Traduction par Louis Claude Fillion, édition de 1889, libre de droits.
n°12 / Quatrième livre des Rois 5 :
20lorsque Giézi, serviteur de l’homme de Dieu, dit en lui-même : Mon maître a épargné ce Syrien Naaman, et n’a rien voulu recevoir de lui. Vive le Seigneur ! je courrai après lui, et j’en recevrai quelque chose.