n°45 / Épitre de saint Paul aux Romains. 8 :
22Car nous savons que jusqu’à maintenant toutes les créatures soupirent, et sont comme dans le travail de l’enfantement ;
23et non-seulement elles, mais nous encore qui possédons les prémices de l’Esprit, nous soupirons et nous gémissons en nous-mêmes, attendant l’effet de l’adoption divine, la rédemption et la délivrance de nos corps.
24Car ce n’est encore qu’en espérance que nous sommes sauvés. Or quand on voit ce qu’on a espéré, ce n’est plus espérance, puisque nul n’espère ce qu’il voit déjà.