Traduction par Louis Claude Fillion, édition de 1889, libre de droits.
n°19 / Les Psaumes 127 :
2C’est en vain que vous vous levez avant le jour. Levez-vous après vous être reposés, vous qui mangez le pain de la douleur, car c’est Dieu qui donne le sommeil à ses bien-aimés.