Traduction revue par Jean-Frédéric Ostervald, édition de 1823, libre de droits.
n°23 / Le livre d’Esaïe le prophète. 63 :
5J’ai donc regardé, et il n’y a eu personne qui m’aidât ; j’ai été étonné, et il n’y a eu personne qui me soutînt ; mais mon bras m’a sauvé, et mon courroux m’a soutenu.