Traduction par Louis Claude Fillion, édition de 1889, libre de droits.
n°8 / Ruth 2 :
10Ruth, se prosternant le visage contre terre, adora, et dit à Booz : D’où me vient que j’aie trouvé grâce à vos yeux, et que vous daigniez me connaître, moi qui suis une femme étrangère ?