Traduction par Louis Claude Fillion, édition de 1889, libre de droits.
n°66 / L’Apocalypse 3 :
20Voici, je me tiens à la porte, et je frappe : si quelqu’un entend ma voix et m’ouvre la porte, j’entrerai chez lui, et je souperai avec lui, et lui avec moi.