Traduction revue par Jean-Frédéric Ostervald, édition de 1823, libre de droits.
n°21 / Le livre de l’Ecclésiaste. 2 :
16La mémoire du sage ne sera point éternelle, non plus que celle de l’insensé, parce que dans les jours à venir tout sera déjà oublié ; et pourquoi le sage meurt-il de même que l’insensé ?