Traduction par Louis Claude Fillion, édition de 1889, libre de droits.
n°21 / L’Ecclésiaste 2 :
16Car la mémoire du sage n’est pas plus éternelle que celle de l’insensé, et les temps à venir enseveliront tout pareillement dans l’oubli ; le savant meurt aussi bien que l’ignorant.