Traduction par Louis Claude Fillion, édition de 1889, libre de droits.
n°32 / Jonas 4 :
8Et quand le soleil fut levé, le Seigneur fit souffler un vent chaud et brûlant ; et le soleil frappa sur la tête de Jonas, qui étouffait, et il souhaita de mourir, en disant : La mort est meilleure pour moi que la vie.