Traduction revue par Jean-Frédéric Ostervald, édition de 1823, libre de droits.
n°15 / Le livre d’Esdras. 3 :
13Et l’on ne pouvait discerner la voix des cris de joie d’avec la voix des pleurs du peuple ; cependant, le peuple jetait de grands cris de réjouissance, de sorte que leur voix fut entendue bien loin.