Traduction par Louis Segond & Hugues Oltramare, édition de 1874, libre de droits.
n°22 / Le cantique de cantiques 1 :
7Dis-moi, ô toi que mon cœur aime, où tu fais paître tes brebis, où tu les fais reposer à midi ; car pourquoi serais-je comme une égarée près des troupeaux de tes compagnons ? —