Traduction par Louis Segond & Hugues Oltramare, édition de 1874, libre de droits.
n°22 / Le Cantique 4 :
16Lève-toi, aquilon ! viens, autan ! Soufflez sur mon jardin, et que les parfums s’en exhalent ! — Que mon bien-aimé entre dans son jardin, et qu’il mange de ses fruits excellents !