Traduction par Louis Claude Fillion, édition de 1889, libre de droits.
n°5 / Le Deutéronome 28 :
67Vous direz le matin : Qui me donnera de voir le soir ? et le soir : Qui me donnera le voir le matin ? tant votre cœur sera saisi d’épouvante, et tant la vue des choses qui se passeront devant vos yeux vous effrayera.