Traduction par Louis Segond & Hugues Oltramare, édition de 1874, libre de droits.
n°22 / Le Cantique 5 :
5Je me suis levée pour ouvrir à mon bien-aimé ; et de mes mains a dégoutté la myrrhe, de mes doigts, la myrrhe répandue sur la poignée du verrou.