1:20)
21 Or celui qui nous confirme et nous affermit avec vous en Jésus-Christ, et qui nous a oints, c’est Dieu même. (1:21)
22 Et c’est lui aussi qui nous a marqués de son sceau, et qui pour gage nous a donné le Saint-Esprit dans nos cœurs. (1:22)
23 Pour moi, je prends Dieu à témoin sur mon âme que c’est pour vous épargner que je ne suis point encore allé à Corinthe ; (1:23a)
24 non pas que nous voulions dominer sur votre foi, mais contribuer à votre joie, puisque vous demeurez fermes dans la foi. (1:23b)
II Corinthiens
1:23-23
9Traduction par L. Segond & H. Oltramare
Édition de 1874, libre de droits.
1 Paul, Apôtre de Jésus-Christ par la volonté de Dieu, et Timothée notre frère, à l’église de Dieu qui est à Corinthe, et à tous les saints qui sont dans toute l’Achaïe : (1:1)
2 que la grâce et la paix vous soient données par Dieu notre Père et par notre Seigneur Jésus-Christ ! (1:2)
3 Béni soit Dieu, le Père de notre Seigneur Jésus-Christ, le Père des miséricordes et le Dieu de toute consolation, (1:3)
4 qui nous console dans toutes nos afflictions, afin que, par la consolation que nous recevons nous-même de lui, nous puissions consoler les autres, dans quelque affliction qu’ils se trouvent. (1:4)
5 Si les souffrances de Christ débordent sur nous, la consolation aussi déborde par Christ. (1:5)
6 Ainsi, soit que nous soyons affligés, c’est pour votre consolation et pour votre salut ; soit que nous soyons consolés, c’est encore pour votre consolation, afin que vous supportiez avec patience les mêmes afflictions que nous. (1:6)
7 D’ailleurs l’espérance que nous avons pour vous est une espérance solide, parce que nous savons que, si vous avez part aux souffrances, vous aurez aussi part à la consolation. (1:7)
8 En effet, mes frères, nous ne vous laisserons pas ignorer qu’une persécution s’est élevée contre nous en Asie, et que nous en avons été excessivement accablé, au delà de nos forces, au point que nous avons désespéré même de notre vie. (1:8)
9 Nous en avions fait au dedans de nous le sacrifice, pour ne pas mettre notre confiance en nous, mais en Dieu, qui ressuscite les morts. (1:9)
10 C’est lui qui nous a délivré de ce danger mortel, qui nous en délivre, et nous avons l’espérance qu’il nous en délivrera encore à l’avenir ; (1:10)
11 surtout si vous nous assistez de vos prières, afin que, plusieurs personnes contribuant à nous obtenir ce bienfait, plusieurs aussi en rendent grâces pour nous. (1:11)
12 Ce qui fait notre gloire, c’est le témoignage que nous rend notre conscience, de nous être conduit dans le monde, et plus particulièrement envers vous, avec la sainteté et la loyauté que Dieu demande, non par une sagesse charnelle, mais par la grâce de Dieu. (1:12)
13 En vous écrivant, nous n’avons pas d’autre pensée que ce que vous lisez, et que vous connaissez bien. J’espère que vous reconnaîtrez jusqu’à la fin, (1:13)
14 comme une partie déjà d’entre vous l’ont reconnu, que nous sommes votre gloire, comme vous serez la nôtre au jour du Seigneur Jésus. (1:14)
15 Dans cette persuasion, je m’étais proposé d’aller tout d’abord chez vous, afin de vous faire un double plaisir : (1:15)
16 j’aurais passé par chez vous pour aller en Macédoine, puis je serais revenu de Macédoine chez vous, et vous m’auriez fait reconduire en Judée. (1:16)
17 Est-ce donc qu’en prenant cette résolution, j’aurais agi avec légèreté ? Est-ce que les projets que je fais, je les fais selon la chair, pour avoir à ma disposition le oui et le non ? — (1:17)
18 Aussi vrai que Dieu est fidèle, notre parole, la parole que nous vous avons adressée n’est pas oui et non. (1:18)
19 Le Fils de Dieu, Jésus-Christ, que nous avons prêché parmi vous, Silvain, Timothée et moi, n’a point été oui et non ; il n’y a eu que oui en lui, (1:19)
20 car toutes les promesses de Dieu sont oui en Jésus, c’est pourquoi aussi elles sont « Amen ! » par lui, à la gloire de Dieu par nous. (1:20)
21 Celui qui nous affermit, ainsi que vous, en Christ, et qui nous a oints, c’est Dieu. (1:21)
22 Il nous a aussi marqués de son sceau, et, pour arrhes, il nous a donné son Esprit dans nos cœurs. (1:22)
23 Je prends Dieu à témoin sur mon âme, que c’est pour vous épargner que je ne suis point encore allé à Corinthe : (1:23)
24 non que nous prétendions dominer sur votre foi, mais nous tâchons de contribuer à votre joie ; car vous êtes fermes en la foi. (1:24)
II Corinthiens
1:1-24
10Traduction par J. N. Darby
Édition de 1885, libre de droits.
1 — Paul, apôtre de Jésus Christ par la volonté de Dieu, et Timothée, le frère, à l’assemblée de Dieu qui est à Corinthe, avec tous les saints qui sont dans l’Achaïe tout entière : (1:1)
2 Grâce et paix à vous, de la part de Dieu notre Père et du seigneur Jésus Christ ! (1:2)
3 Béni soit le Dieu et Père de notre seigneur Jésus Christ, le Père des miséricordes et le Dieu de toute consolation, (1:3)
4 qui nous console à l’égard de toute notre affliction, afin que nous soyons capables de consoler ceux qui sont dans quelque affliction que ce soit, par la consolation dont nous sommes nous-mêmes consolés de Dieu. (1:4)
5 Car comme les souffrances du Christ abondent à notre égard, ainsi, par le Christ, notre consolation aussi abonde. (1:5)
6 Et soit que nous soyons affligés, c’est pour votre consolation et votre salut, qui est opéré en ce que vous endurez les mêmes souffrances que nous aussi nous souffrons (et notre espérance à votre égard est ferme) ; soit que nous soyons consolés, c’est pour votre consolation et votre salut ; (1:6)
7 sachant que, comme vous avez part aux souffrances, de même aussi vous avez part à la consolation. (1:7)
8 Car nous ne voulons pas, frères, que vous ignoriez, quant à notre affliction qui [nous] est arrivée en Asie, que nous avons été excessivement chargés, au delà de notre force, de sorte que nous avons désespéré même de vivre. (1:8)
9 Mais nous-mêmes nous avions en nous-mêmes la sentence de mort, afin que nous n’eussions pas confiance en nous-mêmes, mais en Dieu qui ressuscite les morts, (1:9)
10 qui nous a délivrés d’une si grande mort, et qui nous délivre ; en qui nous espérons qu’il nous délivrera aussi encore, (1:10)
11 vous aussi coopérant par vos supplications pour nous, afin que, pour le don de grâce qui nous est [accordé] par le moyen de plusieurs personnes, des actions de grâces soient rendues pour nous par plusieurs. (1:11)
12 Car notre gloire est celle-ci, [savoir] le témoignage de notre conscience, qu’avec simplicité et sincérité de Dieu, non pas avec une sagesse charnelle, mais par la grâce de Dieu, nous nous sommes conduits dans le monde et plus encore envers vous. (1:12)
13 Car nous ne vous écrivons pas autre chose que ce que vous savez, et que vous reconnaissez, et que vous reconnaîtrez, je l’espère, jusqu’à la fin, (1:13)
14 comme aussi vous nous avez reconnus en partie, que nous sommes votre sujet de gloire, comme vous êtes aussi le nôtre dans la journée du seigneur Jésus. (1:14)
15 Et dans cette confiance j’avais voulu aller auprès de vous d’abord, afin que vous eussiez une seconde grâce, (1:15)
16 et par chez vous passer en Macédoine, et de Macédoine de nouveau aller auprès de vous ; et puis que vous me fissiez la conduite vers la Judée. (1:16)
17 En me proposant donc cela, est-ce que j’aurais usé de légèreté ? Ou les choses que je me propose, me les proposé-je selon la chair, en sorte qu’il y ait en moi le oui, oui, et le non, non ? (1:17)
18 Mais Dieu est fidèle, que notre parole que nous vous avons adressée, n’est pas oui et non. (1:18)
19 Car le Fils de Dieu, Jésus Christ, qui a été prêché par nous au milieu de vous, [savoir] par moi et par Silvain et par Timothée, n’a pas été oui et non, mais il y a oui en lui ; (1:19)
20 car autant il y a de promesses de Dieu, en lui est le oui et en lui l’amen, à la gloire de Dieu par nous. (1:20)
21 Or celui qui nous lie fermement avec vous à Christ et qui nous a oints, c’est Dieu, qui aussi nous a scellés, (1:21)
22 et nous a donné les arrhes de l’Esprit dans nos cœurs. (1:22)
23 Or, moi, j’appelle Dieu à témoin sur mon âme, que ç’a été pour vous épargner que je ne suis pas encore allé à Corinthe, (1:23)
24 non que nous dominions sur votre foi, mais nous coopérons à votre joie : car c’est par la foi que vous êtes debout. (1:24)
Corinthiens II
1:1-24
11Traduction par L. Cl. Fillion
Édition de 1889, libre de droits.
1 Paul, apôtre de Jésus-Christ par la volonté de Dieu, et Timothée son frère, à l’Eglise de Dieu qui est à Corinthe, et à tous les saints qui sont dans toute l’Achaïe. (1:1)
2 Que la grâce et la paix vous soient données par Dieu notre Père, et par le Seigneur Jésus-Christ. (1:2)
3 Béni soit Dieu, qui est aussi le Père de notre Seigneur Jésus-Christ, le Père des miséricordes et le Dieu de toute consolation, (1:3)
4 qui nous console dans toutes nos tribulations, afin que nous puissions, nous aussi, par l’encouragement que nous recevons nous-mêmes de Dieu, consoler ceux qui sont pressés par toutes sortes de maux ; (1:4)
5 car, de même que les souffrances du Christ abondent en nous, notre consolation abonde aussi par le Christ. (1:5)
6 Or, soit que nous soyons affligés, c’est pour votre consolation ; soit que nous soyons encouragés, c’est pour votre encouragement et votre salut, qui s’accomplit par le support des mêmes souffrances que nous souffrons aussi : (1:6)
7 ce qui nous donne une ferme espérance pour vous, sachant que si vous avez part aux souffrances, vous aurez part aussi à la consolation. (1:7)
8 Car nous ne voulons pas que vous ignoriez, mes frères, l’affliction qui nous est survenus en Asie, dont nous avons été accablés excessivement et au-dessus de nos forces, à tel point que nous étions même las de vivre. (1:8)
9 Mais nous avons entendu en nous-mêmes l’arrêt de notre mort, afin que nous ne mettions point notre confiance en nous, mais en Dieu, qui ressuscite les morts ; (1:9)
10 qui nous a délivrés de si grands périls, qui nous en délivre, et qui, comme nous l’espérons de lui, nous en délivrera encore ; (1:10)
11 vous-mêmes aussi nous assistant par vos prières pour nous, afin que, de nombreuses personnes nous ayant obtenu ce bienfait, un grand nombre aussi en rende grâces pour nous. (1:11)
12 Car ce qui fait notre gloire, c’est le témoignage de notre conscience, que nous nous sommes conduits dans ce monde, et surtout à votre égard, dans la simplicité du cœur et la sincérité de Dieu, nullement avec la sagesse de la chair, mais dans la grâce de Dieu. (1:12)
13 Car nous ne vous écrivons pas autre chose que ce que vous avez lu et reconnu ; et j’espère que vous reconnaîtrez jusqu’à la fin, (1:13)
14 comme vous l’avez reconnu en partie, que nous sommes votre gloire, de même que vous serez la nôtre au jour de notre Seigneur Jésus-Christ. (1:14)
15 C’est dans cette confiance que je voulais aller d’abord chez vous, afin que vous eussiez une seconde grâce, (1:15)
16 et passer par chez vous en allant en Macédoine, revenir ensuite de Macédoine chez vous, et me faire conduire par vous en Judée. (1:16)
17 Ayant donc voulu cela, est-ce que j’ai usé de légèreté ? ou bien, ce que je projette, le projetterais-je selon la chair, de sorte qu’il y ait en moi le Oui et le Non ? (1:17)
18 Mais Dieu, qui est fidèle, m’est témoin que, dans la parole que je vous ai annoncée, il n’y a pas eu de Oui et de Non. (1:18)
19 Car le Fils de Dieu, Jésus-Christ, qui vous a été prêché par nous, c’est-à-dire par moi, par Silvain et par Timothée, n’a pas été Oui et Non ; mais c’est Oui qui a été en lui. (1:19)
20 En effet, autant qu’il y a de promesses de Dieu, elles sont en lui le Oui ; c’est pourquoi aussi l’Amen à Dieu par lui est prononcé pour notre gloire. (1:20)
21 Or celui qui nous affermit avec vous dans le Christ, et qui nous a oints, c’est Dieu, (1:21)
22 Lequel aussi nous a marqués d’un sceau, et a mis dans nos cœurs les arrhes de l’Esprit. (1:22)
23 Pour moi, je prends Dieu à témoin sur mon âme que c’est pour vous épargner que je ne suis pas encore allé à Corinthe ; (1:23a)
24 non pas que nous dominions sur votre foi, mais nous contribuons à votre joie, car vous êtes fermes dans la foi. (1:23b)
II Corinthiens
1:23-23
12Traduction par Edmond Stapfer
Édition de 1889, libre de droits.
1 PAUL, APÔTRE DE JÉSUS-CHRIST PAR LA VOLONTÉ DE DIEU, ET LE FRÈRE TIMOTHÉE, À L’ÉGLISE DE DIEU QUI EST À CORINTHE ET À TOUS LES FIDÈLES QUI SONT DANS L’ACHAÏE ENTIÈRE. (1:1)
2 GRACE ET PAIX VOUS SOIENT ACCORDÉES PAR DIEU NOTRE PÈRE ET PAR LE SEIGNEUR JÉSUS-CHRIST. (1:2)
3 Béni soit le Dieu et Père de notre Seigneur Jésus-Christ, Père des miséricordes et Dieu de toute consolation, (1:3)
4 qui nous console dans toutes nos afflictions, pour que nous puissions, à notre tour, consoler les autres dans toutes leurs afflictions, les consolant comme Dieu nous a consolés. (1:4)
5 Car si les souffrances du Christ débordent sur nous, par le Christ aussi déborde notre consolation. (1:5)
6 Sommes-nous affligés ? c’est pour votre consolation et votre salut ; sommes-nous consolés ? c’est aussi pour votre consolation que vous trouvez en supportant patiemment des souffrances semblables à nos souffrances, (1:6)
7 et notre espérance à votre égard est inébranlable. Nous savons qu’ayant votre part de souffrances, vous aurez aussi votre part de consolations. (1:7)
8 Nous ne vous laisserons pas ignorer, frères, que nous avons été persécutés en Asie ; nous avons été absolument accablés ; nos forces étaient à bout, au point que nous désespérions même de conserver la vie. (1:8)
9 Nous en avions fait à part nous le sacrifice pour apprendre à ne pas nous confier en nous-mêmes, mais en Dieu qui ressuscite les morts. (1:9)
10 C’est lui qui nous a arrachés à ce grand danger de mort ; il nous y arrachera encore, oui, nous l’espérons, il nous y arrachera à l’avenir. (1:10)
11 Vous aiderez à cette délivrance par vos prières ; ainsi, plusieurs personnes nous auront obtenu ce bienfait, et plusieurs personnes en feront l’objet de leurs actions de grâces. (1:11)
12 Notre gloire à nous c’est le témoignage que nous rend notre conscience de nous être conduits dans le monde, et surtout à votre égard, avec la sainteté et la sincérité que Dieu demande, nullement par la sagesse mondaine, mais par la grâce de Dieu. (1:12)
13 Nous ne vous écrivons pas autre chose que ce que vous lisez et connaissez ; et j’espère que vous reconnaîtrez jusqu’à la fin (1:13)
14 (une partie d’entre vous l’ont déjà reconnu) que nous faisons votre orgueil et que vous ferez le nôtre le jour du Seigneur Jésus. (1:14)
15 Dans cette conviction, je voulais aller d’abord chez vous pour vous faire une double faveur : (1:15)
16 je me serais rendu de chez vous en Macédoine ; puis de Macédoine je serais revenu chez vous, et vous m’auriez aidé pour le voyage de Judée. (1:16)
17 Ai-je pris cette résolution avec légèreté ? est-ce que, dans mes projets, je n’écoute que mes caprices ? est-ce que je dis tantôt oui, tantôt non ? (1:17)
18 Ah ! je le déclare, par la fidélité de Dieu, la parole que nous vous avons adressée n’a pas été tantôt oui, tantôt non ; (1:18)
19 le Fils de Dieu, Jésus-Christ, que nous vous avons prêché, Sylvanus, Timothée et moi, n’a pas été tantôt oui, tantôt non ; (1:19)
20 mais il a été oui. Toutes les promesses de Dieu sont oui en Jésus-Christ et nous prononçons par lui le mot Amen à la gloire de Dieu. (1:20)
21 Celui qui nous rend ainsi, vous et nous, fermes pour le Christ, et qui nous a oints, c’est Dieu. (1:21)
22 Il nous a aussi marqués de son sceau, et il a mis, à titre d’arrhes, son Esprit dans nos cœurs. (1:22)
23 Mais si je ne suis pas revenu à Corinthe, j’en prends Dieu à témoin, sur mon âme, c’est pour vous épargner ; (1:23)
24 non que nous dominions sur votre foi ; mais nous voulons contribuer à votre joie ; quant à la foi, vous y restez fermes ! (1:24)
II Corinthiens
1:1-24
13Traduction du rabbinat par Zadoc Kahn
Édition de 1899-1906, libre de droits.
— Cette traduction ne possède que l'Ancien Testament.
14Traduction par Louis Segond
Édition de 1910, libre de droits.
1 Paul, apôtre de Jésus Christ par la volonté de Dieu, et le frère Timothée, à l’Église de Dieu qui est à Corinthe, et à tous les saints qui sont dans toute l’Achaïe : (1:1)
2 que la grâce et la paix vous soient données de la part de Dieu notre Père et du Seigneur Jésus Christ ! (1:2)
3 Béni soit Dieu, le Père de notre Seigneur Jésus Christ, le Père des miséricordes et le Dieu de toute consolation, (1:3)
4 qui nous console dans toutes nos afflictions, afin que, par la consolation dont nous sommes l’objet de la part de Dieu, nous puissions consoler ceux qui se trouvent dans quelque l’affliction ! (1:4)
5 Car, de même que les souffrances de Christ abondent en nous, de même notre consolation abonde par Christ. (1:5)
6 Si nous sommes affligés, c’est pour votre consolation et pour votre salut ; si nous sommes consolés, c’est pour votre consolation, qui se réalise par la patience à supporter les mêmes souffrances que nous endurons. (1:6)
7 Et notre espérance à votre égard est ferme, parce que nous savons que, si vous avez part aux souffrances, vous avez part aussi à la consolation. (1:7)
8 Nous ne voulons pas, en effet, vous laisser ignorer, frères, au sujet de la tribulation qui nous est survenue en Asie, que nous avons été excessivement accablés, au delà de nos forces, de telle sorte que nous désespérions même de conserver la vie. (1:8)
9 Et nous regardions comme certain notre arrêt de mort, afin de ne pas placer notre confiance en nous-mêmes, mais de la placer en Dieu, qui ressuscite les morts. (1:9)
10 C’est lui qui nous a délivrés et qui nous délivrera d’une telle mort, lui de qui nous espérons qu’il nous délivrera encore, (1:10)
11 vous-mêmes aussi nous assistant de vos prières, afin que la grâce obtenue pour nous par plusieurs soit pour plusieurs une occasion de rendre grâces à notre sujet. (1:11)
12 Car ce qui fait notre gloire, c’est ce témoignage de notre conscience, que nous nous sommes conduits dans le monde, et surtout à votre égard, avec sainteté et pureté devant Dieu, non point avec une sagesse charnelle, mais avec la grâce de Dieu. (1:12)
13 Nous ne vous écrivons pas autre chose que ce que vous lisez, et ce que vous reconnaissez. Et j’espère que vous le reconnaîtrez jusqu’à la fin, (1:13)
14 comme vous avez déjà reconnu en partie que nous sommes votre gloire, de même que vous serez aussi la nôtre au jour du Seigneur Jésus. (1:14)
15 Dans cette persuasion, je voulais aller d’abord vers vous, afin que vous eussiez une double grâce ; (1:15)
16 je voulais passer chez vous pour me rendre en Macédoine, puis revenir de la Macédoine chez vous, et vous m’auriez fait accompagner en Judée. (1:16)
17 Est-ce que, en voulant cela, j’ai donc usé de légèreté ? Ou bien, mes résolutions sont-elles des résolutions selon la chair, de sorte qu’il y ait en moi le oui et le non ? (1:17)
18 Aussi vrai que Dieu est fidèle, la parole que nous vous avons adressée n’a pas été oui et non. (1:18)
19 Car le Fils de Dieu, Jésus Christ, qui a été prêché par nous au milieu de vous, par moi, et par Silvain, et par Timothée, n’a pas été oui et non, mais c’est oui qui a été en lui ; (1:19)
20 car, pour ce qui concerne toutes les promesses de Dieu, c’est en lui qu’est le oui ; c’est pourquoi encore l’Amen par lui est prononcé par nous à la gloire de Dieu. (1:20)
21 Et celui qui nous affermit avec vous en Christ, et qui nous a oints, c’est Dieu, (1:21)
22 lequel nous a aussi marqués d’un sceau et a mis dans nos cœurs les arrhes de l’Esprit. (1:22)
23 Or, je prends Dieu à témoin sur mon âme, que c’est pour vous épargner que je ne suis plus allé à Corinthe ; (1:23)
24 non pas que nous dominions sur votre foi, mais nous contribuons à votre joie, car vous êtes fermes dans la foi. (1:24)
II Corinthiens
1:1-24
15Traduction par Augustin Crampon
Édition de 1923, libre de droits.
1 Paul, apôtre de Jésus-Christ par la volonté de Dieu, et Timothée son frère, à l’Église de Dieu qui est à Corinthe, et à tous les saints qui sont dans toute l’Achaïe : (1:1)
2 grâce et paix vous soient données de la part de Dieu notre Père et du Seigneur Jésus-Christ ! (1:2)
3 Béni soit Dieu, le Père de notre Seigneur Jésus-Christ, le Père des miséricordes et le Dieu de toute consolation, (1:3)
4 qui nous console dans toutes nos tribulations, afin que, par la consolation que nous recevons nous-mêmes de lui, nous puissions consoler les autres dans toutes leurs afflictions ! (1:4)
5 Car de même que les souffrances du Christ abondent en nous, de même aussi par le Christ abonde notre consolation. (1:5)
6 Si nous sommes affligés, c’est pour votre consolation et pour votre salut ; si nous sommes consolés, c’est pour votre consolation, qui vous fait supporter avec patience les mêmes souffrances que nous endurons aussi. (1:6)
7 Et notre espérance à votre égard est ferme, parce que nous savons que, comme vous avez part aux souffrances, vous avez part aussi à la consolation. (1:7)
8 Nous ne voulons pas, en effet, vous laisser ignorer, frères, au sujet de la tribulation qui nous est survenue en Asie, que nous avons été accablés au delà de toute mesure, au delà de nos forces, à tel point que nous désespérions même de la vie ; (1:8)
9 mais nous avions en nous-mêmes l’arrêt de notre mort, afin de ne pas mettre notre confiance en nous-mêmes, mais de la mettre en Dieu, qui ressuscite les morts. (1:9)
10 C’est lui qui nous a délivrés de cette mort si imminente, qui nous en délivre, et qui, nous l’espérons, nous délivrera dans la suite, (1:10)
11 surtout si vous-mêmes vous nous assistez aussi de vos prières, afin que ce bienfait, nous étant accordé en considération de beaucoup de personnes, soit aussi pour un grand nombre l’occasion de rendre grâces à notre sujet. (1:11)
12 Car ce qui fait notre gloire, c’est ce témoignage de notre conscience que nous nous sommes conduits dans le monde, et particulièrement envers vous, avec simplicité et sincérité devant Dieu, non avec une sagesse charnelle, mais avec la grâce de Dieu. (1:12)
13 Nous ne vous écrivons pas autre chose que ce que vous lisez et ce que vous connaissez bien ; et ce que, je l’espère, vous reconnaîtrez jusqu’à la fin, (1:13)
14 — comme une partie d’entre vous nous connaissent, — que nous sommes votre gloire, de même que vous serez aussi la nôtre au jour du Seigneur Jésus. (1:14)
15 Dans cette persuasion, je m’étais proposé d’aller d’abord chez vous, afin que vous eussiez une double grâce : (1:15)
16 je voulais passer par chez vous pour aller en Macédoine, puis revenir de la Macédoine chez vous, et vous m’auriez fait accompagner en Judée. (1:16)
17 Est-ce donc qu’en formant ce dessein j’aurais agi avec légèreté ? Ou bien est-ce que les projets que je fais, je les fais selon la chair, de sorte qu’il y ait en moi le oui et le non ? (1:17)
18 Aussi vrai que Dieu est fidèle, la parole que nous vous avons adressée n’est pas oui et non. (1:18)
19 Car le Fils de Dieu, Jésus-Christ, que nous avons prêché au milieu de vous, Silvain, Timothée et moi, n’a pas été oui et non ; il n’y eu que oui en lui. (1:19)
20 Car, pour autant qu’il y a de promesses de Dieu, elles sont oui en Jésus ; c’est pourquoi aussi, grâce à lui, l’amen est prononcé, à la gloire de Dieu, par notre ministère. (1:20)
21 Et celui qui nous affermit avec vous dans le Christ, et qui nous a oints, c’est Dieu, (1:21)
22 lequel nous a aussi marqués d’un sceau et nous a donné à titre d’arrhes, le Saint-Esprit dans nos cœurs. (1:22)
23 Pour moi, je prends Dieu à témoin sur mon âme que c’est pour vous épargner que je ne suis point allé de nouveau à Corinthe ; (1:23)
24 non que nous prétendions dominer sur votre foi, mais nous contribuons à votre joie ; car dans la foi vous êtes fermes. (1:24)
II Corinthiens
1:1-24
16La Bible de Jérusalem
Édition de 1973 © Copyright.[+]
1 Paul, apôtre du Christ Jésus par la volonté de Dieu, et Timothée, le frère, à l’Eglise de Dieu établie à Corinthe, ainsi qu’à tous les saints qui sont dans l’Achaïe entière ; (1:1)
2 à vous grâce et paix de par Dieu, notre Père, et le Seigneur Jésus Christ ! (1:2)
3 Béni soit le Dieu et Père de notre Seigneur Jésus Christ, le Père des miséricordes et le Dieu de toute consolation, (1:3)
4 qui nous console dans toute notre tribulation, afin que, par la consolation que nous-mêmes recevons de Dieu, nous puissions consoler les autres en quelque tribulation que ce soit. (1:4)
5 De même en effet que les souffrances du Christ abondent pour nous, ainsi, par le Christ, abonde aussi notre consolation. (1:5)
6 Sommes-nous dans la tribulation ? C’est pour votre consolation et salut. Sommes-nous consolés ? C’est pour votre consolation, qui vous donne de supporter avec constance les mêmes souffrances que nous endurons, nous aussi. (1:6)
7 Et notre espoir à votre égard est ferme : nous savons que, partageant nos souffrances, vous partagerez aussi notre consolation. (1:7)
8 Car nous ne voulons pas que vous l’ignoriez, frères : la tribulation qui nous est survenue en Asie nous a accablés à l’excès, au-delà de nos forces, à tel point que nous désespérions même de conserver la vie. (1:8)
9 Vraiment, nous avons porté en nous-mêmes notre arrêt de mort, afin d’apprendre à ne pas mettre notre confiance en nous-mêmes mais en Dieu, qui ressuscite les morts. (1:9)
10 C’est lui qui nous a délivrés d’une telle mort et nous en délivrera ; en lui nous avons cette espérance qu’il nous en délivrera encore. (1:10)
11 Vous-mêmes nous aiderez par la prière, afin que ce bienfait, qu’un grand nombre de personnes nous auront obtenu, soit pour un grand nombre un motif d’action de grâces à notre sujet. (1:11)
12 Ce qui fait notre fierté, c’est ce témoignage de notre conscience que nous nous sommes comportés dans le monde, et plus particulièrement à votre égard, avec la sainteté et la pureté qui viennent de Dieu, non pas avec une sagesse charnelle, mais bien avec la grâce de Dieu. (1:12)
13 En effet, il n’y a rien dans nos lettres que ce que vous y lisez et comprenez. Et j’espère que vous comprendrez pleinement - (1:13)
14 ainsi que vous nous avez compris en partie - que nous sommes pour vous un titre de gloire, comme vous le serez pour nous, au Jour de notre Seigneur Jésus. (1:14)
15 C’est dans cette assurance que je voulais venir chez vous tout d’abord pour vous procurer une seconde grâce ; (1:15)
16 puis de chez vous passer en Macédoine et de Macédoine revenir chez vous ; et vous m’auriez acheminé vers la Judée. (1:16)
17 En formant ce projet, aurais-je donc fait preuve de légèreté ? Ou bien mes projets s’inspirent-ils de la chair, en sorte qu’il y ait en moi le oui, oui, et le non, non ? (1:17)
18 Aussi vrai que Dieu est fidèle, notre langage avec vous n’est pas oui et non. (1:18)
19 Car le Fils de Dieu, le Christ Jésus, que nous avons prêché parmi vous, Silvain, Timothée et moi, n’a pas été oui et non ; il n’y a eu que oui en lui. (1:19)
20 Toutes les promesses de Dieu ont en effet leur oui en lui ; aussi bien est-ce par lui que nous disons l’« Amen » à Dieu pour sa gloire. (1:20)
21 Et Celui qui nous affermit avec vous dans le Christ et qui nous a donné l’onction, c’est Dieu, (1:21)
22 Lui qui nous a aussi marqués d’un sceau et a mis dans nos cœurs les arrhes de l’Esprit. (1:22)
23 Pour moi, j’en prends Dieu à témoin sur mon âme, c’est par ménagement pour vous que je ne suis plus venu à Corinthe. (1:23)
24 Ce n’est pas que nous entendions régenter votre foi. Non, nous contribuons à votre joie ; car, pour la foi, vous tenez bon. (1:24)
2 Corinthiens
1:1-24
17Nouvelle édition de Genève
Édition de 1979 © Copyright.[+]
1 Paul, apôtre de Jésus-Christ par la volonté de Dieu, et le frère Timothée, à l’Eglise de Dieu qui est à Corinthe, et à tous les saints qui sont dans toute l’Achaïe : (1:1)
2 Que la grâce et la paix vous soient données de la part de Dieu notre Père et du Seigneur Jésus-Christ ! (1:2)
3 Béni soit Dieu, le Père de notre Seigneur Jésus-Christ, le Père des miséricordes et le Dieu de toute consolation, (1:3)
4 qui nous console dans toutes nos afflictions, afin que par la consolation dont nous sommes l’objet de la part de Dieu, nous puissions consoler ceux qui se trouvent dans l’affliction ! (1:4)
5 Car, de même que les souffrances de Christ abondent en nous, de même notre consolation abonde par Christ. (1:5)
6 Si nous sommes affligés, c’est pour votre consolation et pour votre salut ; si nous sommes consolés, c’est pour votre consolation, qui se réalise par la patience à supporter les mêmes souffrances que nous endurons. (1:6)
7 Et notre espérance à votre égard est ferme, parce que nous savons que, si vous avez part aux souffrances, vous avez part aussi à la consolation. (1:7)
8 Nous ne voulons pas, en effet, vous laisser ignorer, frères, au sujet de l’affliction qui nous est survenue en Asie, que nous avons été excessivement accablés, au-delà de nos forces, de telle sorte que nous désespérions même de conserver la vie. (1:8)
9 Et nous regardions comme certain notre arrêt de mort, afin de ne pas placer notre confiance en nous-mêmes, mais de la placer en Dieu qui ressuscite les morts. (1:9)
10 C’est lui qui nous a délivrés et qui nous délivrera d’une telle mort, lui de qui nous espérons qu’il nous délivrera encore ; (1:10)
11 vous nous assistez vous-mêmes de vos prières, afin que la grâce obtenue pour nous par plusieurs soit pour plusieurs une occasion de rendre grâces à notre sujet. (1:11)
12 Car ce qui fait notre gloire, c’est ce témoignage de notre conscience, que nous nous sommes conduits dans le monde, et surtout à votre égard, avec sainteté et pureté devant Dieu, non point avec une sagesse charnelle, mais avec la grâce de Dieu. (1:12)
13 Nous ne vous écrivons pas autre chose que ce que vous lisez, et vous-mêmes le reconnaissez. Et j’espère que vous le reconnaîtrez jusqu’à la fin, (1:13)
14 comme vous avez déjà reconnu en partie que nous sommes votre gloire, de même que vous serez aussi la nôtre au jour du Seigneur Jésus. (1:14)
15 Dans cette persuasion, je voulais aller d’abord vers vous, afin que vous ayez une seconde faveur ; (1:15)
16 je voulais passer chez vous pour me rendre en Macédoine, puis revenir de la Macédoine chez vous, et vous m’auriez fait accompagner en Judée. (1:16)
17 Est-ce que, en voulant cela, j’ai donc usé de légèreté ? Ou bien, mes résolutions sont-elles des résolutions selon la chair, de sorte qu’il y ait en moi le oui et le non ? (1:17)
18 Aussi vrai que Dieu est fidèle, la parole que nous vous avons adressée n’a pas été oui et non. (1:18)
19 Car le Fils de Dieu, Jésus-Christ, qui a été prêché par nous au milieu de vous, par moi, par Silvain, et par Timothée, n’a pas été oui et non, mais en lui, il n’y a que oui ; (1:19)
20 car, pour ce qui concerne toutes les promesses de Dieu, c’est en lui qu’est le oui ; c’est pourquoi encore l’Amen par lui est prononcé par nous à la gloire de Dieu. (1:20)
21 Et celui qui nous affermit avec vous en Christ, et qui nous a oints, c’est Dieu, (1:21)
22 lequel nous a aussi marqués d’un sceau et a mis dans nos cœurs les arrhes de l’Esprit. (1:22)
23 Or, je prends Dieu à témoin sur mon âme, que c’est pour vous épargner que je ne suis plus allé à Corinthe ; (1:23)
24 non pas que nous dominions sur votre foi, mais nous contribuons à votre joie, car vous êtes fermes dans la foi. (1:24)
2 Corinthiens
1:1-24
18Traduction du monde nouveau par WTBTS
Édition de 1995 © Copyright.[+]
1 Paul, apôtre de Christ Jésus par la volonté de Dieu, et Timothée [notre] frère, à la congrégation de Dieu qui est à Corinthe, ainsi qu’à tous les saints qui sont dans l’Achaïe entière : (1:1)
2 À vous faveur imméritée et paix de la part de Dieu notre Père et du Seigneur Jésus Christ. (1:2)
3 Béni soit le Dieu et Père de notre Seigneur Jésus Christ, le Père des tendres miséricordes et le Dieu de toute consolation, (1:3)
4 qui nous console dans toute notre tribulation, pour que nous puissions consoler ceux qui sont dans toutes sortes de tribulations, grâce à la consolation dont nous sommes nous-​mêmes consolés par Dieu. (1:4)
5 Car tout comme les souffrances pour le Christ abondent en nous, ainsi la consolation que nous recevons abonde aussi grâce au Christ. (1:5)
6 Or, que nous soyons dans la tribulation, c’est pour votre consolation et salut ; ou que nous soyons consolés, c’est pour votre consolation qui opère pour vous faire endurer les mêmes souffrances que nous subissons nous aussi. (1:6)
7 Et ainsi notre espérance pour vous est ferme, sachant que, tout comme vous partagez les souffrances, pareillement vous partagerez aussi la consolation. (1:7)
8 Car nous ne voulons pas vous laisser ignorer, frères, au sujet de la tribulation qui nous est survenue dans [le district d’]Asie, que nous avons été soumis à une pression extrême, au-delà de nos forces, si bien que nous étions très inquiets même pour nos vies. (1:8)
9 Oui, nous sentions en nous-​mêmes que nous avions reçu la sentence de mort. C’était pour que nous placions notre confiance, non pas en nous-​mêmes, mais dans le Dieu qui relève les morts. (1:9)
10 C’est d’une chose aussi grande que la mort qu’il nous a délivrés et nous délivrera ; et nous avons cette espérance en lui qu’il continuera à nous délivrer encore. (1:10)
11 Vous aussi, vous pouvez [y] coopérer par votre supplication pour nous, afin que grâces soient rendues par beaucoup en notre faveur pour ce qui nous est donné volontiers à cause d’un grand nombre de visages [suppliants]. (1:11)
12 Car ce dont nous nous glorifions, c’est ceci — notre conscience en témoigne — : que c’est avec sainteté et une sincérité qui vient de Dieu, non pas avec une sagesse charnelle, mais avec la faveur imméritée de Dieu, que nous nous sommes conduits dans le monde, mais tout particulièrement à votre égard. (1:12)
13 Car nous ne vous écrivons vraiment pas autre chose que ce que vous connaissez bien ou que vous reconnaissez aussi, et que, je l’espère, vous continuerez à reconnaître jusqu’à la fin, (1:13)
14 tout comme vous avez aussi reconnu, dans une certaine mesure, que nous sommes pour vous un motif de vous glorifier, tout comme vous le serez aussi pour nous au jour de notre Seigneur Jésus. (1:14)
15 C’est donc avec cette confiance que je me proposais d’abord de venir chez vous, pour que vous ayez une seconde [occasion de] joie, (1:15)
16 et après une halte chez vous de me rendre en Macédoine, et de revenir de Macédoine chez vous pour être accompagné un bout de chemin par vous vers la Judée. (1:16)
17 Eh bien, quand je me proposais cela, je n’ai pas fait preuve de légèreté, n’est-​ce pas ? Ou bien les choses que je projette, est-​ce que je [les] projette selon la chair, pour que chez moi il y ait “ Oui, Oui ” et “ Non, Non ” ? (1:17)
18 Mais aussi vrai que Dieu est fidèle, la parole que nous vous avons adressée n’est pas Oui et cependant Non. (1:18)
19 Car le Fils de Dieu, Christ Jésus, qui a été prêché par notre intermédiaire au milieu de vous — c’est-à-dire par moi et Silvain et Timothée — n’est pas devenu Oui et cependant Non, mais Oui est devenu Oui dans son cas. (1:19)
20 Car quel que soit le nombre des promesses de Dieu, elles sont devenues Oui par son moyen. C’est donc aussi grâce à lui que l’amen est [dit] à Dieu pour la gloire par notre intermédiaire. (1:20)
21 Mais celui qui garantit que vous et nous, nous appartenons à Christ, et celui qui nous a oints, c’est Dieu. (1:21)
22 Il a mis aussi son sceau sur nous et nous a donné le gage de ce qui est à venir, à savoir l’esprit, dans nos cœurs. (1:22)
23 Maintenant j’invoque Dieu comme témoin contre mon âme même, que c’est pour vous épargner que je ne suis pas encore venu à Corinthe. (1:23)
24 Non que nous dominions sur votre foi, mais nous sommes des compagnons de travail pour votre joie, car c’est par [votre] foi que vous êtes debout. (1:24)
2 Corinthiens
1:1-24
19Traduction Louis Segond 21
Édition de 2007 © Copyright.[+]
1 De la part de Paul, apôtre de Jésus-Christ par la volonté de Dieu, et du frère Timothée à l’Eglise de Dieu qui est à Corinthe et à tous les saints qui sont dans toute l’Achaïe : (1:1)
2 que la grâce et la paix vous soient données de la part de Dieu notre Père et du Seigneur Jésus-Christ ! (1:2)
3 Béni soit Dieu, le Père de notre Seigneur Jésus-Christ, le Père plein de compassion et le Dieu de tout réconfort ! (1:3)
4 Il nous réconforte dans toutes nos détresses afin que nous puissions réconforter ceux qui se trouvent dans la détresse, grâce à l’encouragement que nous recevons nous-mêmes de la part de Dieu. (1:4)
5 En effet, de même que les souffrances de Christ abondent pour nous, de même aussi, c’est par Christ que notre réconfort abonde. (1:5)
6 Si nous sommes dans la détresse, c’est pour votre réconfort et pour votre salut ; si nous sommes encouragés, c’est pour votre encouragement, pour vous permettre de supporter les mêmes souffrances que celles que nous endurons. (1:6)
7 Et notre espérance à votre sujet est ferme, parce que nous savons que si vous avez part aux souffrances, vous avez part aussi au réconfort. (1:7)
8 En ce qui concerne la détresse que nous avons connue en Asie, nous ne voulons en effet pas vous laisser ignorer, frères et sœurs, que nous avons été accablés à l’extrême, au-delà de nos forces, au point que nous désespérions même de rester en vie. (1:8)
9 Nous avions intérieurement accepté notre arrêt de mort afin de ne pas placer notre confiance en nous-mêmes mais en Dieu qui ressuscite les morts. (1:9)
10 C’est lui qui nous a délivrés d’une telle mort et qui nous en délivre encore. Oui, nous avons en lui cette espérance qu’il nous en délivrera encore, (1:10)
11 et vous y contribuerez vous-mêmes par la prière. Ainsi, la grâce obtenue pour nous par beaucoup de personnes sera pour beaucoup une occasion de remercier Dieu à notre sujet. (1:11)
12 En effet, voici notre sujet de fierté et le témoignage de notre conscience : nous nous sommes conduits dans le monde, et plus particulièrement vis-à-vis de vous, avec la sincérité et la pureté qui viennent de Dieu, non pas avec une sagesse humaine, mais avec la grâce de Dieu. (1:12)
13 Nous ne vous écrivons rien d’autre que ce que vous lisez et comprenez. Et j’espère que vous comprendrez complètement, (1:13)
14 puisque vous l’avez déjà compris en partie, que nous sommes votre sujet de fierté, de même que vous serez aussi le nôtre, le jour du Seigneur Jésus. (1:14)
15 C’est avec cette assurance que je voulais d’abord aller chez vous, afin que vous puissiez avoir une double grâce. (1:15)
16 Je voulais passer chez vous en me rendant en Macédoine, puis revenir de la Macédoine chez vous, avec l’espoir d’être soutenu par vous pour mon voyage en Judée. (1:16)
17 En formant ce projet, ai-je donc fait preuve de légèreté ? Ou bien mes décisions sont-elles purement humaines, de sorte qu’il y aurait en moi à la fois le « oui » et le « non » ? (1:17)
18 Aussi vrai que Dieu est fidèle, la parole que nous vous avons adressée n’a pas été « oui » et « non ». (1:18)
19 En effet, le Fils de Dieu, Jésus-Christ, que nous avons prêché au milieu de vous, Silvain, Timothée et moi, n’a pas été « oui » et « non ». Au contraire, en lui il n’y a que le « oui ». (1:19)
20 En effet, pour toutes les promesses de Dieu, c’est en lui que se trouve le « oui », et c’est [donc] aussi par lui que nous disons « amen » à Dieu, pour sa gloire. (1:20)
21 Or, celui qui nous affermit avec vous en Christ et qui nous a consacrés par son onction, c’est Dieu ; (1:21)
22 il nous a aussi marqués de son empreinte et a mis l’Esprit comme un gage dans notre cœur. (1:22)
23 Quant à moi, j’en prends Dieu à témoin sur ma vie, c’est pour vous ménager que je ne suis pas revenu à Corinthe. (1:23)
24 Ce n’est pas que nous voulions dominer sur votre foi, mais plutôt que nous contribuons à votre joie, car vous êtes fermes dans la foi. (1:24)
2 Corinthiens
1:1-24
20Traduction du monde nouveau par WTBTS
Édition de 2018 © Copyright.[+]
1 De la part de Paul, apôtre de Christ Jésus par la volonté de Dieu, et de la part de notre frère Timothée, à l’assemblée de Dieu qui est à Corinthe et à tous les saints qui sont dans l’Achaïe entière : (1:1)
2 Que Dieu notre Père et le Seigneur Jésus Christ vous accordent faveur imméritée et paix ! (1:2)
3 Loué soit le Dieu et Père de notre Seigneur Jésus Christ, le Père des tendres miséricordes et le Dieu de toute consolation, (1:3)
4 qui nous console dans toutes nos épreuves pour que, grâce à la consolation que nous recevons de Dieu, nous puissions consoler ceux qui sont dans toutes sortes d’épreuves. (1:4)
5 Car tout comme nous subissons beaucoup de souffrances pour le Christ, nous recevons aussi beaucoup de consolation par l’intermédiaire du Christ. (1:5)
6 Or, si nous subissons des épreuves, c’est pour votre consolation et votre salut ; et si nous sommes consolés, c’est pour que vous soyez consolés et que cela vous aide à endurer les mêmes souffrances que nous. (1:6)
7 Et nous avons à votre sujet de solides raisons d’espérer, car nous savons que, tout comme vous partagez nos souffrances, vous partagerez aussi notre consolation. (1:7)
8 Nous ne voulons donc pas, frères, vous cacher les épreuves que nous avons subies dans la province d’Asie. Nous avons été soumis à une pression extrême, au-delà de nos forces, si bien que nous avons même eu peur pour nos vies. (1:8)
9 Oui, nous avions l’impression d’avoir été condamnés à mort. C’était pour que nous mettions notre confiance, non pas en nous-​mêmes, mais dans le Dieu qui ressuscite les morts. (1:9)
10 C’est d’un tel danger de mort qu’il nous a délivrés et qu’il nous délivrera encore, et nous avons en lui l’espérance qu’il continuera de nous délivrer. (1:10)
11 Vous aussi, vous pouvez nous aider en suppliant pour nous. Ainsi, grâce à la faveur que nous aurons reçue en réponse aux prières de nombreuses personnes, beaucoup remercieront Dieu à notre sujet. (1:11)
12 Et voici ce dont nous sommes fiers : notre conscience témoigne que c’est avec sainteté et avec une sincérité qui vient de Dieu que nous nous sommes conduits dans le monde, et tout particulièrement envers vous, en nous appuyant, non pas sur une sagesse humaine, mais sur la faveur imméritée de Dieu. (1:12)
13 Car nous ne vous écrivons vraiment rien d’autre que ce que vous pouvez lire et comprendre, et j’espère que vous comprendrez ces choses pleinement, (1:13)
14 comme vous avez compris dans une certaine mesure que vous avez des raisons d’être fiers de nous — et nous en aurons aussi d’être fiers de vous au jour de notre Seigneur Jésus. (1:14)
15 C’est donc avec cette conviction que j’avais envisagé de venir chez vous en premier, pour que vous ayez une deuxième occasion de vous réjouir ; (1:15)
16 en effet, j’avais l’intention de m’arrêter chez vous en me rendant en Macédoine et de repasser chez vous en revenant de Macédoine ; ensuite, vous m’auriez accompagné un bout de chemin vers la Judée. (1:16)
17 Eh bien, ai-​je envisagé cela en prenant les choses à la légère ? Ou bien est-​ce que je fais des projets en raisonnant de façon purement humaine, si bien que je dis « oui, bien sûr », et ensuite « non, pas du tout » ? (1:17)
18 Mais aussi vrai qu’on peut compter sur Dieu, ce que nous vous avons dit n’est pas « oui » et en même temps « non ». (1:18)
19 En effet, le Fils de Dieu, Jésus Christ, que nous — c’est-à-dire moi, Silvain et Timothée — avons prêché au milieu de vous n’est pas devenu « oui » et pourtant « non », mais « oui » est devenu « oui » dans son cas. (1:19)
20 Car peu importe le nombre des promesses de Dieu, elles sont devenues « oui » par son moyen. C’est donc aussi grâce à lui que l’ « Amen » est dit à Dieu, ce qui rend gloire à Dieu par notre intermédiaire. (1:20)
21 Mais celui qui garantit que nous appartenons à Christ — vous et nous — et celui qui nous a oints, c’est Dieu. (1:21)
22 Il a aussi mis son sceau sur nous et nous a donné dans nos cœurs le gage de ce qui est à venir, à savoir l’esprit. (1:22)
23 Maintenant, je jure sur ma vie en prenant Dieu à témoin que c’est pour vous épargner que je ne suis pas encore venu à Corinthe. (1:23)
24 Ce n’est pas que nous dominions sur votre foi, mais nous sommes des collaborateurs pour votre joie, car c’est par votre foi que vous êtes debout. (1:24)
2 Corinthiens
1:1-24
21Traduction française de la Bible King James par N. L. Stratford
Édition de 2022 © Copyright.[+]
1 Paul, un apôtre de Jésus Christ, par la volonté de Dieu, et Timothée notre frère, à l’église de Dieu laquelle est à Corinthe, avec tous les saints lesquels sont dans toute l’Achaïe : (1:1)
2 Grâce soit à vous et paix de la part de Dieu notre Père, et du Seigneur Jésus Christ. (1:2)
3 Béni soit Dieu, c’est-à-dire le Père de notre Seigneur Jésus Christ, le Père des miséricordes, et le Dieu de tout réconfort ; (1:3)
4 Qui nous réconforte dans toute notre tribulation, afin que nous puissions être capables de réconforter ceux qui sont dans quelque difficulté que ce soit, par le réconfort dont nous sommes nous-mêmes réconfortés de Dieu. (1:4)
5 Car comme les souffrances de Christ abondent en nous, ainsi notre consolation abonde aussi par Christ. (1:5)
6 Et soit que nous soyons affligés, c’est pour votre consolation et salut, lequel s’effectue en endurant les mêmes souffrances dont nous aussi souffrons : ou soit que nous soyons réconfortés, c’est pour votre consolation et salut. (1:6)
7 Et notre espérance à votre égard est ferme, sachant, que comme vous êtes participants des souffrances, ainsi le serez-vous de la consolation. (1:7)
8 Car nous ne voulons pas, frères, que vous ignoriez la difficulté que nous avons rencontrée en Asie, que nous avons été pressés outre mesure, au-delà de toute vigueur, à tel point que nous désespérions même de vivre : (1:8)
9 Mais nous ressentions la sentence de mort en nous-mêmes, que nous ne devions pas nous confier en nous-mêmes, mais en Dieu lequel ressuscite les morts : (1:9)
10 Qui nous a délivrés d’une si grande mort et qui délivre : en qui nous avons confiance qu’encore il nous en délivrera ; (1:10)
11 Vous aussi nous aidant en priant pour nous, pour que le don qui nous est accordé par les moyens de beaucoup de personnes, des remerciements puissent être rendus par beaucoup en notre nom. (1:11)
12 Car notre réjouissance est ceci, le témoignage de notre conscience, qu’en simplicité et sincérité selon Dieu, non pas avec une sagesse charnelle, mais par la grâce de Dieu, nous avons eu notre comportement dans le monde, et plus pleinement envers vous. (1:12)
13 Car nous ne vous écrivons pas d’autres choses que ce que vous lisez, ou reconnaissez ; et j’ai confiance que vous les reconnaitrez même jusqu’à la fin ; (1:13)
14 Comme aussi vous nous avez en partie reconnus, que nous sommes votre réjouissance, comme vous êtes aussi la nôtre au jour du Seigneur Jésus. (1:14)
15 Et dans cette confiance, j’étais enclin à venir vers vous d’abord, afin que vous puissiez avoir un second avantage ; (1:15)
16 Et de passer par vous en allant en Macédoine, et de Macédoine revenir de nouveau vers vous, et de chez vous être reconduit par vous chemin faisant vers la Judée. (1:16)
17 Lorsque j’ai donc eu cette intention, ai-je usé de légèreté ? ou les choses que je me propose, est-ce selon la chair que je les propose, pour qu’avec moi ce devrait être oui, oui, et non, non ? (1:17)
18 Mais comme Dieu est vrai, notre parole envers vous n’était pas oui et non. (1:18)
19 Car le Fils de Dieu, Jésus Christ, qui fut prêché au milieu de vous par nous, savoir par moi, et Silvain, et Timothée, n’était pas oui et non, mais en lui était oui. (1:19)
20 Car toutes les promesses de Dieu en lui sont oui, et en lui Amen, à la gloire de Dieu par nous. (1:20)
21 Or celui qui nous établit avec vous en Christ, et qui nous a oints, est Dieu ; (1:21)
22 Qui aussi nous a scellés, et nous a donné les gages de l’Esprit dans nos cœurs. (1:22)
23 De plus j’appelle Dieu pour une attestation sur mon âme, que pour vous épargner je ne suis pas jusqu’à présent venu à Corinthe. (1:23)
24 Non pour que nous ayons domination sur votre foi, mais pour être des aides à votre joie : car par la foi vous vous tenez debout. (1:24)
2 Corinthiens
1:1-24