Traduction par Louis Segond, édition de 1910, libre de droits.
n°22 / Le cantique de cantiques 3 :
4À peine les avais-je passés, que j’ai trouvé celui que mon cœur aime ; je l’ai saisi, et je ne l’ai point lâché jusqu’à ce que je l’aie amené dans la maison de ma mère, dans la chambre de celle qui m’a conçue. —