Traduction par Louis Claude Fillion, édition de 1889, libre de droits.
n°21 / L’Ecclésiaste 10 :
20Ne médis pas du roi, même dans dans ta pensée, et ne maudis pas le riche dans le secret de ta chambre ; car les oiseaux du ciel emporteront ta voix, et ceux qui ont des ailes publieront tes paroles.