Traduction par Louis Claude Fillion, édition de 1889, libre de droits.
n°24 / Jérémie 48 :
11Moab a été fertile dès sa jeunesse, il s’est reposé sur sa lie ; on ne l’a pas fait passer d’un vase dans un autre, et il n’est pas allé en captivité ; c’est pourquoi son goût lui est resté, et son odeur ne s’est pas changée.