Traduction par Louis Claude Fillion, édition de 1889, libre de droits.
n°8 / Ruth 3 :
10Booz lui dit : Ma fille, que le Seigneur vous bénisse ; cette dernière bonté que vous témoignez dépasse encore la première, parce que vous n’êtes pas allée chercher de jeunes gens, pauvres ou riches.