Traduction par Louis Claude Fillion, édition de 1889, libre de droits.
n°21 / L’Ecclésiaste 9 :
5Les vivants, en effet, savent qu’ils mourront ; mais les morts ne connaissent plus rien, et il n’y a plus pour eux de récompense, car leur mémoire est livrée à l’oubli.