Traduction par Louis Claude Fillion, édition de 1889, libre de droits.
n°36 / Sophonie 3 :
6J’ai exterminé les nations et leurs tours ont été abattues ; j’ai rendu leurs chemins déserts, au point que personne n’y passe ; leurs villes sont désolées, au point qu’il n’y reste aucun homme, aucun habitant.