Traduction revue par Jean-Frédéric Ostervald, édition de 1823, libre de droits.
n°19 / Le livre des Psaumes. 142 :
5Je considérais à ma droite, et je regardais, et il n’y avait personne qui me reconnût ; tout refuge me manquait, et il n’y avait personne qui eût soin de mon âme.