Traduction revue par Jean-Frédéric Ostervald, édition de 1823, libre de droits.
n°8 / Le livre de Ruth. 3 :
14Elle demeura donc couchée à ses pieds, jusqu’au matin ; et elle se leva avant qu’on pût se reconnaître l’un l’autre. Et il dit : Qu’on ne sache point qu’aucune femme soit entrée dans l’aire.