Traduction par Louis Segond & Hugues Oltramare, édition de 1874, libre de droits.
n°21 / L’Ecclésiaste 3 :
22Et j’ai vu qu’il n’y a rien de mieux pour l’homme que de se réjouir de ses œuvres : c’est là sa part. Car qui le fera jouir de ce qui sera après lui ?