Traduction par Louis Segond, édition de 1910, libre de droits.
n°48 / Épître de Paul aux Galates 3 :
17Voici ce que j’entends : une disposition, que Dieu a confirmée antérieurement, ne peut pas être annulée, et ainsi la promesse rendue vaine, par la loi survenue quatre cents trente ans plus tard.