Traduction revue par Jean-Frédéric Ostervald, édition de 1823, libre de droits.
n°21 / Le livre de l’Ecclésiaste. 3 :
22J’ai donc connu qu’il n’y a rien de meilleur à l’homme que de se réjouir en ce qu’il fait ; parce que c’est là sa portion, car qui est-ce qui le ramènera pour voir ce qui sera après lui ?