Traduction par Louis Claude Fillion, édition de 1889, libre de droits.
n°21 / L’Ecclésiaste 7 :
3Il vaut mieux aller à une maison de deuil qu’à une maison de festin ; car dans celle-là on est averti de la fin de tous les hommes, et celui qui vit pense à ce qui doit lui arriver.