n°21 / Le livre de l’Ecclésiaste. 4 :
8C’est qu’il y a tel homme qui est seul, et qui n’a point de second ; il n’a ni fils, ni frère, et toutefois, il ne met nulle fin à son travail ; même, son œil ne voit jamais assez de richesses ; et il ne se dit point en lui-même : Pour qui est-ce que je travaille, et que je me prive moi-même du bien ? Cela aussi est une vanité et une fâcheuse occupation.