Traduction revue par Jean-Frédéric Ostervald, édition de 1823, libre de droits.
n°8 / Le livre de Ruth. 4 :
15Qu’il console ton âme, et qu’il soit le soutien de ta vieillesse ; car ta belle-fille, qui t’aime, a enfanté, et elle te vaut mieux que sept fils.