Traduction par Louis Claude Fillion, édition de 1889, libre de droits.
n°53 / Deuxième épitre aux Thessaloniciens 2 :
15Que Notre-Seigneur Jésus-Christ lui-même, et Dieu notre Père, qui nous a aimés, et qui nous a donné par sa grâce une consolation éternelle et une bonne espérance,