Traduction par Louis Claude Fillion, édition de 1889, libre de droits.
n°22 / Le Cantique 4 :
11Tes lèvres, ô mon épouse, sont un rayon qui distille le miel ; le miel et le lait sont sous ta langue, et l’odeur de tes vêtements est comme l’odeur de l’encens.