Traduction par Louis Claude Fillion, édition de 1889, libre de droits.
n°22 / Le Cantique 2 :
14ma colombe, toi qui te retires dans les creux de la pierre et dans les enfoncements de la muraille, montre-moi ton visage, que ta voix résonne à mes oreilles ; car ta voix est douce, et ton visage est agréable.