Traduction par Louis Claude Fillion, édition de 1889, libre de droits.
n°21 / L’Ecclésiaste 5 :
17Il m’a donc semblé qu’il est bon pour l’homme de manger et de boire, et de se réjouir du fruit de son travail qu’il a fait sous le soleil, pendant le nombre des jours de sa vie que Dieu lui a donnés ; et c’est là sa part.