Traduction par Louis Claude Fillion, édition de 1889, libre de droits.
n°23 / Isaïe 57 :
11Qui as-tu redouté, qui as-tu craint pour me mentir, pour m’effacer de ta mémoire, pour ne pas rentrer dans ton cœur ? Parce que je me suis tu et que je semblais ne pas voir, tu m’as oublié.