Traduction par Louis Claude Fillion, édition de 1889, libre de droits.
n°1 / La Genèse 3 :
6La femme considéra donc que le fruit de cet arbre était bon à manger, qu’il était beau à la vue, et agréable à contempler. Et en ayant pris, elle en mangea, et elle en donna à son mari, qui en mangea aussi.