Traduction par Louis Claude Fillion, édition de 1889, libre de droits.
n°25 / Les Thrènes 1 :
AÏN
16C’est pour cela que je pleure et que mes yeux fondent en larmes, car le consolateur, qui devait me rendre la vie, a été éloigné de moi. Mes enfants ont été détruits, parce que l’ennemi est devenu le plus fort.