Traduction par Louis Claude Fillion, édition de 1889, libre de droits.
n°47 / Deuxième épitre aux Corinthiens 7 :
8En effet, bien que je vous aie attristés par ma lettre, je ne le regrette pas ; et si j’en ai eu du regret, en voyant que cette lettre vous avait attristés, quoique pour peu de temps,