Traduction par Louis Claude Fillion, édition de 1889, libre de droits.
n°66 / L’Apocalypse 5 :
8Et lorsqu’il eut ouvert le livre, les quatre animaux et les vingt-quatre vieillards se prosternèrent devant l’Agneau, ayant chacun des harpes et des coupes d’or pleines de parfums, qui sont les prières des saints.