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1Traduction par David Martin
Édition de 1744, libre de droits.
1 Quand je parlerais toutes les langues des hommes, et même des Anges, si je n’ai pas la charité, je suis [comme] l’airain qui résonne, ou [comme] la cymbale retentissante. (13:1)
2 Et quand j’aurais le don de prophétie, que je connaîtrais tous les mystères, [et que j’aurais] toute sorte de science ; et quand j’aurais toute la foi [qu’on puisse avoir], en sorte que je transportasse les montagnes, si je n’ai pas la charité, je ne suis rien. (13:2)
3 Et quand je distribuerais tout mon bien pour la nourriture des pauvres, et que je livrerais mon corps pour être brûlé, si je n’ai pas la charité : cela ne me sert de rien. (13:3)
4 La charité est patience ; elle est douce ; la charité n’est point envieuse ; la charité n’use point d’insolence ; elle ne s’enorgueillit point ; (13:4)
5 Elle ne se porte point déshonnêtement ; elle ne cherche point son propre profit ; elle ne s’aigrit point ; elle ne pense point à mal ; (13:5)
6 Elle ne se réjouit point de l’injustice ; mais elle se réjouit de la vérité ; (13:6)
7 Elle endure tout, elle croit tout, elle espère tout, elle supporte tout. (13:7)
8 La charité ne périt jamais, au lieu que quant aux prophéties, elles seront abolies ; et quant aux Langues, elles cesseront ; et quant à la connaissance, elle sera abolie. (13:8)
9 Car nous connaissons en partie, et nous prophétisons en partie. (13:9)
10 Mais quand la perfection sera venue, alors ce qui est en partie sera aboli. (13:10)
11 Quand j’étais enfant, je parlais comme un enfant, je jugeais comme un enfant, je pensais comme un enfant ; mais quand je suis devenu homme, j’ai aboli ce qui était de l’enfance. (13:11)
12 Car nous voyons maintenant par un miroir obscurément, mais alors nous verrons face à face ; maintenant je connais en partie, mais alors je connaîtrai selon que j’ai été aussi connu. (13:12)
13 Or maintenant ces trois choses demeurent, la foi, l’espérance, et la charité ; mais la plus excellente de ces [vertus] c’est la charité. (13:13)
I. Corinthiens
13:1-13
2Traduction King James revue par B. Blayney
Édition de 1769, libre de droits (hors GB).
1 Though I speak with the tongues of men and of angels, and have not charity, I am become as sounding brass, or a tinkling cymbal. (13:1)
2 And though I have the gift of prophecy, and understand all mysteries, and all knowledge ; and though I have all faith, so that I could remove mountains, and have not charity, I am nothing. (13:2)
3 And though I bestow all my goods to feed the poor, and though I give my body to be burned, and have not charity, it profiteth me nothing. (13:3)
4 Charity suffereth long, and is kind ; charity envieth not ; charity vaunteth not itself, is not puffed up, (13:4)
5 Doth not behave itself unseemly, seeketh not her own, is not easily provoked, thinketh no evil ; (13:5)
6 Rejoiceth not in iniquity, but rejoiceth in the truth ; (13:6)
7 Beareth all things, believeth all things, hopeth all things, endureth all things. (13:7)
8 Charity never faileth : but whether there be prophecies, they shall fail ; whether there be tongues, they shall cease ; whether there be knowledge, it shall vanish away. (13:8)
9 For we know in part, and we prophesy in part. (13:9)
10 But when that which is perfect is come, then that which is in part shall be done away. (13:10)
11 When I was a child, I spake as a child, I understood as a child, I thought as a child : but when I became a man, I put away childish things. (13:11)
12 For now we see through a glass, darkly ; but then face to face : now I know in part ; but then shall I know even as also I am known. (13:12)
13 And now abideth faith, hope, charity, these three ; but the greatest of these is charity. (13:13)
I. Corinthians
13:1-13
3Traduction revue par J. F. Ostervald
Édition de 1823, libre de droits.
1 Quand même je parlerais toutes les langues des hommes, et même des anges ; si je n’ai point la charité, je ne suis que comme l’airain qui résonne, ou comme une cymbale qui retentit. (13:1)
2 Et quand même j’aurais le don de prophétie, et que je connaîtrais tous les mystères et la science de toutes choses ; et quand même j’aurais toute la foi jusqu’à transporter les montagnes ; si je n’ai point la charité, je ne suis rien. (13:2)
3 Et quand même je distribuerais tout mon bien pour la nourriture des pauvres, et que même je livrerais mon corps pour être brûlé ; si je n’ai point la charité, cela ne me sert de rien. (13:3)
4 La charité est patiente ; elle est pleine de bonté ; la charité n’est point envieuse ; la charité n’est point insolente ; elle ne s’enfle point d’orgueil ; (13:4)
5 Elle n’est point malhonnête ; elle ne cherche point son intérêt ; elle ne s’aigrit point ; elle ne soupçonne point le mal ; (13:5)
6 Elle ne se réjouit point de l’injustice, mais elle se réjouit de la vérité ; (13:6)
7 Elle excuse tout, elle croit tout, elle espère tout, elle supporte tout. (13:7)
8 La charité ne périt jamais ; pour ce qui est des prophéties, elles seront abolies, et le don des langues cessera, et la connaissance sera anéantie ; (13:8)
9 Car nous ne connaissons qu’imparfaitement, et nous ne prophétisons qu imparfaitement ; (13:9)
10 Mais quand la perfection sera venue, alors, ce qui est imparfait sera aboli. (13:10)
11 Quand j’étais enfant, je parlais comme un enfant, je jugeais comme un enfant, je pensais comme un enfant ; mais lorsque je suis devenu homme, j’ai quitté ce qui tenait de l’enfant. (13:11)
12 Nous voyons présentement confusément et comme dans un miroir, mais alors nous verrons face à face ; présentement je connais imparfaitement, mais alors je connaîtrai comme j’ai été connu. (13:12)
13 Maintenant donc, ces trois vertus demeurent : la foi, l’espérance et la charité ; mais la plus grande est la charité. (13:13)
I. Corinthiens
13:1-13
4Traduction par H.-A. Perret-Gentil
Édition de 1847-1861, libre de droits.
— Cette traduction ne possède que l'Ancien Testament.
5Traduction par L. I. Lemaistre de Saci
Édition de 1855, libre de droits.
1 QUAND je parlerais toutes les langues des hommes, et le langage des anges mêmes, si je n’ai point la charité, je ne suis que comme un airain sonnant, ou une cymbale retentissante. (13:1)
2 Et quand j’aurais le don de prophétie, que je pénétrerais tous les mystères, et que j’aurais une parfaite science de toutes choses ; quand j’aurais encore toute la foi possible, jusqu’à transporter les montagnes, si je n’ai point la charité, je ne suis rien. (13:2)
3 Et quand j’aurais distribué tout mon bien pour nourrir les pauvres, et que j’aurais livré mon corps pour être brûlé, si je n’ai point la charité, tout cela ne me sert de rien. (13:3)
4 La charité est patiente ; elle est douce et bienfaisante ; la charité n’est point envieuse ; elle n’est point téméraire et précipitée ; elle ne s’enfle point d’orgueil ; (13:4)
5 elle n’est point dédaigneuse, elle ne cherche point ses propres intérêts, elle ne se pique et ne s’aigrit de rien, elle n’a point de mauvais soupçons ; (13:5)
6 elle ne se réjouit point de l’injustice ; mais elle se réjouit de la vérité ; (13:6)
7 elle supporte tout, elle croit tout, elle espère tout, elle souffre tout. (13:7)
8 La charité ne finira jamais. Les prophéties n’auront plus de lieu ; les langues cesseront ; et la science sera abolie : (13:8)
9 car ce que nous avons maintenant de science et de prophétie, est très-imparfait ; (13:9)
10 mais lorsque nous serons dans l’état parfait, tout ce qui est imparfait sera aboli. (13:10)
11 Quand j’étais enfant, je parlais en enfant, je jugeais en enfant, je raisonnais en enfant ; mais lorsque je suis devenu homme, je me suis défait de tout ce qui tenait de l’enfant. (13:11)
12 Nous ne voyons maintenant que comme en un miroir, et en des énigmes ; mais alors nous verrons Dieu face a face. Je ne connais maintenant Dieu qu’imparfaitement ; mais alors je le connaîtrai, comme je suis moi-même connu de lui. (13:12)
13 Maintenant ces trois vertus, la foi, l’espérance, et la charité, demeurent ; mais entre elles la plus excellente est la charité. (13:13)
I. Corinthiens
13:1-13
6Traduction par Albert Rilliet
Édition de 1858, libre de droits.
1 Quand je parlerais les langues des hommes et des anges, si je n’ai pas de charité, je suis un airain retentissant, ou une cymbale bruyante. (13:1)
2 Et quand j’aurais un don de prophétie, et que je connaîtrais tous les mystères et toute la connaissance, et quand j’aurais toute la foi qui déplace les montagnes, si je n’ai pas de charité, je ne suis rien. (13:2)
3 Et quand j’emploierais en libéralités tout ce que je possède, et quand je livrerais mon corps afin d’en tirer gloire, si je n’ai pas de charité, cela ne me sert de rien. (13:3)
4 La charité est patiente, la charité est bienveillante ; elle n’est pas jalouse, elle ne s’en croit point, elle ne s’enfle point d’orgueil, (13:4)
5 elle n’agit point avec indécence, elle ne recherche point ce qui ne lui appartient pas, elle ne s’irrite point, elle ne tient pas compte du mal, (13:5)
6 elle ne se réjouit point de l’injustice, mais elle se réjouit avec la vérité ; (13:6)
7 elle supporte tout, elle croit tout, elle espère tout, elle surmonte tout. (13:7)
8 La charité ne périt jamais ; mais quant à la prophétie, elle sera détruite ; quant aux langues, elles cesseront ; quant à la connaissance, elle sera détruite ; (13:8)
9 car c’est partiellement que nous connaissons, et c’est partiellement que nous prophétisons ; (13:9)
10 mais quand ce qui est parfait sera venu, ce qui est partiel sera détruit. (13:10)
11 Lorsque j’étais enfant, je parlais comme un enfant, je pensais comme un enfant, je raisonnais comme un enfant ; lorsque je suis devenu un homme, j’ai détruit ce qui était de l’enfant. (13:11)
12 Maintenant en effet nous voyons au moyen d’un miroir, d’une manière obscure, mais alors ce sera face à face ; maintenant je connais partiellement, mais alors je connaîtrai comme j’ai été connu. (13:12)
13 Mais pour le moment ces trois choses demeurent : la foi, l’espérance, la charité ; or la plus grande d’entre elles est la charité. (13:13)
I Corinthiens
13:1-13
7Traduction dite Bible de Lausanne
Édition de 1861-1872, libre de droits.
1 Quand je parlerais les langues des hommes et des anges, si je n’ai pas l’amour, je suis un airain sonnant ou une cymbale retentissante. (13:1)
2 Et quand j’aurais un don de prophétie, et que je saurais tous les mystères et tout ce qu’on peut connaître, et que j’aurais toute la foi jusqu’à transporter des montagnes, si je n’ai pas l’amour, je ne suis rien. (13:2)
3 Et quand je distribuerais tous mes biens en aliments, et que je livrerais mon corps pour être brûlé, si je n’ai pas l’amour, cela ne me sert de rien. (13:3)
4 L’amour use de patience, il est plein de bonté ; l’amour n’est pas jaloux ; l’amour ne se vante pas ; il ne s’enfle pas ; (13:4)
5 il n’agit pas malhonnêtement ; il ne cherche pas son propre intérêt ; il ne s’aigrit pas ; il ne pense pas le mal : (13:5)
6 il ne se réjouit pas de l’injustice, mais il se réjouit avec la vérité ; (13:6)
7 il supporte tout, il croit tout, il espère tout, il endure tout. (13:7)
8 L’amour ne périt jamais. Quant aux prophéties, elles seront rendues inutiles ; quant aux langues, elles cesseront ; quant à la connaissance, elle sera rendue inutile ; (13:8)
9 car c’est en partie que nous connaissons et en partie que nous prophétisons ; (13:9)
10 mais, quand viendra ce qui est parfait, alors ce qui est en partie sera rendu inutile. (13:10)
11 Lorsque j’étais petit enfant, je parlais comme un petit enfant, je pensais comme un petit enfant, je raisonnais comme un petit enfant ; mais lorsque je suis devenu homme, j’ai laissé comme inutile ce qui était du petit enfant. (13:11)
12 Car, à présent, nous voyons en énigme, au moyen d’un miroir ; mais alors, [ce sera] face à face ; à présent je connais en partie, mais alors je connaîtrai pleinement, comme aussi j’ai été connu. (13:12)
13 Or maintenant ces trois choses demeurent : la foi, l’espérance, l’amour ; mais la plus grande de ces choses, c’est l’amour. (13:13)
1 Corinthiens
13:1-13
8Traduction selon la Vulgate dite Bible de Gustave Doré
Édition de 1866, libre de droits.
1 Quand je parlerais les langues des hommes et des anges, si je n’ai pas la charité, je suis comme un airain sonnant, ou une cymbale retentissante. (13:1)
2 Et quand j’aurais le don de prophétie, que je pénètrerais tous les mystères et toutes les sciences ; quand j’aurais toute la foi possible, jusqu’à transporter les montagnes, si je n’ai pas la charité, je ne suis rien. (13:2)
3 Et quand je distribuerais tous mes biens pour nourrir les pauvres, et que je livrerais mon corps pour être brûlé, si je n’ai point la charité, tout cela ne me sert de rien. (13:3)
4 La charité est patiente, elle est douce. La charité n’est point envieuse ; elle n’agit point à contre-temps ; elle ne s’enfle point ; (13:4)
5 Elle n’est point ambitieuse ; elle ne cherche point ses propres intérêts ; elle ne s’irrite point ; elle ne pense point le mal. (13:5)
6 Elle ne se réjouit point de l’iniquité, mais elle se réjouit de la verité, (13:6)
7 Elle supporte tout, elle croit tout, elle espère tout, elle souffre tout. (13:7)
8 La charité ne finira jamais, pas même lorsque les prophéties s’anéantiront, que les langues cesseront, et que la science sera détruite ; (13:8)
9 Car c’est imparfaitement que nous connaissons, et imparfaitement que nous prophétisons. (13:9)
10 Mais quand viendra ce qui est parfait, alors disparaîtra ce qui est imparfait. (13:10)
11 Quand j’étais enfant, je parlais en enfant, je jugeais en enfant, je raisonnais en enfant ; mais lorsque je suis devenu homme, je me suis dégagé de tout ce qui était de l’enfant. (13:11)
12 Nous voyons maintenant à travers un miroir, en énigme ; mais alors nous verrons face à face. Maintenant je connais imparfaitement, mais alors je connaîtrai aussi bien que je suis connu moi-même. (13:12)
13 Or la foi, l’espérance et la charité demeurent maintenant toutes les trois ; mais la plus grande des trois, c’est la charité. (13:13)
I Corinthiens
13:1-13
9Traduction par L. Segond & H. Oltramare
Édition de 1874, libre de droits.
1 Quand je parlerais les langues des hommes et des anges, si je n’ai pas la charité, je ne suis qu’un airain sonnant, ou une cymbale retentissante. (13:1)
2 Quand j’aurais le don de prophétie, quand je connaîtrais tous les mystères et que je posséderais toute science, quand j’aurais toute la foi possible, jusqu’à transporter les montagnes, si je n’ai pas la charité, je ne suis rien. (13:2)
3 Quand je distribuerais tous mes biens pour la nourriture des pauvres, quand je livrerais mon corps pour être brûlé, si je n’ai pas la charité, cela ne me sert de rien. (13:3)
4 La charité est patiente, elle est pleine de bonté ; la charité n’est point envieuse ; la charité ne se vante point, elle ne s’enfle point, (13:4)
5 elle ne fait rien d’inconvenant, elle n’est point égoïste, elle ne s’irrite point, elle ne soupçonne pas le mal, (13:5)
6 elle ne se réjouit point de la méchanceté, elle se réjouit, au contraire, de la vérité. (13:6)
7 Elle se résigne à tout, elle croit tout, elle espère tout, elle supporte tout. (13:7)
8 La charité ne passera jamais. Les prophéties prendront fin, les langues cesseront, la science aura son terme ; (13:8)
9 car c’est partiellement que nous connaissons et partiellement que nous prophétisons, (13:9)
10 mais quand ce qui est parfait viendra, ce qui est partiel prendra fin. (13:10)
11 Quand j’étais enfant, je parlais comme un enfant, je pensais comme un enfant, je raisonnais comme un enfant ; mais, quand j’ai été homme, je me suis défait de ce qui tenait de l’enfant. (13:11)
12 Maintenant, nous voyons comme dans un miroir, en devinant ; alors, nous verrons face à face ; maintenant, je connais d’une manière partielle ; alors je connaîtrai comme j’ai été connu. (13:12)
13 Mais voici, ces trois choses demeurent, la foi, l’espérance, la charité ; mais la plus grande d’entre elles, c’est la charité. (13:13)
I Corinthiens
13:1-13
10Traduction par J. N. Darby
Édition de 1885, libre de droits.
1 — Si je parle dans les langues des hommes et des anges, mais que je n’aie pas l’amour, je suis comme un airain qui résonne ou comme une cymbale retentissante. (13:1)
2 Et si j’ai la prophétie, et que je connaisse tous les mystères et toute connaissance, et que j’aie toute la foi de manière à transporter des montagnes, mais que je n’aie pas l’amour, je ne suis rien. (13:2)
3 Et quand je distribuerais en aliments tous mes biens, et que je livrerais mon corps afin que je fusse brûlé, mais que je n’aie pas l’amour, cela ne me profite de rien. (13:3)
4 L’amour use de longanimité ; il est plein de bonté ; l’amour n’est pas envieux ; l’amour ne se vante pas ; il ne s’enfle pas d’orgueil ; (13:4)
5 il n’agit pas avec inconvenance ; il ne cherche pas son propre intérêt ; il ne s’irrite pas ; (13:5)
6 il n’impute pas le mal ; il ne se réjouit pas de l’injustice, mais se réjouit avec la vérité ; (13:6)
7 il supporte tout, croit tout, espère tout, endure tout. (13:7)
8 L’amour ne périt jamais. Or y a-t-il des prophéties ? elles auront leur fin. Y a-t-il des langues ? elles cesseront. Y a-t-il de la connaissance ? elle aura sa fin. (13:8)
9 Car nous connaissons en partie, et nous prophétisons en partie ; (13:9)
10 mais quand ce qui est parfait sera venu, ce qui est en partie aura sa fin. (13:10)
11 Quand j’étais enfant, je parlais comme un enfant, je pensais comme un enfant, je raisonnais comme un enfant ; quand je suis devenu homme, j’en ai fini avec ce qui était de l’enfant. (13:11)
12 Car nous voyons maintenant au travers d’un verre, obscurément, mais alors face à face ; maintenant je connais en partie, mais alors je connaîtrai à fond comme aussi j’ai été connu. (13:12)
13 Or maintenant ces trois choses demeurent : la foi, l’espérance, l’amour ; mais la plus grande de ces choses, c’est l’amour. (13:13)
Corinthiens I
13:1-13
11Traduction par L. Cl. Fillion
Édition de 1889, libre de droits.
1 Quand je parlerais les langues des hommes et des anges, si je n’ai pas la charité, je suis comme un airain sonnant ou une cymbale retentissante. (13:1)
2 Et quand j’aurais le don de prophétie, et que je connaîtrais tous les mystères et toute la science ; et quand j’aurais toute la foi, jusqu’à transporter des montagnes, si je n’ai pas la charité, je ne suis rien. (13:2)
3 Et quand je distribuerais tous mes biens pour nourrir les pauvres, et quand je livrerais mon corps pour être brûlé, si je n’ai pas la charité, cela ne me sert de rien. (13:3)
4 La charité est patiente, elle est pleine de bonté. La charité n’est point envieuse, elle n’agit pas avec témérité, elle ne s’enfle pas d’orgueil ; (13:4)
5 elle n’est pas ambitieuse, elle ne cherche pas ses propres intérêts, elle ne s’irrite pas, elle ne pense pas le mal, (13:5)
6 elle ne se réjouit pas de l’injustice, mais elle se réjouit de la vérité ; (13:6)
7 elle souffre tout, elle croit tout, elle espère tout, elle supporte tout. (13:7)
8 La charité ne finira jamais ; pas même lorsque les prophéties disparaîtront, que les langues cesseront, et que la science sera détruite. (13:8)
9 Car nous connaissons en partie, et nous prophétisons en partie ; (13:9)
10 mais quand ce qui est parfait sera venu, tout ce qui est partiel disparaîtra. (13:10)
11 Quand j’étais enfant, je parlais comme un enfant, je jugeais comme un enfant, je raisonnais comme un enfant ; mais lorsque je suis devenu homme, j’ai fait disparaître ce qui était de l’enfant. (13:11)
12 Nous voyons maintenant à travers un miroir, en énigme ; mais alors nous verrons face à face. Maintenant je connais en partie ; mais alors je connaîtrai comme je suis connu. (13:12)
13 Maintenant ces trois choses demeurent : la foi, l’espérance et la charité ; mais la plus grande est la charité. (13:13)
I Corinthiens
13:1-13
12Traduction par Edmond Stapfer
Édition de 1889, libre de droits.
1 Quand je parlerais toutes les langues des hommes, quand je parlerais même toutes celles des anges, si je n’ai point l’amour, je ne suis qu’un airain sonnant ou une cymbale retentissante. (13:1)
2 Quand j’aurais le don de prophétie, quand je connaîtrais tous les mystères, quand je posséderais toute science, quand j’aurais la foi parfaite pour transporter les montagnes, si je n’ai pas l’amour, je ne suis rien ! (13:2)
3 Je distribuerais tous mes biens, je livrerais mon corps aux flammes, si je n’ai pas l’amour, cela ne me sert de rien ! (13:3)
4 L’amour est patient ; l’amour est bienveillant ; l’amour ne connaît ni l’envie, ni la présomption, ni l’enflure ; (13:4)
5 il n’est pas malhonnête ; il n’est pas égoïste ; il ne s’irrite pas ; il ne pense pas à mal ; (13:5)
6 il ne se plaît pas à l’injustice ; il se plaît au contraire à la vérité ; (13:6)
7 il souffre tout ; il croit tout ; il espère tout ; il supporte tout. (13:7)
8 L’amour n’a pas de décadence. Les prophéties ? elles disparaîtront ; les langues ? elles cesseront ; la science ? elle disparaîtra ; (13:8)
9 car notre science est limitée et notre don de prophétie est limité, (13:9)
10 et quand le parfait viendra, ce qui est limité disparaîtra. (13:10)
11 Lorsque j’étais enfant, je parlais comme un enfant, je pensais comme un enfant, je raisonnais comme un enfant ; quand je suis devenu homme, j’ai laissé là les façons de l’enfant. (13:11)
12 Aujourd’hui, nous voyons au moyen d’un miroir, confusément ; alors, nous verrons face à face. Aujourd’hui, ma science est limitée ; alors, je connaîtrai comme j’aurai été connu. (13:12)
13 En somme, il reste la foi, l’espérance, l’amour, trois grandes choses : mais la plus grande des trois est l’amour ; (13:13)
I Corinthiens
13:1-13
13Traduction du rabbinat par Zadoc Kahn
Édition de 1899-1906, libre de droits.
— Cette traduction ne possède que l'Ancien Testament.
14Traduction par Louis Segond
Édition de 1910, libre de droits.
1 Quand je parlerais les langues des hommes et des anges, si je n’ai pas la charité, je suis un airain qui résonne, ou une cymbale qui retentit. (13:1)
2 Et quand j’aurais le don de prophétie, la science de tous les mystères et toute la connaissance, quand j’aurais même toute la foi jusqu’à transporter des montagnes, si je n’ai pas la charité, je ne suis rien. (13:2)
3 Et quand je distribuerais tous mes biens pour la nourriture des pauvres, quand je livrerais même mon corps pour être brûlé, si je n’ai pas la charité, cela ne me sert de rien. (13:3)
4 La charité est patiente, elle est pleine de bonté ; la charité n’est point envieuse ; la charité ne se vante point, elle ne s’enfle point d’orgueil, (13:4)
5 elle ne fait rien de malhonnête, elle ne cherche point son intérêt, elle ne s’irrite point, elle ne soupçonne point le mal, (13:5)
6 elle ne se réjouit point de l’injustice, mais elle se réjouit de la vérité ; (13:6)
7 elle excuse tout, elle croit tout, elle espère tout, elle supporte tout. (13:7)
8 La charité ne périt jamais. Les prophéties prendront fin, les langues cesseront, la connaissance disparaîtra. (13:8)
9 Car nous connaissons en partie, et nous prophétisons en partie, (13:9)
10 mais quand ce qui est parfait sera venu, ce qui est partiel disparaîtra. (13:10)
11 Lorsque j’étais enfant, je parlais comme un enfant, je pensais comme un enfant, je raisonnais comme un enfant ; lorsque je suis devenu homme, j’ai fait disparaître ce qui était de l’enfant. (13:11)
12 Aujourd’hui nous voyons au moyen d’un miroir, d’une manière obscure, mais alors nous verrons face à face ; aujourd’hui je connais en partie, mais alors je connaîtrai comme j’ai été connu. (13:12)
13 Maintenant donc ces trois choses demeurent : la foi, l’espérance, la charité ; mais la plus grande de ces choses, c’est la charité. (13:13)
I Corinthiens
13:1-13
15Traduction par Augustin Crampon
Édition de 1923, libre de droits.
1 Quand je parlerais les langues des hommes et des anges, si je n’ai pas la charité, je suis un airain qui résonne ou une cymbale qui retentit. (13:1)
2 Quand j’aurais le don de prophétie, que je connaîtrais tous les mystères, et que je posséderais toute science ; quand j’aurais même toute la foi, jusqu’à transporter des montagnes, si je n’ai pas la charité, je ne suis rien. (13:2)
3 Quand je distribuerais tous mes biens pour la nourriture des pauvres, quand je livrerais mon corps aux flammes, si je n’ai pas la charité, tout cela ne me sert de rien. (13:3)
4 La charité est patiente, elle est bonne ; la charité n’est pas envieuse, la charité n’est point inconsidérée, elle ne s’enfle point d’orgueil ; (13:4)
5 elle ne fait rien d’inconvenant, elle ne cherche point son intérêt, elle ne s’irrite point, elle ne tient pas compte du mal ; (13:5)
6 elle ne prend pas plaisir à l’injustice, mais elle se réjouit de la vérité ; (13:6)
7 elle excuse tout, elle croit tout, elle espère tout, elle supporte tout. (13:7)
8 La charité ne passera jamais. S’agit-il des prophéties, elles prendront fin ; des langues, elles cesseront ; de la science, elle aura son terme. (13:8)
9 Car nous ne connaissons qu’en partie, et nous ne prophétisons qu’en partie ; (13:9)
10 or, quand sera venu ce qui est parfait, ce qui est partiel prendra fin. (13:10)
11 Lorsque j’étais enfant, je parlais comme un enfant, je pensais comme un enfant, je raisonnais comme un enfant ; lorsque je suis devenu homme, j’ai laissé là ce qui était de l’enfant. (13:11)
12 Maintenant nous voyons dans un miroir, d’une manière obscure, mais alors nous verrons face à face ; aujourd’hui je connais en partie, mais alors je connaîtrai comme je suis connu. (13:12)
13 Maintenant ces trois choses demeurent : la foi, l’espérance, la charité ; mais la plus grande des trois c’est la charité. (13:13)
I Corinthiens
13:1-13
16La Bible de Jérusalem
Édition de 1973 © Copyright.[+]
1 Quand je parlerais les langues des hommes et des anges, si je n’ai pas la charité, je ne suis plus qu’airain qui sonne ou cymbale qui retentit. (13:1)
2 Quand j’aurais le don de prophétie et que je connaîtrais tous les mystères et toute la science, quand j’aurais la plénitude de la foi, une foi à transporter des montagnes, si je n’ai pas la charité, je ne suis rien. (13:2)
3 Quand je distribuerais tous mes biens en aumônes, quand je livrerais mon corps aux flammes, si je n’ai pas la charité, cela ne me sert de rien. (13:3)
4 La charité est longanime ; la charité est serviable ; elle n’est pas envieuse ; la charité ne fanfaronne pas, ne se gonfle pas ; (13:4)
5 elle ne fait rien d’inconvenant, ne cherche pas son intérêt, ne s’irrite pas, ne tient pas compte du mal ; (13:5)
6 elle ne se réjouit pas de l’injustice, mais elle met sa joie dans la vérité. (13:6)
7 Elle excuse tout, croit tout, espère tout, supporte tout. (13:7)
8 La charité ne passe jamais. Les prophéties ? Elles disparaîtront. Les langues ? Elles se tairont. La science ? Elle disparaîtra. (13:8)
9 Car partielle est notre science, partielle aussi notre prophétie. (13:9)
10 Mais quand viendra ce qui est parfait, ce qui est partiel disparaîtra. (13:10)
11 Lorsque j’étais enfant, je parlais en enfant, je pensais en enfant, je raisonnais en enfant ; une fois devenu homme, j’ai fait disparaître ce qui était de l’enfant. (13:11)
12 Car nous voyons, à présent, dans un miroir, en énigme, mais alors ce sera face à face. A présent, je connais d’une manière partielle ; mais alors je connaîtrai comme je suis connu. (13:12)
13 Maintenant donc demeurent foi, espérance, charité, ces trois choses, mais la plus grande d’entre elles, c’est la charité. (13:13)
1 Corinthiens
13:1-13
17Nouvelle édition de Genève
Édition de 1979 © Copyright.[+]
1 Quand je parlerais les langues des hommes et des anges, si je n’ai pas l’amour, je suis un airain qui résonne, ou une cymbale qui retentit. (13:1)
2 Et quand j’aurais le don de prophétie, la science de tous les mystères et toute la connaissance, quand j’aurais même toute la foi jusqu’à transporter des montagnes, si je n’ai pas l’amour, je ne suis rien. (13:2)
3 Et quand je distribuerais tous mes biens pour la nourriture des pauvres, quand je livrerais même mon corps pour être brûlé, si je n’ai pas l’amour, cela ne me sert à rien. (13:3)
4 L’amour est patient, il est plein de bonté ; l’amour n’est point envieux ; l’amour ne se vante point, il ne s’enfle point d’orgueil, (13:4)
5 il ne fait rien de malhonnête, il ne cherche point son intérêt, il ne s’irrite point, il ne soupçonne point le mal, (13:5)
6 il ne se réjouit point de l’injustice, mais il se réjouit de la vérité ; (13:6)
7 il excuse tout, il croit tout, il espère tout, il supporte tout. (13:7)
8 L’amour ne périt jamais. Les prophéties seront abolies, les langues cesseront, la connaissance sera abolie. (13:8)
9 Car nous connaissons en partie, et nous prophétisons en partie, (13:9)
10 mais quand ce qui est parfait sera venu, ce qui est partiel sera aboli. (13:10)
11 Lorsque j’étais enfant, je parlais comme un enfant, je pensais comme un enfant, je raisonnais comme un enfant ; lorsque je suis devenu homme, j’ai fait disparaître ce qui était de l’enfant. (13:11)
12 Aujourd’hui nous voyons au moyen d’un miroir, d’une manière obscure, mais alors nous verrons face à face ; aujourd’hui je connais en partie, mais alors je connaîtrai comme j’ai été connu. (13:12)
13 Maintenant donc ces trois choses demeurent : la foi, l’espérance, l’amour ; mais la plus grande de ces choses, c’est l’amour. (13:13)
1 Corinthiens
13:1-13
18Traduction du monde nouveau par WTBTS
Édition de 1995 © Copyright.[+]
1 Si je parle dans les langues des hommes et des anges, mais que je n’aie pas l’amour, je suis devenu un [morceau de] bronze qui résonne ou une cymbale qui retentit. (13:1)
2 Et si j’ai le don de prophétie et que je connaisse tous les saints secrets et toute la connaissance, et si j’ai toute la foi de manière à transporter des montagnes, mais que je n’aie pas l’amour, je ne suis rien. (13:2)
3 Et si je donne tous mes biens pour nourrir les autres, et si je livre mon corps pour me glorifier, mais que je n’aie pas l’amour, cela ne me sert à rien. (13:3)
4 L’amour est patient et bon. L’amour n’est pas jaloux, il ne se vante pas, ne se gonfle pas [d’orgueil], (13:4)
5 n’agit pas de façon inconvenante, ne cherche pas ses propres intérêts, ne s’irrite pas. Il ne tient pas compte du mal subi. (13:5)
6 Il ne se réjouit pas de l’injustice, mais se réjouit avec la vérité. (13:6)
7 Il supporte tout, croit tout, espère tout, endure tout. (13:7)
8 L’amour ne disparaît jamais. Mais que ce soient les [dons de] prophétie, ils seront abolis ; que ce soient les langues, elles cesseront ; que ce soit la connaissance, elle sera abolie. (13:8)
9 Car nous connaissons partiellement et nous prophétisons partiellement ; (13:9)
10 mais quand ce qui est complet arrivera, ce qui est partiel sera aboli. (13:10)
11 Lorsque j’étais un tout-petit, je parlais comme un tout-petit, je pensais comme un tout-petit, je raisonnais comme un tout-petit ; mais maintenant que je suis devenu un homme, j’ai aboli ce qui est [propre] au tout-petit. (13:11)
12 À présent, en effet, nous voyons, les contours étant indécis, au moyen d’un miroir de métal, mais alors ce sera face à face. À présent, je connais partiellement, mais alors je connaîtrai de façon exacte tout comme je suis connu de façon exacte. (13:12)
13 Maintenant, cependant, demeurent la foi, l’espérance, l’amour, ces trois-​là ; mais le plus grand de ces [trois], c’est l’amour. (13:13)
1 Corinthiens
13:1-13
19Traduction Louis Segond 21
Édition de 2007 © Copyright.[+]
1 Si je parle les langues des hommes, et même celles des anges, mais que je n’ai pas l’amour, je suis un cuivre qui résonne ou une cymbale qui retentit. (13:1)
2 Si j’ai le don de prophétie, la compréhension de tous les mystères et toute la connaissance, si j’ai même toute la foi jusqu’à transporter des montagnes, mais que je n’ai pas l’amour, je ne suis rien. (13:2)
3 Et si je distribue tous mes biens aux pauvres, si même je livre mon corps aux flammes, mais que je n’ai pas l’amour, cela ne me sert à rien. (13:3)
4 L’amour est patient, il est plein de bonté ; l’amour n’est pas envieux ; l’amour ne se vante pas, il ne s’enfle pas d’orgueil, (13:4)
5 il ne fait rien de malhonnête, il ne cherche pas son intérêt, il ne s’irrite pas, il ne soupçonne pas le mal, (13:5)
6 il ne se réjouit pas de l’injustice, mais il se réjouit de la vérité ; (13:6)
7 il pardonne tout, il croit tout, il espère tout, il supporte tout. (13:7)
8 L’amour ne meurt jamais. Les prophéties disparaîtront, les langues cesseront, la connaissance disparaîtra. (13:8)
9 En effet, nous connaissons partiellement et nous prophétisons partiellement, (13:9)
10 mais quand ce qui est parfait sera venu, ce qui est partiel disparaîtra. (13:10)
11 Lorsque j’étais enfant, je parlais comme un enfant, je pensais comme un enfant, je raisonnais comme un enfant ; lorsque je suis devenu un homme, j’ai mis fin à ce qui était de l’enfant. (13:11)
12 Aujourd’hui nous voyons au moyen d’un miroir, de manière peu claire, mais alors nous verrons face à face ; aujourd’hui je connais partiellement, mais alors je connaîtrai complètement, tout comme j’ai été connu. (13:12)
13 Maintenant donc ces trois choses restent : la foi, l’espérance, l’amour ; mais la plus grande des trois, c’est l’amour. (13:13)
1 Corinthiens
13:1-13
20Traduction du monde nouveau par WTBTS
Édition de 2018 © Copyright.[+]
1 Si je parle dans les langues des hommes et des anges, mais que je n’aie pas l’amour, je suis un gong qui résonne ou une cymbale qui retentit. (13:1)
2 Et si j’ai le don de prophétie, que je comprenne tous les saints secrets et que je reçoive toute la connaissance, et si j’ai toute la foi qu’il faut pour déplacer des montagnes, mais que je n’aie pas l’amour, je ne suis rien. (13:2)
3 Et si je donne tous mes biens pour nourrir les autres, et si je livre mon corps pour en tirer fierté, mais que je n’aie pas l’amour, cela ne me sert à rien. (13:3)
4 L’amour est patient et bon. L’amour n’est pas jaloux. Il ne se vante pas, ne se gonfle pas d’orgueil, (13:4)
5 ne fait rien d’inconvenant, ne cherche pas ses propres intérêts, ne s’irrite pas. Il ne tient pas un compte des torts subis. (13:5)
6 Il ne se réjouit pas de l’injustice, mais trouve de la joie dans la vérité. (13:6)
7 Il supporte tout, croit tout, espère tout, endure tout. (13:7)
8 L’amour ne disparaît jamais. Mais les dons de prophétie, eux, seront supprimés ; les langues cesseront ; la connaissance sera supprimée. (13:8)
9 Car nous connaissons partiellement et nous prophétisons partiellement, (13:9)
10 mais quand ce qui est complet arrivera, ce qui est partiel sera supprimé. (13:10)
11 Lorsque j’étais enfant, je parlais comme un enfant, je pensais comme un enfant, je raisonnais comme un enfant ; mais maintenant que je suis devenu un homme, j’ai supprimé ce qui est propre à l’enfant. (13:11)
12 À présent, en effet, nous voyons des contours flous dans un miroir de métal, mais un jour nous verrons face à face. À présent je connais partiellement, mais un jour je connaîtrai de façon exacte, comme je suis connu de façon exacte. (13:12)
13 Aujourd’hui, cependant, ces trois-​là demeurent : la foi, l’espérance, l’amour ; mais le plus grand des trois, c’est l’amour. (13:13)
1 Corinthiens
13:1-13
21Traduction française de la Bible King James par N. L. Stratford
Édition de 2022 © Copyright.[+]
1 Quand bien même je parlerais les langues des hommes et des anges et n’ai pas la charité, je serais devenu comme le cuivre résonnant, ou une cymbale qui tinte. (13:1)
2 Et quand bien même j’aurais le don de prophétie, et comprendrais tous les mystères, et toute connaissance ; et quand bien même j’aurais toute la foi, de sorte que je puisse déplacer les montagnes, et n’ai pas la charité, je ne suis rien. (13:2)
3 Et quand bien même je concéderais tous mes biens pour nourrir les pauvres, et quand bien même je livrerais mon corps pour être brûlé, et n’ai pas la charité, cela ne me profite en rien. (13:3)
4 La charité patiente longuement, et est bienfaisante ; la charité n’envie pas ; la charité ne se vante pas, n’est pas enflée d’orgueil, (13:4)
5 Elle ne se comporte pas de manière malséante, ne cherche pas son intérêt, n’est pas facilement provoquée, ne pense aucun mal ; (13:5)
6 Ne se réjouit pas en l’iniquité, mais se réjouit en la vérité ; (13:6)
7 Supporte toutes choses, croit toutes choses, espère toutes choses, endure toutes choses. (13:7)
8 La charité ne fait jamais défaut : mais s’il y a des prophéties, elles feront défaut ; s’il y a des langues, elles cesseront, s’il y a de la connaissance, elle disparaîtra. (13:8)
9 Car nous connaissons en partie, et nous prophétisons en partie. (13:9)
10 Mais lorsque ce qui est parfait sera venu, alors ce qui est partiel sera supprimé. (13:10)
11 Lorsque j’étais un enfant, je parlais comme un enfant, je comprenais comme un enfant, je pensais comme un enfant : mais lorsque je suis devenu un homme, j’ai abandonné les choses enfantines. (13:11)
12 Car maintenant nous voyons comme au travers d’une glace, obscurément ; mais ensuite face à face : maintenant je connais en partie ; mais ensuite je connaîtrai comme aussi je suis connu. (13:12)
13 Et maintenant demeurent la foi, l’espérance, la charité, ces trois ; mais la plus grande d’elles est la charité. (13:13)
1 Corinthiens
13:1-13